Balance

23 SEPTEMBRE - 22 OCTOBRE

Amour : Célibataire, vous serez peut-être déçu par une personne avec laquelle vous rêviez de vous engager ou par un ami de longue date. Vous risquez de tomber de haut ! Il faut dire que vous êtes particulièrement exigeant avec les personnes que vous aimez. Un peu de compréhension ou de compassion pourrait adoucir votre déception. La vie de couple s'annonce animée et il faut vous attendre à des disputes sans gravité. Votre conjoint ne sera pas forcément prêt à vous suivre dans certains de vos projets.

Travail-Argent : Vous devrez sans doute faire face à un changement de parcours dans votre vie professionnelle. Certains événements vous pousseront à prendre une décision radicale que vous repoussiez depuis quelque temps. Cela pourrait être bénéfique pour la suite de votre carrière. L'important sera de ne pas vous laisser dicter vos choix par une tierce personne. L'équilibre de votre budget n'est pas en danger cette semaine.

Santé : Pour lutter contre votre nervosité ou vos angoisses, bougez et occupez-vous l'esprit. Plus vous passerez de temps à ne rien faire, plus les idées noires auront de l'espace pour s'installer. Alors cuisinez, lisez, faites du sport, voyez vos amis… D'autant que vous ne devriez pas rencontrer de problèmes physiques cette semaine.

10 november - 16 november
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Mali: des magistrats saisissent la Cour constitutionnelle sur la fin de la Transition

    La Référence syndicale des magistrats (Refsyma) et l'Association malienne des procureurs et poursuivants (AMPP), deux organisations professionnelles et militantes, membres de la coalition d'opposition Appel du 20 février, ont déposé jeudi 28 mars une requête auprès de la Cour constitutionnelle malienne. Alors que la période de transition ouverte avec le coup d'État militaire d'août 2020 a officiellement pris fin mardi 26 mars, les autorités maliennes de transition sont toujours en poste. La Refs

  • Haïti: 243 personnes, dont une majorité de Français, évacuées vers la Martinique

    "Il sera proposé aux ressortissants français une retour immédiat sur l'Hexagone", a annoncé le préfet de Martinique ce jeudi 28 mars, ajoutant qu'ils "pourront profiter le jour même d'un vol affrété par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères".

  • Le Venezuela accuse les États-Unis de vouloir «discréditer» sa présidentielle

    Les autorités vénézuéliennes ont vivement réagi au communiqué du département d’État des États-Unis, critiquant le processus de dépôt des candidatures présidentielles dans le pays caribéen. La candidate de la coalition d’opposition n’a pas pu s’inscrire, entre autres obstacles. Les condamnations internationales s’enchainent et côté vénézuélien, le Conseil national électoral (CNE) a répondu à Washington via un communiqué assassin. Avec notre correspondante à Caracas, Alice CampaignolleSelon le CNE

  • Les Togolais décontenancés par la nouvelle Constitution

    La nouvelle Constitution à peine adoptée par les députés du Togo, la polémique est grande à Lomé alors que le texte n'est pas encore connu de tous. La nouvelle loi fondamentale fait passer le Togo d’un régime semi-présidentiel à un régime parlementaire. Une surprise pour beaucoup de citoyens. Le Togo est dans l’attente et l’incertitude après l’adoption de cette nouvelle Constitution. Alors que les opposants politiques et une partie de la société civile ont exprimé leur rejet du texte, les Togola

  • Guyane: une personne meurt de la rage, premier cas documenté en 16 ans

    Une mission de santé publique va se rendre sur le site d'orpaillage d'Eau Claire, dans le sud de la Guyane, après la mort d'une personne atteinte de la rage, ont annoncé ce jeudi 28 mars les autorités locales.

