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Lion

23 JUILLET - 22 AOÛT

Amour : Les remarques de votre partenaire vous agacent. Il sera temps de mettre les choses au point ! L'ambiance planétaire ne semble pas favorable à la vie de couple, et votre état de nervosité n'arrangera rien. Célibataire, ne cherchez pas à faire entrer la personne qui vous plaît dans un moule.

Travail-Argent : Au travail, vous vous acharnerez à peaufiner un projet que vous avez depuis longtemps en tête. Votre persévérance et votre détermination seront remarquables ! C'est le bon moment pour vous lancer dans des projets professionnels ambitieux, exigeant beaucoup de punch et d'audace. Le secteur des finances ne sera pas aussi porteur et vous devrez rester vigilant.

Santé : Vous pourriez avoir une sensation de jambes lourdes, notamment si vous passez de longues heures assis pour votre travail. N'hésitez pas à faire quelques pas régulièrement et à surélever légèrement vos jambes dès que vous le pouvez. Faites de la marche pour favoriser la circulation sanguine.

14 august
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Nourrir les chiens et "volonté de Dieu": une journée à la lisière du front ukrainien

    Il est dix heures. Raïssa sort de chez elle, suivie de sa meute de chiens affamés dont les aboiements ne suffisent pas à couvrir les détonations d’artillerie. "Tous les jours, je me lève, je prépare la nourriture pour les animaux, puis je pars au boulot", dit-elle, arpentant les rues délabrées, un sac en plastique rempli de morceaux de poulet à la main. Raïssa, 65 ans, "tamponne des feuilles" pour le compte de l'administration de sa petite ville de Bilytske, située à 15 km au nord de Pokrovsk, une des zones les plus actives du front, dans l'est de l'Ukraine. C’est la dernière agglomération avant les combats. A quelques kilomètres plus au sud seulement, les drones russes bourdonnent et les carcasses de voitures au bord des routes illustrent le danger à s'y aventurer. Que pense Raïssa de la trêve de 30 jours esquissée mardi par les États-Unis et l’Ukraine, mais sur laquelle Vladimir Poutine a émis des réserves ? "Je n’y crois pas", tranche-t-elle. "Rien de bon n’arrivera. Les bombardements sont sans fin", dit Raïssa, qui "ne dort plus la nuit" mais a néanmoins décidé de rester. Pour elle, rien n’est plus important que ces chiens, ramenés du front par des soldats et pour lesquels elle dépense la plus grande partie de son salaire.  Raïssa ne partira que s'ils périssaient dans les bombardements. - Déterminés à rester -Vers 11H00, elle est au travail et manie son tampon. Son voisin Sergueï se rend devant la mairie détruite pour puiser quelques litres d’eau potable. Nostalgique, il passe par son ancienne école, rasée par les missiles russes en juin. "On voit les oiseaux", dit-il, les yeux tournés vers un trou béant dans le plafond d'une salle de classe."Quand on était jeunes avec mon ami, on voulait que l’école soit détruite", dit-il avant un silence. "C’est un rêve devenu réalité... en quelque sorte", ironise-t-il, caressant sa longue barbe blanche. Dans les rues clairsemées de Bilytske, où vivaient 8.000 personnes avant la guerre, on croise avant tout des soldats et des retraités qui refusent de partir.Sergueï est revenu ici depuis le Portugal pour s’occuper de sa mère, déterminée à rester. A midi, c'est l'heure de la retrouver à l'église, où elle entame le carême. Là, popes et veuves de mineurs de fond de ce bassin houiller prennent un repas frugal de pommes de terre après avoir dit le bénédicité. Plongés dans l'odeur d’encens, les fidèles y sont persuadés d'être sous protection divine, qu'importent les détonations. "Dieu dit que le monde ici-bas est mauvais", dit un prêtre, le père Serguiï. "S’il y a la guerre, c’est parce que les gens ne croient plus !", tempête-t-il.- Mourir ici -A côté, le père Ivan, 56 ans, soupire car la plupart des paroissiens ont fui la ville bombardée. Seuls "les plus solides" sont restés, dit-il, comparant la petite église à "l'arche de Noé"."Les gens essaient de s’accrocher à ce qu’ils ont mis une vie à construire", dit le religieux pour expliquer la présence de ces civils dans une zone de guerre. "Nous avons travaillé dur toute notre vie, et en fin de compte, tout cela s’est avéré être sans grande importance".Khrystyna, une fidèle qui débarrasse la table à manger de l’église, dit être restée ici malgré la "peur" des explosions et le départ à Kiev de sa fille avec son nouveau-né. Cette ancienne trieuse de charbon de 64 ans s'occupe de sa maison et "espère" que sa fille reviendra. "Je ne pense pas qu’elle veuille rentrer", admet-elle tristement. Quant au risque de se retrouver sous le contrôle de la Russie ? "Nous n’avons pas le droit d’avoir peur, c’est la volonté de Dieu", esquive Khrystyna. "Si je dois mourir ici, alors je mourrai ici".Vers 16H, les cérémonies religieuses s'achèvent, les fidèles retournent chez eux. La lumière du jour décline. Raïssa quitte son travail où elle n’accueille plus grand monde. Elle retourne nourrir ses chiens au son des obus.fv/alf/rco/pt/lpt

