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Cancer

22 JUIN - 22 JUILLET

Amour : Votre intérêt se portera plus sur votre vie de famille que sur vos amours. Un proche aura probablement besoin de votre soutien et vous saurez l'écouter et l'aider dans la mesure du possible. Vous pourriez aussi organiser une surprise avec l'aide d'un frère ou d'une sœur.

Travail-Argent : Vous avez accumulé beaucoup de fatigue et de stress ces dernières semaines. Votre travail s'en ressent. Il est temps de lever un peu le pied pour pouvoir ensuite retrouver toute votre efficacité. Le domaine des finances n'est pas privilégié par les astres, mais vous ne rencontrerez pas de problème insurmontable.

Santé : Vous manquerez d'allant et les efforts à fournir vous sembleront plus difficiles que d'ordinaire. Écoutez votre corps et ralentissez le rythme avant de vous épuiser aussi bien physiquement que nerveusement.

14 october
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Contribution exceptionnelle : Jean-Luc Mélenchon félicite la « victoire idéologique » des « antilibéraux »

    Michel Barnier a présenté le projet de loi de finances qui prévoit une surtaxe des foyers fiscaux les plus fortunés et des grandes entreprises.

  • Koh-Lanta, La tribu maudite : Ce qu'il faut savoir sur la nouvelle saison

    Depuis la diffusion du dernier épisode de Koh-Lanta, La tribu maudite, des internautes s'interrogent sur un éventuel rapprochement entre Cassandre et Gustin. Auprès de Télé-Loisirs, Cassandre a répondu aux rumeurs.

  • Nick Cannon confirme avoir participé à sa première fête chez P. Diddy lorsqu'il était mineur

    Nick Cannon a évoqué sa participation à des soirées organisées par Sean Combs lorsqu'il était adolescent. L'animateur de 44 ans a insisté sur le fait qu'il n'avait « rien à cacher » pour avoir fréquenté Puff Daddy, 54 ans, dans le passé. Lors de l'émission de radio The Breakfast Club, Nick Cannon a expliqué qu'il avait fait le pied de grue pour entrer dans une fête. « Je suis même allé à une soirée quand j'étais môme... 16-17 ans », s'est-il rappelé. « Je vis ma vérité. Je me souviens d'être res

  • Les doudounes Pyrenex : un duvet haut de gamme pour un hiver parfait

    Pyrenex, la marque française des doudounes en duvet dévoile sa collection Automne-Hiver 2024/2025. Conçue pour les aventuriers urbains et extrêmes, elle allie innovation, légèreté et protection en hiver. Cette collection séduit les amateurs de mode à la recherche de pièces tendances et les consommateurs écoresponsables qui privilégient les marques engagées. En parallèle, la marque réinvente sa ligne made in France, une gamme chic, élégante, Black Label.

  • "C'est le pays du bonheur" : voici dans quel pays il faudrait déménager pour être plus heureux et épanoui selon la science

    Ce pays arrive en tête du classement mondial des pays les plus heureux, selon le World Happiness Report des Nations Unies.

  • "On veut un risotto crémeux pas un risotto collant" : voici tous les secrets d’un chef pour réussir à tous les coups ce plat tant apprécié !

    Aujourd’hui, on vous partage toutes les astuces du Chef Christophe pour réussir à coup sûr son risotto. Allez aux fourneaux !

  • Entre dangers et moyens du bord, les secouristes libanais sous les bombes

    La semaine dernière, quand l'alerte a retenti, Aya Wehbé a senti son sang se glacer: pour la première fois, cette secouriste était appelée dans son quartier à Beyrouth, frappé lui aussi par la guerre ouverte qui fait désormais rage entre Israël et le Hezbollah.Les secouristes ont payé un lourd tribut depuis qu'ont commencé il y a un an les échanges de tirs transfrontaliers entre Israël et le Hezbollah, désormais en guerre ouverte. 

  • "On ne les oublie pas": Michel Barnier rend hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard

    Le Premier ministre a participé comme tous les élèves de France à la minute de silence en hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard, et rendu hommage aux deux professeurs.