  • "C'en était un!": Macron répond aux mèmes sur ses photos de "mariage" avec Lula

    Le président français Emmanuel Macron a réagi jeudi soir sur le ton de l'humour aux mèmes humoristiques qui ont fleuri sur la toile après sa rencontre au Brésil avec son homologue brésilien Lula, s'amusant de la complicité affichée entre les deux hommes., a écrit le président français sur le réseau social X jeudi soir.

  • Burkina: des organisations de la société civile dénoncent des "enlèvements récurrents" de citoyens

    Des associations appellent ce jeudi 28 mars le régime à libérer "sans délai ni condition" toute personne "illégalement arrêtée et arbitrairement détenue au regard de la loi" et à "faire proscrire définitivement" ces pratiques.

  • Argentine: le licenciement massif de fonctionnaires se poursuit

    En tout, près de 15 000 fonctionnaires ont appris ces derniers jours que leur contrat ne seraient pas renouvelés après le 31 mars. Avec notre correspondant à Buenos Aires, Théo ConscienceRien ne semble pouvoir arrêter le plan « tronçonneuse » de Javier Milei… Déterminé à réduire l’État argentin à sa portion congrue et obsédé par l’idée de ramener les comptes publics à l’équilibre, le président ultralibéral répète à l’envi qu’il a licencié 50 000 fonctionnaires depuis son arrivée au pouvoir en dé

  • Plusieurs pays vont envoyer des militaires en France pour aider à sécuriser les Jeux olympiques

    « Plusieurs nations étrangères vont nous renforcer dans certains domaines critiques, comme les capacités cynophiles, où les besoins sont énormes » pendant les JO, selon le ministère français des Armées. Afin de sécuriser les Jeux olympiques de Paris, plusieurs pays vont envoyer des militaires et policiers afin de participer à la sécurisation des JO cet été. « Plusieurs nations étrangères vont nous renforcer dans certains domaines critiques, comme les capacités cynophiles, où les besoins sont éno

  • JO de Paris 2024 : Le programme complet des épreuves d'athlétisme

    AthléTISME - Du 1er au 11 août, les différentes épreuves olympiques d'athlétisme rythmeront notre quotidien. Découvrez les horaires de chacune d'entre elles

  • Etats-Unis: une passagère menacée d'être exclue d'un vol car elle ne portait pas de soutien-gorge

    Une passagère menacée d'être débarquée d'un vol car elle ne portait pas de soutien-gorge sous son t-shirt a dénoncé jeudi une "humiliation" discriminatoire et a réclamé un rendez-vous avec le patron de la compagnie américaine Delta.Plutôt que de porter plainte, cette DJ réclame un rendez-vous avec le patron de Delta pour demander la modification d'une politique qu'elle estime discriminatoire.