  • Congé maladie : les règles de prescription des arrêts de travail par télémédecine vont être durcies

    Face à la hausse des arrêts maladie prescrits en téléconsultation, le gouvernement renforce les restrictions. De nouvelles règles sont entrées en vigueur.

  • La Maison Blanche juge que "grâce aux États-Unis, les Français ne parlent pas allemand aujourd'hui"

    La Maison Blanche a répondu ce lundi à des propos tenus par Raphaël Glucksmann qui souhaite le retour de la statue de la Liberté et estime que les Américains "ont choisi de basculer du côté des tyrans".

  • Cinq ans après le confinement : quels sont les nouveaux virus qui nous menacent

    Pourrait-on revivre un Covid-19 ? Cinq ans après le début du confinement, quels sont les risques épidémiologiques qui pèsent sur la France ? Si de nombreuses découvertes et pratiques médicales permettent aujourd’hui de limiter une épidémie de type Covid, de nouveaux virus apparaissent sur le territoire, portés notamment par le réchauffement climatique.

  • Affiche sur Cyril Hanouna : Cette réaction de Jean-Luc Mélenchon sur France 3 résume le problème de LFI

    Le leader de la France insoumise s’est emporté lors de son passage à Dimanche en politique. Une réaction mêlant déni et colère qui dit beaucoup du moment politique.

  • Vous pensez qu’Harry Potter et Spider-Man partagent vos opinions politiques ? Vous n’êtes pas le seul

    Une nouvelle étude révèle que, quel que soit notre bord politique, nous avons tendance à penser que les personnages de fiction « gentils » partagent nos idées, tandis que les « méchants » votent à l’opposé de nos convictions.

  • Est de la RDC: l'UE sanctionne des chefs militaires rwandais, rupture des relations diplomatiques Rwanda-Belgique

    L'Union européenne a imposé lundi des sanctions contre des chefs militaires rwandais et un responsable du secteur minier, en réponse à l'offensive du groupe armé M23 soutenu par le Rwanda dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC).Soutenu par quelque 4.000 militaires rwandais, selon des experts de l'ONU, le M23 ("Mouvement du 23 mars"), qui dit défendre les intérêts des populations tutsi de l'est de la RDC, a repris les armes fin 2021.

  • "On m'a enlevé un morceau de poumon": atteint d'un cancer, Pascal Bataille annonce être en rémission

    Interrogé par BFMTV, l'animateur Pascal Bataille, qui avait annoncé en décembre 2024 être atteint d'un cancer du poumon, a révélé être en rémission.

  • Comment le retour des astronautes de l’ISS a été instrumentalisé par Trump et Musk

    Bloqués depuis neuf mois sur l’ISS, Butch Wilmore et Suni Williams vont revenir sur Terre ce mardi grâce à SpaceX. Un retour dont ont profité Elon Musk et Donald Trump pour égratigner Joe Biden.

