Gigot d’agneau de Pâques : cette erreur que l’on commet tous quand on le cuisine qui ruine sa saveur

C’est la star de Pâques ! Accompagné de pommes de terre, de haricots verts ou de flageolets, le gigot d’agneau fait toujours des merveilles. Mais comment le réussir à la perfection ? Voici les règles d’or et les erreurs à éviter pour bien le cuisiner.

C’est l’un des emblèmes des déjeuners dominicaux. Tendre, savoureux et fondant, le gigot d’agneau est le plat phare de Pâques. Mais savez-vous réellement comment le cuisiner ? Parmi les erreurs courantes : piquer la viande pour y introduire des ingrédients à l’intérieur, comme de l’ail ou des herbes. Or, il n’y a pas meilleur moyen pour altérer sa saveur et sa tendresse. En ouvrant ainsi sa chair, le jus de la viande va s’échapper pendant la cuisson. Si vous êtes amateur d’ail, mieux vaut intégrer le condiment à votre marinade ou poser votre gigot sur un tapis de gousses. Autre écueil fréquent : le saler avant la cuisson. Cela va tout simplement le dessécher. Assaisonnez-le une fois sorti du four.

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Voici 5 astuces pour bien réussir son gigot d’agneau de Pâques :

Astuce n°1 : faites le bon choix

Pour un agneau plus fondant et délicat, optez pour un agneau de lait, appelé aussi « laiton », qui est uniquement nourri au lait maternel. Si possible, privilégiez les viandes d’agneau qui bénéficient du Label Rouge, d’une Indication Géographique Protégée (IGP) ou d’une Appellation d'Origine Protégée (AOP), qui sont un gage de qualité. C’est le cas notamment de l’agneau de l’Aveyron, l’agneau de Sisteron ou l’agneau du Quercy. Côté quantité, comptez 300 g par personne.

Astuce n°2 : conservez le gigot dans...

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