  • Loup: les ONG plaident pour maintenir le statut de protection dans l'UE

    "La coexistence avec le loup est possible": onze associations de protection de l'environnement ont plaidé mardi contre l'abaissement du statut de protection du loup dans l'UE, jugeant que cela "mettrait en péril la survie d'une espèce déjà vulnérable sans résoudre les difficultés" rencontrées par les éleveurs.La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen avait mis en garde en septembre 2023 contre le "réel danger" des meutes de loups dans l'Union européenne, ouvrant la voie à une révision du statut de protection pour cet animal.Les onze associations - WWF, FNE, LPO, UICN, ASPAS, Humanité & Biodiversité, SNPN, SFEPM, Ferus, OPIE et SHF - lancent en réponse une campagne et une pétition appelant "à rejeter sans ambiguïté" cette proposition, qu'elles jugent "ni nécessaire, ni justifiée".Citant l'Union internationale de conservation de la nature (UICN), elles soulignent que "six des neuf populations de loups présentes dans l'UE sont vulnérables ou quasi-menacées". - "Pas la solution" -Par ailleurs, "le loup ne peut pas être rendu responsable de toutes les difficultés de l'élevage qui sont d'abord d'ordre économique", a indiqué mardi Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), lors d'une conférence de presse."Détruire les loups ne doit pas être la seule solution" comme le présentent certains représentants agricoles comme la FNSEA, et "ne résoudra rien" surtout que "depuis quelques années l'augmentation de la population de loups est décorrelée de la hausse des dommages sur les troupeaux", a abondé Jean-David Abel, vice-président de France nature environnement (FNE). Selon lui, on est passé de 33 victimes par loup présent en 2017, à 11 l'an dernier, "ce qui témoigne de l'efficacité des mesures de protection des troupeaux quand elles sont bien mises en place". Le loup n'apparaît qu'en 11e position dans les causes de mortalité prématurée des troupeaux, derrière les maladies ou les parasites par exemple, soulignent aussi les ONG.- "Détricotage dangereux" - En voulant réviser le statut de protection du loup, "la Commission met également en danger d'autres espèces: plusieurs pays se sont déjà ainsi engagés dans la brèche pour demander le déclassement de l'ours et du lynx", ajoutent les associations dans un communiqué. "On est sur un détricotage dangereux".En vertu de la directive européenne "Habitats" de 1992, la plupart des populations de loups en Europe bénéficient d'une "protection stricte", assortie de possibilités de dérogations.La Commission propose de passer au statut de "protection simple", plus souple et permettant d'éliminer plus facilement, notamment en instaurant des quotas de chasse, les loups considérés par certains comme étant en trop grand nombre dans certaines régions.Cette proposition, réclamée par des éleveurs dans plusieurs pays, doit encore être approuvée par les Etats membres de l'UE, puis par la Convention de Berne qui pourrait rendre une décision en fin d'année.Les associations demandent pour leur part à la France de la rejeter formellement et de favoriser "l'application des solutions déjà existantes de cohabitation entre loups et éleveurs".Elles citent ainsi la protection des troupeaux avec chiens de protection, bergers et clôtures efficaces, ainsi que la mise en place de bénévoles pour la surveillance des troupeaux de nuit. "Quand cela a été fait, il y a zéro attaque", assure l'association Ferus qui a mis en place des expérimentations en ce sens.  Les tirs ne devraient intervenir qu'en "ultime recours" si l'effarouchement a échoué, estiment les défenseurs de l'environnement.En France, le Plan loup pour 2024-2029 publié en février prévoit d'augmenter les indemnisations pour les éleveurs, avec en parallèle une simplification des conditions de tirs. Les associations y sont farouchement opposées.jmi-dep/uh/sp

  • L'Assemblée nationale adopte un texte contre la "discrimination capillaire"

