Depuis sa plainte pour harcèlement contre Booba, Magali Berdah affirme avoir pensé au suicide
Magali Berdah est à bout. C’est en tout cas ce que la manageuse d’influenceurs en disgrâce tient à montrer dans Au-delà des Apparences, une série YouTube se proposant de plonger dans son quotidien alors qu’elle dit « recommencer à zéro ».
En grande difficultés financière, la fondatrice de Shauna Events, qu’on surnommait la « papesse des influenceurs », multiplie les démêlées avec la justice depuis que ses pratiques commerciales ont été dénoncées avec fracas par Booba, le rappeur français s’étant mis en tête de faire tomber ce qu’il a appelé les « influvoleurs ».
Or, le rappeur, qui avait fait de Magali Berdah sa cible de choix, n’en a visiblement pas terminé avec elle, quand bien même la justice française a déjà largement pris le relai contre elle. D’après celle qui comptait encore Nabilla, Julien Tanti ou encore Maeva Ghennam dans son écurie il n’y a pas si longtemps, le harcèlement du rappeur se poursuit, au point que Magali Berdah affirme avoir pensé à mettre fin à ses jours. En cause, des appels anonymes réguliers avec menace de mort, ou encore un canular faisant croire à l'avocat de la femme d’affaires que sa cliente devait se rendre au commissariat de Neuilly-sur-Seine pour être placée en garde à vue.
Mais si Magali Berdah cherche à redorer son image, c’est dans le but de relancer ses affaires tandis qu’elle croule sous d’importantes dettes. Et justement, il semblerait que Booba ne soit pas prêt à la laisser s’en tirer, puisqu’il a récemment publié des documents via son compte Twitter/X faisait état d’un dépôt de statut pour une société baptisée MS Marketing spécialisée dans la « communication et l’influence » au nom de Stéphane Teboul. Stéphane Teboul qui n’est autre que le mari de Magali Berdah et, accessoirement, la PDG de Shauna Events, la femme d’affaires ayant écopé en 2019 d’un an de prison avec sursis et d’une interdiction de gérer une société pendant cinq ans après avoir été condamnée pour abus de faiblesse et blanchiment.
Quoi qu’il en soit, si les pratiques commerciales dont est accusée l'entreprise fondée par Magali Berdah sont illégales, le harcèlement qu'elle dénonce l’est tout autant.