Essai Ineos Quartermaster, le quartier-maître du baroud
Ses points forts
20 000… c’est le nombre de Grenadier déjà livrés par Ineos dans le monde. Converti à l’automobile, le géant de la pétrochimie est en passe de réussir son pari : celui de ressusciter l’âme du Land Rover Defender originel pour tous ceux qui ont besoin d’un véhicule robuste et sans chichi, capable d’affronter les pires terrains sur les cinq continents. Fabriqué dans l’ancienne usine Smart à Hambach en Lorraine, sur une base technique conçue chez Magna Steyr en Autriche, le Grenadier se décline, à présent, en version pick-up à l’attention des clients en quête de grande capacité d’emport.
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Rallongé de 50 cm par rapport au tout-terrain précité, le Quartermaster est un beau bébé (5,44 m, 2,7 tonnes) qui peut remorquer jusqu’à 3,5 tonnes et dont le vaste plateau arrière (1,56 m de long) peut accueillir 835 kg de charge utile. Inutile de préciser que l’engin résiste à tout et que son habitacle a été conçu pour le nettoyage au karcher. Taillé à la serpe, il allie châssis échelle, essieux rigides et efficacité hors-pair en hors-piste. 4x4 rustique et dur au mal, il compile boîte courte, débattements de suspension XXL, blocage de différentiel central (mais aussi avant et arrière, si nécessaire) et 26,4 cm de garde au sol… De quoi franchir des gués de 80 cm de profondeur !
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Le Quartermaster est un beau bébé (5,44 m, 2,7 tonne...
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