    L'Assemblée nationale a voté jeudi en première lecture une proposition de loi visant à sanctionner la "discrimination capillaire", notamment au travail, malgré des réserves sur l'utilité de cette initiative.Le texte du député guadeloupéen Olivier Serva (groupe indépendant Liot) a été adopté par 44 voix contre 2, avant d'être transmis au Sénat où son avenir est incertain. Il vise notamment à empêcher des employeurs de contraindre leurs salariés à lisser leurs cheveux pour dissimuler leurs coupes afro, ou à cacher leurs tresses et dreadlocks."En France, la discrimination reposant sur l'apparence physique est déjà punie en théorie", a convenu le député Serva. "Mais de la théorie à la réalité il y a un gouffre", a-t-il souligné, en plaidant pour "clarifier" une "loi mal comprise ou mal appréhendée".Olivier Serva a évoqué "les femmes noires qui se sentent obligées de se lisser les cheveux" avant un entretien d'embauche, "les personnes rousses, victimes de nombreux préjugés négatifs", ou les "hommes chauves".Le gouvernement a porté un "regard bienveillant" sur le texte, s'en remettant à "la sagesse" des députés . Il a "le mérite de mettre en lumière ce type de discriminations", même si la loi permet "déjà de lutter" contre elles, a relevé la ministre à l'égalité femmes-hommes Aurore Bergé."Femme noire originaire de la République de Guinée", "je suis ici avec mes tresses, mes perruques", a décrit la députée macroniste Fanta Berete. "Quand je postulais à certains emplois, on m'a signifié que je devais me lisser mes cheveux", a-t-elle témoigné.Le texte est inspiré de législations en vigueur dans plusieurs Etats des Etats-Unis, notamment du "Crown Act" promulgué en 2019 en Californie contre la discrimination capillaire.La gauche a soutenu ce texte. C'est un problème "réel, sérieux et politique", qui "touche principalement les femmes" et les "personnes racisées", a souligné l'Insoumise Danièle Obono, dénonçant tout comme l'écologiste Sabrina Sebaihi un "racisme systémique".Ce dernier terme a hérissé la droite. Dans le tumulte, le LR Xavier Breton a dénoncé une "idéologie militante", des "propos qui ne visent qu'à fracturer notre société".Il a combattu la proposition de loi, "du droit bavard", "une fuite en avant" vers une "liste de discriminations" au risque d'établir "une hiérarchie".A l'extrême droite, le RN Philippe Schreck a appelé à ne "pas moquer ou railler" cette proposition de loi, mais s'est interrogé. "Est-ce que nous nous occupons des problèmes quotidiens des Français", dans un pays "quasi en faillite" ? "Il serait bon rapidement de passer à autre chose", a-t-il réclamé.adc-sac/sl/sde/bow

  • Le légendaire magazine américain Life va revenir à la vie

    Le légendaire magazine américain Life, grand titre du XXème siècle célèbre pour ses photos, va être ramené à la vie par la mannequin et entrepreneure Karlie Kloss, a annoncé jeudi la société dont elle est PDG. Bedford Media a fait part dans un communiqué du retour de "Life Magazine sur papier et en distribution numérique, dans le cadre d'un accord avec (l'éditeur) Dotdash Meredith pour relancer Life en tant que publication à fréquence régulière"."Josh et moi sommes honorés de continuer l'héritag

  • Effondrement d'un pont à Baltimore : une première grue déployée pour dégager les débris

    Quatre personnes sont toujours portées disparues après l'effondrement du pont de Baltimore, dans l'est des États-Unis. Jeudi, une grue a été déployée pour dégager les débris, mais il reste "un très long chemin à parcourir" avant la reconstruction de l'édifice. Une première grue a été déployée jeudi à Baltimore, dans l'est des États-Unis, dans le cadre des efforts visant à dégager les débris du pont qui s'est effondré, les autorités prévenant que la réouverture du port, important pour l'économie

  • Une première grue déployée à Baltimore pour dégager les débris du pont effondré

