Hana, une vie (top) modèle !

Top modèle aux mille visages, tout à tour glamour, rock ou ultra nature, artiste de talent qui n’a jamais lâché le pinceau pour les catwalk, femme engagée, Hanna Jirickova, plus qu’une belle femme, est une belle personne. Présentations.

ELLE. Vous êtes née à Brno en Tchéquie, avez quitté votre ville natale à 16 ans, puis votre pays, pour vous lancer dans une carrière de mannequin, vous propulsant aux quatre coins du monde. Quand on voyage autant, c’est où la maison ?

Hana Jirickova. Mes meilleurs souvenirs sont à Brno. J’y ai deux frères, mes parents. On n’était pas une famille riche, mais une famille dans laquelle l’art occupait une place centrale. Ma mère faisait du théâtre. Mon père était manager pour des musiciens. J’ai fréquenté les meilleures écoles, les musées.  Je suis partie à Prague à 16 ans. Puis ce fut Paris, New York, Londres. J’y ai plein d’amis. Quand on voyage beaucoup, on finit par se sentir chez soi dans de nombreuses villes.

ELLE. Pour le magazine Elle, vous incarnez une sublime série mode, devant l’objectif de Giampaolo Sgura, dans les Pouilles. Vous y sentez-vous aussi chez vous ?

H.J. C’est une région que j’adore. J’aime plus que tout les arts et la nature. Alors quand les deux se rencontrent, c’est le paradis. J’ai aimé aussi pouvoir mettre en lumière le travail formidable de l’association Save the olives, qui tente de protéger les oliviers, frappés par la maladie. Il est important de les sauver, en soutenant les cultivateurs. Certains ont plus de 300 ans. Ils font partie de notre patrimoine.

ELLE. Le mannequinat n’était pas votre premier choix. Vous vous destiniez à l’art, préférant poursuivre vos études dans une école...

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