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Sagittaire

23 NOVEMBRE - 21 DÉCEMBRE

Amour : Vous parlez beaucoup mais écoutez peu. Pensez aux autres de temps en temps ou votre entourage se lassera vite de vos monologues et vous risquez de faire le vide autour de vous.

Travail-Argent : Vous avez les atouts pour réussir au niveau professionnel, alors faites un effort ! Ne vous contentez pas du minimum et vous serez capable du meilleur.

Santé : Vos résistances seront affaiblies et vous pourriez être plus sensible aux allergies.

15 march
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • En Argentine, la rue se remobilise contre les excès verbaux de Milei sur la diversité

    Des propos virulents et des velléités de légiférer sur la diversité: le président ultralibéral argentin Javier Milei fait face samedi à sa première manifestation d'importance depuis des mois, initiée par les milieux féministes et LGBT+, ainsi que les syndicats, pour qui l'exécutif a "franchi un seuil".La "Marche de la fierté antifasciste et antiraciste", qui devrait se dupliquer dans des villes de province, reliera à Buenos Aires le Parlement à la Place de Mai, siège de la présidence, avec une participation vraisemblablement conséquente.Pour cette sorte de "Marche des Fiertés bis" (la grande marche annuelle a eu lieu en novembre), des syndicats proches de l'opposition de gauche et des retraités - grands perdants de l'austérité prônée par Milei - se sont joints à l'appel des mouvements féministes et de défense des droits humains.Le déclencheur est le discours du président Milei il y a dix jours à Davos. Montant le volume dans sa "bataille culturelle", il s'en était pris longuement au "virus woke", au "féminisme radical" et à "l'idéologie de genre" dont la "version extrême" est une "maltraitance d'enfants".- Un Milei "enhardi" -Le président et son porte-parole se sont défendus, se disant attaqués pour des choses qu'"il n'a jamais dites". Et, une fois de plus, se présentant en "libéraux, à l'ADN respectueux sans restriction du projet de vie d'autrui". Mais pas avec "l'argent de l'Etat", pas au prix d"un "business derrière une cause noble", à l'image selon eux des emplois au ministère de la Femme, ou à l'INADI, l'Institut contre la discrimination, tous deux supprimés.A Davos, "je pense que le président a clairement franchi un seuil, enhardi par la victoire de (Donald) Trump (à la présidentielle américaine), se radicalisant comme pour se montrer le +meilleur élève+ de l'Empire", analyse pour l'AFP Luci Cavallero, une sociologue et féministe, au coeur de la mobilisation de samedi."Mais en réalité c'est une politique systématique qui date d'avant et s'articule avec le discursif", estime-t-elle, énumérant le définancement de programmes sociaux, tels que l'aide aux questions d'identité, à la violence de genre ou la prévention de grossesses adolescentes. Ainsi que la dissolution de l'INADI, qui a été absorbé par le ministère de la Justice.Dans la foulée de Davos, certains projets du gouvernement, comme celui de supprimer le concept pénal de féminicide au nom de "l'égalité", ou d'une loi anti-quotas (trans), ont fini par ulcérer à gauche. Et à susciter une gêne dans la droite "classique". Quand bien même ces projets ont un avenir hypothétique, étant donné l'arithmétique parlementaire très défavorable aux libertariens de Milei.- "L'antagonisme permanent" -Du coup, buzz ou menace réelle? Des sorties comme à Davos "ne devraient pas nous surprendre", tempère le politologue Gustavo Marangoni. "Depuis le début, bien avant qu'il soit candidat, quiconque a suivi le +film Milei+" sait que son "intention permanente est de jouer l'antagonisme", le "eux contre nous", "construire un rival, fut-il imaginaire". Et l'année électorale 2025 - avec en octobre des législatives de mi-mandat - verra encore plus de ce narratif strident, binaire, prédit M. Marangoni. Alors que Milei tentera d'élargir sa base électorale - famélique au Parlement - en caricaturant l'adversaire et en demandant à ceux qui le suivent plus ou moins: "voyez ceux d'en face; alors, de quel côté vous êtes?". Mais pour une opposition encore traumatisée par sa défaite fin 2023, les occasions de remobilisation comme samedi se font rares, face à un président surfant sur de bons résultats macro-économiques: inflation réduite de moitié en un an, premier excédent budgétaire en 14 ans, balance commerciale record depuis 15 ans. Nonobstant récession et pauvreté en hausse.L'exécutif a gardé un mauvais souvenir des marches massives et tendues d'avril pour la défense de l'Université, quand il avait été contraint à une marche arrière partielle. Mais il n'avait pas tremblé en septembre, ni en octobre, face à des mobilisations (moindres) pour les salaires des enseignants, ou les retraites. C'est "très bien qu'ils marchent (samedi), s'ils pensent que cela peut apporter à leurs libertés...", a commenté cette semaine la présidence, guère émue.pbl-tev-nb/lab/lrb/roc