  • Mort d'Émilie Dequenne: ses obsèques auront lieu le 26 mars à Paris

    La comédienne, morte à 43 ans d'un cancer rare, sera incinérée au crématorium du Père-Lachaise.

  • PSG-OM: le maire de Marseille dénonce des "attaques intolérables" contre Rabiot et sa famille

    Benoît Payan, le maire de Marseille, s’insurge contre les messages haineux et les insultes subies par Adrien Rabiot lors du choc de Ligue 1 entre le PSG et l’OM, dimanche au Parc des Princes (3-1). L’élu demande "une réaction claire" de la part du club de la capitale et de la Ligue de football professionnel.

  • Sur le cas Hanouna, Mélenchon à contre-courant de ses troupes

    Ses lieutenants venaient d'effectuer à l'unisson un rare exercice d'autocritique sur l'affiche de La France insoumise représentant Cyril Hanouna.En l’occurrence celui montrant le visage de Cyril Hanouna, d'origine juive tunisienne, en noir et blanc, sourcils froncés et grimace agressive.

  • « Top Chef 2025 » sur M6 : Découvrez les portraits des 14 candidats qui vont s’affronter aux fourneaux

    La 16e saison du concours culinaire débute le mercredi 26 mars. 11 hommes et 3 femmes vont tenter de remporter le chèque promis au vainqueur. Mais pas seulement.

  • HPI : TF1 a une idée pour repousser les adieux de la série après la saison 5

    Officiellement, la saison 5 de HPI, dont la date de sortie est prévue au 15 mai 2025, sera la dernière de la série. Pourtant,...

  • Ce sandwich a été élu le meilleur du Grand Paris en 2025 : voici où le déguster

    Le sandwich est votre repas sur le pouce par excellence ? Voici l’adresse à connaître absolument pour se régaler à proximité de la capitale. Cette dernière a remporté le titre de meilleur sandwich du Grand Paris pour l’édition 2025.

  • L'Algérie rejette la liste d'expulsés prioritaires transmise par le gouvernement français

    Dans un contexte de tensions avec Alger, Bruno Retailleau avait dressé une liste de soixante noms des ressortissants algériens aux profils les plus "dangereux" à expulser de France.

  • "Des insultes indignes, honteuses et révoltantes": Philippe Diallo sort du silence sur les banderoles contre Rabiot lors de PSG-OM

    Président de la FFF, Philippe Diallo a réagi ce lundi aux banderoles injurieuses des supporters parisiens ayant visé Adrien Rabiot et sa famille, dimanche soir lors de PSG-OM en Ligue 1.