  • Chèque énergie : son attribution ne sera plus automatique en 2025

    En 2025, l’attribution du chèque énergie ne sera plus systématique pour tous les ménages éligibles. un dispositif de demande en ligne sera mis en place pour les nouveaux bénéficiaire.

  • "La figure horrifique la plus puissante depuis Freddy": pourquoi "Terrifier 3" cartonne au cinéma

    Premier film interdit aux mineurs de 18 ans depuis la sortie de "Saw 3" il y a vingt ans, "Terrifier 3" cartonne dans les salles obscures. En cinq jours, plus de 240.000 spectateurs ont osé le voir.

  • XV de France: Romain Ntamack absent 3 à 4 semaines et incertain face au Japon

    L'ouvreur international Romain Ntamack sera absent trois à quatre semaines en raison d'une déchirure au mollet, a annoncé lundi le Stade toulousain, et pourrait manquer au moins le premier match de la tournée d'automne du XV de France.Romain Ntamack sera malgré tout écarté des terrains près d'un mois, ce qui rend très hypothétique sa participation au premier match de la tournée d'automne du XV de France face au Japon, le 9 novembre au Stade de France.

  • Cession de Doliprane: l'Etat mobilisé pour faire baisser la fièvre

    L'Etat était à la manœuvre lundi sur le site de Sanofi qui produit le Doliprane à Lisieux (Calvados) pour entendre les préoccupations des salariés et des syndicats face à l'arrivée pressentie d'un repreneur américain.Le groupe pharmaceutique français a annoncé en fin de semaine dernière avoir choisi le fonds d'investissement américain CD&R pour lui céder potentiellement le contrôle de son entité de santé grand public, Opella, qui commercialise le médicament Doliprane.Depuis, les syndicats et une grande partie de la classe politique s'inquiètent des conséquences d'une telle vente pour la souveraineté sanitaire et les 250 emplois du site normand.Le ministre délégué à l'Industrie Marc Ferracci et le ministre de l’Économie Antoine Armand ont fait lundi le déplacement pour visiter l'usine et échanger avec le personnel.L'avenir du Doliprane a mobilisé aussi le maire de Lisieux et plusieurs parlementaires, soit une trentaine de personnes, dont des syndicalistes.L'option d'un repreneur américain est perçue "un peu comme une trahison envers la France et envers tous les salariés", a affirmé Johann Nicolas délégué syndical CGT Lisieux. "Notre première requête, c'est restons Sanofi"!, a-t-il lancé, interrogé par l'AFP."Si le gouvernement ne met pas les mains là-dedans, je ne sais pas comment on va s'en sortir", estime-t-il.- Macron attentif -En marge d'un déplacement au Mondial de l'auto à Paris, le président Emmanuel Macron a affirmé que le gouvernement avait "les instruments pour garantir que la France soit protégée" dans la perspective d'un changement au capital d'Opella.Antoine Armand a dit avoir "entamé des discussions" avec les parties prenantes en vue d'un accord spécifique sur des "engagements extrêmement précis", qui seront "assortis de garanties" et "de sanctions".Il a évoqué aussi "la possibilité d'un actionnariat public et d'une participation à la gouvernance dans le cadre de cet accord".Parmi les obligations exigées, Marc Ferracci cite "le maintien de l'empreinte industrielle et de l'emploi industriel" sur les sites français de production de Lisieux et Compiègne (Oise).Il est également question, selon lui, d'"engagements sur les volumes de production" et "sur la recherche et le développement" ainsi que la préservation de "l'écosystème des sous-traitants"."On rejoint totalement les prises de position des politiques qui parlent de souveraineté sanitaire", a indiqué à l'AFP, Humberto de Sousa, syndicaliste CFDT qui attend désormais que "ces engagements se traduisent par des actes".Mais "on ne sait pas si les engagements tiendront si le conseil d'administration bascule côté américain", se méfie-t-il, se montrant inquiet pour les emplois face à "la recherche de rentabilité de ce fonds" repreneur.- "Pas dans une logique de myopie" -Les syndicats ont prévu jeudi entre 13H00 et 15H00 un rassemblement sur le site de l'usine de Compiègne avec la venue de personnalités politiques, dont François Ruffin et Xavier Bertrand, selon le délégué syndical central d'Opella pour la CFDT, Adil Bensetra.La vigilance reste de mise car l'approvisionnement en paracétamol a récemment connu des périodes de tensions.Sanofi a maintes fois tenu à dissiper les doutes en martelant que ce projet de scission permettrait "la création d’un nouveau champion mondial, le seul basé en France, dans le secteur de la santé grand public". Opella emploie 1.700 salariés en France. Le Doliprane est sa deuxième marque en termes de revenus, la France ne représente qu'environ 10% des ventes de cette entité qui a réalisé 5,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2023.Il s'agit d'"un projet de croissance qui laissera sa place entière à Doliprane, tant dans nos pharmacies que dans nos usines", a répété à Lisieux, le président du conseil d'administration de Sanofi, Frédéric Oudéa."Nous ne serons pas dans une logique de myopie. Nous allons regarder loin et nous protégeons le site de Lisieux comme le site de Compiègne", a-t-il assuré."Sanofi souhaite être associé à ce projet, puisque nous gardons 50% du capital. Ce n'est pas une vente sèche", a-t-il ajouté.Dans la bataille pour le Doliprane, le fonds CD&R était en concurrence avec une offre menée par le fonds d'investissement français PAI Partners adossé à des investisseurs internationaux.pan-cor-fff-lg/alu/nth

