« Le jour où je suis devenu père » par Grand Corps Malade
À l’occasion de la sortie de « Reflets », son nouvel album, sur lequel il évoque ses enfants, Grand Corps Malade a accepté de répondre à l’interview « Le jour où je suis devenu père ».
Il y a un an, Grand Corps Malade proposait avec Ben Mazué et Gaël Faye un projet collaboratif, « Éphémère ». Après cette parenthèse, le voici de retour en solo (avant de le retrouver à la coréalisation du film « Aznavour », avec Tahar Rahim, en 2024).
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« Reflets », son huitième album, et des chansons personnelles
La suite de « Mesdames » (2020), un album en hommage aux femmes, uniquement composé de duos (où l’on entendait entre autres Véronique Sanson, Leïla Bekhti, Laura Smet, etc), s’appelle « Reflets ». Disponible depuis le 20 octobre, ce huitième opus est une réflexion du monde actuel, où le pessimisme (« 2083 ») côtoie l’espoir et l’importance des moments présents (« C’est aujourd’hui que ça se passe »), un reflet de ce qu’est le monde aujourd’hui, mais aussi ce qu’est Grand Corps Malade après vingt ans de carrière.
Chanson phare de ce disque, « Retiens les rêves » s’adresse aux petits bonheurs du quotidien, et surtout à ses deux fils, âgés de dix et treize ans, à qui il dit « Y’avait du bonheur partout et vous vouliez vous servir / J’restais tout le temps avec vous, pour pas vous sentir grandir ».
L’artiste, qui a fait de la paternité une thématique essentielle de sa musique, a accepté de nous en parler. A-t-il toujours voulu devenir père ? Quel type de père est-il à la...
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