  • Le Canada et le Mexique, premières victimes des droits de douane de Trump

    Le Canada et le Mexique, et dans une moindre mesure la Chine, vont devenir samedi les toutes premières victimes de l'arme des droits de douane brandie par Donald Trump, qui espère imposer ses volonté en forçant ainsi la main à ses partenaires commerciaux.Et cela ne pourrait être que le début, car Donald Trump prépare déjà la phase suivante de sa guerre commerciale: "Est-ce que je vais imposer des droits de douane à l'Union européenne?

  • Marco Rubio entame au Panama sa première tournée à l'étranger

    Le nouveau chef de la diplomatie américaine Marco Rubio se rend samedi au Panama pour y défendre les intérêts des Etats-Unis alors que Donald Trump jure de vouloir reprendre le canal de Panama sur fond de rivalité avec la Chine.Il aura aussi un entretien avec l'Autorité du Canal de Panama, qui gère l'axe stratégique, a-t-il ajouté, en évoquant "la présence généralisée" de la Chine au détriment des intérêts des Etats-Unis.

  • La Serbie manifeste et commémore les trois mois de l'accident de Novi Sad

    Les étudiants serbes qui défilent sans relâche contre la corruption appellent à manifester samedi à Novi Sad, là où est né l'immense mouvement de contestation qui secoue la Serbie depuis un effondrement meurtrier survenu il y a trois mois jour pour jour.Des manifestations ont lieu presque chaque jour depuis la mort de 15 personnes dans la chute de l'auvent en béton de la gare de Novi Sad, qui venait d'être rénovée. L'accident a ravivé une colère sourde en Serbie contre la corruption et le manque présumé de contrôle des grands projets de construction, et a contraint le Premier ministre à la démission.Les premiers manifestants sont arrivés vendredi soir, à pied depuis Belgrade, à une centaine de kilomètres. Leur marche a été saluée par des applaudissement et des signes de soutien dans plusieurs villages, selon les témoignages publiés par dizaines sur les réseaux sociaux.Samedi, les trois principaux ponts de Novi Sad, qui enjambent le Danube, devraient être bloqués pendant au moins 3 heures par les manifestants, et l'un d'eux pendant 24h. - Universités en première ligne -Les étudiants ont pris la tête du mouvement de contestation, l'un des plus grands que la Serbie ait connus ces dernières années.Le départ du Premier ministre, Milos Vucevic, annoncé mardi matin, n'a pas convaincu les étudiants de débloquer les universités qu'ils occupent depuis des semaines. Ils estiment que cela ne répond pas à leurs revendications : une hausse de 20% du budget de l'Enseignement supérieur, la publication de tous les documents relatifs à la rénovation de la gare, l'arrestation des personnes soupçonnées d'avoir agressé des étudiants et des professeurs depuis le début des manifestations, l'abandon des poursuites contre les étudiants arrêtés.Pour les autorités, le sujet est clos : elles estiment y avoir répondu. Le président Aleksandar Vucic, qui oscille entre appels au dialogue et accusations d'ingérences étrangères, a gracié mercredi 13 personnes arrêtées depuis le début du mouvement, et affirmé que de nouveaux documents relatifs aux travaux de la gare allaient être publiés.Des dizaines d'enquêtes ont été ouvertes contre des personnes soupçonnées d'avoir attaqué des manifestants, et le ministre des Finances Sinisa Mali a annoncé jeudi que les frais d'inscription à l'université allaient être divisés par deux."Si vous regardez les quatre revendications (des étudiants), il est désormais clair qu'elles ont toutes été satisfaites", a écrit sur Instagram M. Mali, que la rumeur voit déjà Premier ministre."Mais c'est devenu un mouvement plus large", explique Bojan Klacar directeur exécutif du Centre pour des élections libres et la Démocratie. "Je ne suis pas certain que le simple fait de répondre à ces demandes satisfasse les manifestants". Pour M. Klacar, qui s'attend à ce que la manifestation de samedi soit "massive", elle ne saurait être à elle seule un point de bascule. La bascule "n'arrivera que si le mouvement de protestation s'étend à des groupes capables de paralyser les institutions. Là, nous assistons à une paralysie des universités et de certaines écoles. Mais le véritable tournant ne se produira que si les manifestations s'étendent à d'autres domaines susceptibles de perturber gravement le fonctionnement de l'Etat. Et je ne suis pas sûr que cela se produise après Novi Sad".- Elections -Les étudiants, qui ont surpris le pays par leur organisation, les assemblées dans lesquelles ils décident des actions à mener aux manifestations qu'ils encadrent avec un service d'ordre, se tiennent à distance des partis d'opposition, martelant qu'ils ne veulent pas que leur mouvement devienne politique.L'opposition, elle, tente de trouver sa place, et appelle à la formation d'un gouvernement de transition chargé d'organiser des élections libres.Mais face à des manifestations qui ne faiblissent pas, le président pourrait se décider à abattre l'une de ses dernières cartes : convoquer de nouvelles élections sans passer par un gouvernement de transition. Mardi, il s'est donné "dix jours" pour décider. Entre temps, il doit se rendre dans différentes villes pour y rencontrer les citoyens. Samedi, il devrait être dans le sud, à des centaines de kilomètres de Novi Sad.  oz-cbo/lpt/lpa