  • Trump n'en finit plus de défier les juges

    Que ce soit en invoquant une loi en guerre pour expulser des migrants, ou en remettant en cause des grâces accordées par son prédécesseur, Donald Trump n'en finit plus de défier le pouvoir judiciaire.Un juge de Washington doit se pencher lundi à 17h00 locales sur la légalité d'une spectaculaire opération d'expulsion vers le Salvador, concernant plus de 200 membres présumés d'un gang vénézuélien.Cette opération avait été menée sur la base d'une loi de la fin du XVIIIè siècle, qui permet en temps de guerre d'arrêter et d'expulser des "ennemis étrangers", et que le président républicain entend mettre en oeuvre, pour la première fois, en temps de paix.Saisie de la question, la justice avait ordonné samedi une suspension de 14 jours de toute expulsion, mais la Maison Blanche affirme que les avions transportant les migrants vers le Salvador avaient déjà décollé quand cette décision a été rendue, et qu'il était impossible de faire machine arrière.Dans un autre geste de défi, Donald Trump a promis lundi de poursuivre ses adversaires politiques au mépris des grâces accordées par Joe Biden.- "Nulles" -Le président républicain a affirmé dans un message sur son réseau Truth Social que les grâces préventives accordées par l'ancien président démocrate à plusieurs bêtes noires des républicains étaient "nulles et non avenues", en assurant qu'elles avaient été signées non pas à la main mais avec un "stylo automatique", un automate qui permet de reproduire le paraphe préalablement enregistré d'un individu."Il n'était pas au courant", a encore écrit le milliardaire de 78 ans, qui a de nombreuses fois affirmé que son prédécesseur octogénaire n'était plus réellement aux manettes à la fin de son mandat.Le démocrate avait notamment accordé sa protection à l'ancien chef d'état-major, le général Mark Milley, à l'ex-architecte de la stratégie de la Maison Blanche contre le Covid-19, le Dr Anthony Fauci, ainsi qu'aux élus et fonctionnaires ayant participé à une commission d'enquête sur l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021.Les membres de cette commission d'enquête "doivent bien comprendre qu'ils sont sujets à une enquête au plus haut niveau", a encore écrit Donald Trump.Pendant sa campagne il avait promis de poursuivre ses adversaires politiques, en réservant ses attaques les plus féroces aux parlementaires membres de cette commission ainsi qu'aux magistrats ayant enquêté contre lui.Si les conséquences juridiques de ces déclarations vindicatives restent incertaines, elles illustrent la volonté du républicain de gouverner sans contraintes, ou en tout cas en repoussant au maximum les limites constitutionnelles encadrant le pouvoir présidentiel.- "Nous sommes en guerre" -Par exemple, la loi d'exception de 1798 invoquée samedi par l'administration Trump pour justifier l'expulsion de membres présumés du gang de trafiquants de drogue vénézuélien Tren de Araguan n'avait été utilisée qu'à trois reprises, et jamais en temps de paix : Pendant la guerre anglo-américaine de 1812; puis pendant la Première Guerre mondiale contre des ressortissants de pays ennemis et la Seconde Guerre mondiale pour interner plus de 100.000 citoyens japonais et Américains d'origine japonaise."Nous sommes en guerre" a justifié Donald Trump dimanche, en évoquant une "invasion" des Etats-Unis par des criminels venus de l'étranger.Dans une analyse publiée en ligne, Steve Vladeck, professeur de droit à l'université de Georgetown, estime qu'il s'agit potentiellement d'un "précédent extraordinairement dangereux" permettant au président de "court-circuiter" les protections légales dont bénéficient les étrangers aux Etats-Unis. Mais l'expert souligne que la loi en question prévoit des garde-fous que les tribunaux devraient faire respecter, et juge que dans quelque temps "nous devrions nous souvenir de cette affaire pour son côté retentissant plus que pour sa substance."Nombre de décisions prises par le milliardaire depuis son retour au pouvoir le 20 janvier ont été attaquées et dans certains cas bloquées en justice, au motif qu'elles empiètent sur les prérogatives du Congrès, ou qu'elles violent la Constitution.La Maison Blanche de son côté estime que ce sont les juges qui outrepassent leurs compétences quand ils s'opposent aux décisions du président.aue/ev

  • Emilie Dequenne, "Rosetta" pour toujours au cinéma, emportée par le cancer

    Révélée à 18 ans dans "Rosetta", fauchée à 43 ans par un cancer rare, au terme d'une lutte acharnée qu'elle avait rendue publique: le cinéma est en deuil lundi, au lendemain de la mort de l'actrice multirécompensée Emilie Dequenne.Plusieurs longs-métrages avec Emilie Dequenne vont être diffusés à la télévision pour lui rendre hommage: France 3 propose lundi soir "Une femme de ménage" de Claude Berri, Canal+ Cinéma(s) programme mardi soir "Survivre", sa dernière apparition, et "Rosetta" est annon

  • Meta fait tout pour empêcher la diffusion d'un livre «règlement de comptes» écrit par une ancienne employée

    Lors d'une audience d'urgence, l'entreprise a invoqué une clause de non-dénigrement. L'autrice du livre «Careless People» n'a pour le moment plus le droit de promouvoir son ouvrage paru le 13 mars.