  • Halloween 2024 : voici la manucure idéale pour l’occasion

    Prenez une pincée de la manucure tendance du moment et associez-la aux couleurs fétiches d’Halloween… Le résultat ? Des ongles scintillants de frayeur !

  • Minute de silence dans les collèges et lycées pour Samuel Paty et Dominique Bernard

    "On ne les oublie pas": le Premier ministre Michel Barnier a participé lundi à une minute de silence organisée en hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard, deux professeurs assassinés par des islamistes radicalisés, promettant de "continuer" à "lutter contre l'ignorance et le fanatisme".Au lendemain d'une cérémonie qui a réuni à Arras plus de deux mille personnes et plusieurs ministres pour un hommage à Dominique Bernard, professeur de français tué par un ancien élève radicalisé, Michel Barnier s'est rendu lundi après-midi au collège du Bois d'Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), où enseignait Samuel Paty. Le Premier ministre était accompagné de sa ministre de l'Education Anne Genetet dans l'établissement francilien toujours profondément marqué par le souvenir de ce professeur d'histoire-géographie assassiné par un islamiste radicalisé le 16 octobre 2020. Le collège devrait d'ailleurs prochainement être rebaptisé du nom de Samuel Paty."Ce n'est pas pour faire de l'esbroufe, pas pour faire une grande cérémonie, juste pour partager un moment avec vous, qui est un moment important", a déclaré Michel Barnier devant des élèves et des professeurs de ce collège."Tous deux (Samuel Paty et Dominique Bernard, NDLR) ont été victimes du terrorisme islamiste, notamment parce qu'ils étaient professeurs. On ne les oublie pas. C'est pour ça qu'on est là. On ne les oubliera pas. (...) Je veux vous dire le soutien et l'engagement de tout le gouvernement, actuellement de la ministre de l'Éducation nationale, en particulier pour (assurer) votre sécurité", a poursuivi M. Barnier.La veille, dans un message sur X, le Premier ministre avait rappelé que ces deux professeurs "morts sous les coups de terroristes islamistes" "enseignaient l'histoire de France, la connaissance du monde, et l'amour de notre langue". "Nous mettrons tout en œuvre pour protéger nos enseignants et continuer avec eux à lutter contre l’ignorance et le fanatisme", avait-il ajouté.- "Libres et éclairés" -Lundi matin, le ministre délégué à la Réussite scolaire Alexandre Portier s'est rendu dans un lycée de Lyon pour rendre hommage aux deux professeurs, dont les portraits étaient diffusés sur un écran surplombant le hall de l'établissement. "Enseigner n'est pas qu'un métier : c'est une vocation, une flamme que l'on transmet, l'espoir de pouvoir porter une étincelle. C'est un engagement quotidien pour aider les élèves à développer leur libre-arbitre. C'est l'ambition de former des citoyens libres et éclairés", a dit M. Portier devant un parterre de lycéens. Pour cette minute de silence demandée dans tous les collèges et lycées, chaque établissement s'organisait "selon les horaires et modalités que les équipes pédagogiques jugeront les plus appropriés", a indiqué le ministère."Dans la semaine, un temps d'analyse et de réflexion avec les élèves pourra également être organisé, dont la durée et le contenu seront aussi laissés au choix des équipes en fonction de leurs situations respectives", a-t-il précisé, voyant dans ce temps d'hommage une façon de "transmettre les valeurs" qu'incarnent les deux professeurs.- Prix Samuel Paty -Samuel Paty, âgé de 47 ans, avait été poignardé puis décapité par Abdoullakh Anzorov, réfugié russe d'origine tchétchène, le 16 octobre 2020 à proximité de son collège.Le jeune homme de 18 ans, musulman radicalisé, lui reprochait d'avoir montré en classe des caricatures de Mahomet. Avant d'être tué par la police, il avait revendiqué son geste en se félicitant d'avoir "vengé le prophète".L'émotion provoquée par cet attentat a été ravivée par l'assassinat, le 13 octobre 2023, de Dominique Bernard, 57 ans, poignardé à mort par Mohammed Mogouchkov, un ancien élève fiché pour radicalisation islamiste, devant son établissement.Mohammed Mogouchkov, 21 ans, né en Russie, a été mis en examen et écroué par un juge d'instruction antiterroriste quatre jours après l'attaque qu'il avait revendiquée au nom de l'organisation Etat islamique (EI).Cette semaine d'hommages sera aussi marquée par la remise samedi à la Sorbonne du prix Samuel Paty visant à récompenser des projets de classes centrés sur "les principes et valeurs démocratiques".asm-dfa/ito/gvy