    Une première grue a été déployée jeudi à Baltimore, dans l'est des Etats-Unis, dans le cadre des efforts visant à dégager les débris du pont qui s'est effondré, les autorités prévenant que la réouverture du port, important pour l'économie américaine, prendra beaucoup de temps. Le pont Francis Scott Key, emprunté chaque jour par des dizaines de milliers de véhicules, s'est écroulé tel un château de cartes mardi, après avoir été percuté par un porte-conteneurs, bloquant l'entrée du port de Baltimore. Les corps de deux des six ouvriers portés disparus ont été retrouvés mercredi."Nous remuons ciel et terre" pour que le port soit à nouveau opérationnel, a déclaré jeudi Tom Perez, conseiller à la Maison Blanche. "Un navire-grue de grande capacité sera sur place dans la journée pour aider à ramasser les débris", a-t-il ajouté dans un entretien à la chaîne américaine MSNBC. Les responsables ont toutefois prévenu que les difficultés étaient de taille, la recherche des corps des quatre hommes toujours portés disparus ayant été interrompue mercredi en fin de journée, car les autorités ont jugé trop dangereux l'envoi de plongeurs sur le lieu de l'accident. - "Fonds d'aide d'urgence" -Les quatre hommes, tous des immigrés latino-américains, sont présumés avoir été tués après que le Dali, un porte-conteneurs long de 300 mètres pour 48 mètres de largeur, s'est encastré dans une pile du pont à cause de problèmes de propulsion.Ces hommes faisaient partie d'une équipe de huit ouvriers travaillant de nuit à la réparation de la route. Deux d'entre eux ont été secourus peu après l'effondrement du pont. Les habitants de la région ont participé à une veillée dans un parc voisin jeudi matin, ont rapporté les médias locaux, tandis que la mairie de Baltimore a lancé une collecte de fonds pour soutenir les familles des victimes. Quant à la reconstruction, elle "ne va pas prendre des heures, ni des jours, ni des semaines", a par ailleurs prévenu Wes Moore, gouverneur de l'Etat du Maryland, où se situe Baltimore, évoquant "un très long chemin à parcourir" avant un retour à la normale. Le Maryland a demandé à l'Etat fédéral une première enveloppe de 60 millions de dollars, appel rapidement entendu par le gouvernement. Le ministère américain des Transports a annoncé jeudi le "déblocage rapide" de ce montant en "fonds d'aide d'urgence" au Maryland. - "Perte substantielle" -Cette somme doit permettre d'"aider le Maryland à entamer des travaux urgents" et sera suivie d'autres fonds "au fur et à mesure que la reconstruction progressera", a expliqué le ministre des Transports, Pete Buttigieg. "Personne n'oubliera jamais les images choquantes d'un porte-conteneurs percutant le pont Francis Scott Key, provoquant son effondrement et la mort tragique de six personnes", a-t-il ajouté, dans un communiqué de la Maison Blanche. Après le drame, le président Joe Biden s'est engagé à ce que l'administration fédérale prenne en charge l'intégralité du coût de la reconstruction du pont.En raison de cet accident, le transport maritime reste suspendu, le port de Baltimore étant le neuvième du pays en termes d'activité et génère plus de 15.000 emplois.Jeudi, le patron du marché de l'assurance Lloyd's of London a prévenu que l'indemnisation par les compagnies d'assurance de l'accident pourrait être la plus élevée jamais versée dans le transport maritime."Cela devrait représenter une perte substantielle, sans doute la plus importante" concernant le transport maritime "mais pas en dehors de nos paramètres", a affirmé Bruce Carnegie-Brown sur la chaîne CNBC.caw/aem/eml

  • Ligue des champions féminine: le PSG rejoint l'OL en demi-finale

    Le PSG s'est qualifié pour les demi-finales de la Ligue des champions féminine en battant facilement jeudi les Suédoises du BK Häcken (3-0), et va retrouver l'OL dans le dernier carré européen.A chaque fois, l'OL s'est qualifié en finale.

  • Madagascar: la présidente de l'Assemblée nationale déchue par la Haute Cour constitutionnelle

    Une requête avait été déposée mardi 26 mars par le TGV-IRD, son parti d’origine. Christine Razanamahasoa, ancienne alliée du chef de l’État Andry Rajoelina, est accusée d’avoir dévié de la ligne de sa formation politique, quelques jours après avoir prononcé un discours critique sur l’état du pays. Avec notre correspondante à Antananarivo, Pauline Le TroquierÀ Madagascar, la rupture est consommée entre la présidente de l’Assemblée nationale et le parti présidentiel. Le couperet est tombé au bout

  • Vents violents en Espagne: quatre personnes meurent emportées par la mer

    Alors que des vagues de plusieurs mètres de haut balayaient les côtes de l'Espagne en pleine dépression, quatre personnes sont mortes en tombant dans l'eau.

  • L'administration Biden rétablit certaines protections d'espèces menacées supprimées par Trump

    Des associations de défense de l'environnement ont toutefois regretté que certains changements effectués en 2019 par Donald Trump aient été laissés intacts.