  • Cyrille Eldin condamné pour des violences psychologiques sur Sandrine Calvayrac, son ex-compagne

    L’ex-animateur télé de Canal+ a également été condamné pour détention non autorisée d’arme et usage de produits stupéfiants.

  • Laurent Vinatier, chercheur français détenu depuis juin en Russie, écope de trois ans de prison

    Chercheur spécialiste de l’espace post-soviétique, Laurent Vinatier est accusé de ne pas s’être enregistré en tant qu’« agent de l’étranger ».

  • Russie: le Français Laurent Vinatier condamné à trois ans de prison

    La justice russe a condamné lundi à trois ans de prison ferme le Français Laurent Vinatier, détenu depuis juin et accusé de ne pas s'être enregistré en tant qu'"agent de l'étranger", ses avocats annonçant leur intention de faire appel.La cour a décidé de "déclarer M. Vinatier coupable" et de "le condamner à une peine d'emprisonnement d'une durée de trois ans", a déclaré la juge Natalia Tcheprassova, selon une journaliste de l'AFP présente dans la salle d'audience.Ce chercheur spécialiste de l'espace post-soviétique était employé sur le sol russe par le Centre pour le dialogue humanitaire, une ONG suisse qui fait de la médiation dans des conflits hors des circuits diplomatiques officiels."Ma femme est russe, mes amis sont russes. J'ai vécu une vie russe", a-t-il rappelé lundi face aux juges, disant être tombé amoureux de la Russie il y a 20 ans, à l'occasion d'un voyage à Moscou et Saint-Pétersbourg.Le Français, vêtu d'une chemise bleu claire, est apparu stoïque au moment de l'énonciation du verdict. Il n'a pas eu l'autorisation de s'exprimer après cette sentence devant la presse présente au tribunal.Les avocats russes de M. Vinatier, Oleg Bessonov et Alexeï Sinitsine ont déploré dans la foulée face aux journalistes un "verdict sévère". "Nous ferons, bien sûr, appel", ont-ils annoncé.Les autorités russes accusaient M. Vinatier d'avoir manqué à son obligation de s'enregistrer sous le label d'"agent de l'étranger" alors même qu'il collectait des "informations dans le domaine des activités militaires" pouvant être "utilisées contre la sécurité" de la Russie.Il risquait jusqu'à cinq ans de prison, mais la procureure avait elle requis plus tôt lundi une peine de trois ans et trois mois de prison et ferme à l'encontre du Français.Les deux avocats de M. Vinatier avaient eux demandé que leur client, qui avait "pleinement avoué sa culpabilité", rappelaient-ils, soit sanctionné par une simple amende.Dans le box des accusés, les traits tirés, Laurent Vinatier avait réclamé un "jugement indulgent et équitable", estimant que "l'emprisonnement affectera(it) les conditions de vie" de sa famille.Laurent Vinatier, âgé d'une quarantaine d'années, avait reconnu ne pas s'être enregistré en tant qu'"agent de l'étranger", un label utilisé en Russie contre les voix critiques et qui impose de lourdes obligations administratives, sous peine de sanctions pénales. Il avait assuré ignorer que cette obligation avait été introduite dans le code pénal.Les services de sécurité russes (FSB) ont pour leur part affirmé début juillet que l'accusé avait "recueilli", dans le cadre de ses échanges professionnels, "des informations militaires et techniques qui peuvent être utilisées par des services de renseignement étrangers à l'encontre de la sécurité de la Russie", déclarait alors le FSB.Ces accusations pesant contre lui avaient fait pendant une certaine période redouter une inculpation plus grave, par exemple pour "espionnage", un crime passible de 20 ans de privation de liberté en Russie.- Relations tendues avec Paris -Début septembre, la détention provisoire du Français avait été prolongée de six mois au premier jour de son procès, jusqu'au 21 février 2025.Selon des sources interrogées par l'AFP, le Français travaillait depuis des années sur le conflit entre la Russie et l'Ukraine, avant même l'offensive russe de février 2022, dans le cadre de discrets efforts diplomatiques en parallèle à ceux des États. Jusqu'à son arrestation, il effectuait des voyages dans les deux pays.Cette affaire survient aussi à un moment où les relations entre Moscou et Paris sont très tendues : la Russie est accusée d'une série d'actes de déstabilisation et de désinformation sur le territoire français, tandis que la France se voit reprocher son soutien à l'Ukraine.Ces dernières années, plusieurs Occidentaux, en particulier des Américains, ont été arrêtés en Russie et visés par de graves accusations, Washington dénonçant des prises d'otages pour obtenir la libération de Russes détenus à l'étranger.Le 1er août, les Occidentaux et la Russie ont procédé au plus grand échange de prisonniers depuis la fin de la Guerre froide, parmi lesquels figuraient le journaliste américain Evan Gershkovich et l'ancien Marine Paul Whelan, libérés par Moscou.bur/ial/

  • Budget, immigration... le gouvernement multiplie les fronts avec sa "majorité"

    En annonçant une nouvelle loi sur l'immigration début 2025, aussitôt jugée "pas prioritaire" par Gabriel Attal, le gouvernement prend le risque d'ouvrir un second front avec sa très relative majorité à l'Assemblée nationale, au moment où va démarrer l'examen du budget toujours source de grande confusion.L'annonce, par la porte-parole macroniste du gouvernement Maud Bregeon, d'un futur nouveau projet de loi sur le sujet, a été fraichement accueillie par le chef de file des députés... macronistes,

  • Impôt exceptionnel pour les plus riches : pourquoi seulement 24 300 foyers sont concernés ?

    Cette mesure, présente dans le projet de loi de finances 2025, devait toucher 0,3 % des contribuables, soit 65 000 ménages. Au final, elle va s’appliquer à un nombre de foyers trois fois moins important et vise particulièrement les personnes qui optimisent leurs revenus.

  • Leonor d’Espagne radieuse en tenue militaire pour la fête nationale

    Ce samedi 12 octobre, la famille royale d'Espagne s'est réunie à Madrid pour célébrer le Jour de l'Hispanité, la fête nationale.Voir la suite sur ELLE.fr A lire aussi Felipe VI et Letizia d'Espagne : le couple rend visite à la princesse Leonor dans son école militaire JO 2024 : Leonor et Sofia d'Espagne, supportrices de choix pour Rafael Nadal et Carlos Alcaraz Leonor d'Espagne effectue son premier voyage officiel en solo à 18 ans Letizia d'Espagne et la princesse Leonor : le duo mère-fille challenge l'élégance Consultez votre horoscope sur ELLE