  • Quatrième échange samedi entre otages israéliens à Gaza et prisonniers palestiniens

    Israël et le Hamas doivent procéder samedi au quatrième échange entre otages israéliens et prisonniers palestiniens depuis le début de la trêve le 19 janvier à Gaza, avec la libération attendue du père des deux derniers enfants captifs dans le territoire palestinien, un cas qui bouleverse Israël. Durant les six semaines de la première phase de la trêve, 33 otages israéliens au total, dont huit décédés, doivent être remis à Israël contre environ 1.900 prisonniers palestiniens.

  • Venezuela: six Américains libérés après la visite de l'émissaire de Trump

    Six Américains emprisonnés au Venezuela ont été libérés vendredi et sont repartis aux Etats-Unis avec l'émissaire de Donald Trump, après son entrevue exceptionnelle avec le président Nicolas Maduro qui a appelé à un "nouveau départ" des relations entre Caracas et Washington.- Relations tendues - Caracas avait rompu les relations diplomatiques avec Washington en janvier 2019 après que les Etats-Unis -- alors présidés par M. Trump --, cherchant à évincer le président Maduro, ont reconnu l'opposant

  • Etats-Unis : Une médecin de New York inculpée par l’Etat de Louisiane pour téléprescription de pilules abortives

    AVORTEMENT - Une médecin new-yorkaise a été inculpée en Louisiane pour avoir prescrit à distance des pilules abortives à une mineure, un acte interdit dans cet Etat. Elle fait aussi l’objet de poursuites au Texas

  • Le "10" rentre à la maison: Neymar retrouve les supporteurs du Santos

    Bravant la pluie, des milliers de supporteurs ont acclamé vendredi la star Neymar pour son retour au Santos, le club brésilien qui l'a formé, près de douze ans après son départ pour le football européen.Après avoir annoncé la veille son retour dans l'équipe de São Paulo où il a évolué entre 2009 et 2013, le Brésilien de 32 ans a signé vendredi un contrat de six mois, selon le vice-président du Santos, Fernando Bonavides.

  • Brest - PSG : à quelle heure et sur quelle chaîne regarder le match de Ligue 1 en direct ?

    Après sa rencontre face au Real Madrid, Brest affronte le PSG ce samedi. Ces derniers, toujours invaincus et premiers au classement, chercheront à confirmer leur domination. Face à eux, les Bretons espèrent poursuivre sur leur lancée et bousculer les leaders. Voici les détails pour suivre ce match.

  • Etats-Unis : Un avion médical se crashe dans les rues de Philadelphie avec six personnes à bord

    ACCIDENT - Un jet médical s’est écrasé vendredi peu après 18h dans le nord-est de Philadelphie. A son bord se trouvaient quatre membres d’équipage, un enfant et son accompagnant

  • Crash d'avion mortel à Philadelphie : au moins six morts

    Un petit avion s'est écrasé sur un centre commercial à Philadelphie, aux Etats-Unis. Le premier bilan très provisoire fait état de six morts.

  • Etats-Unis : Trump impose la suppression des pronoms dans les e-mails des employés fédéraux

    ORDRE VENU D’EN HAUT - Plusieurs agences fédérales doivent supprimer les pronoms des signatures d’e-mails, en application de décrets signés par Donald Trump, limitant les programmes de diversité

  • Tournoi des Six Nations 2025 : le XV de France s’impose 43-0 face au pays de Galles

    Les Bleus ont remporté leur premier match en marquant 7 essais face aux Gallois, malgré un carton rouge qui pourrait leur porter préjudice face à l’Angleterre la semaine prochaine.

  • "Les joueurs s'insultent tout le temps sur un terrain": Still et Gasset hallucinent encore de leur double carton rouge lors de Montpellier-Lens

    Will Still et Jean-Louis Gasset ont tous les deux vu la majeure partie de Montpellier-Lens (0-2) depuis les tribunes ce vendredi 31 janvier 2025, en ouverture de la 20e journée de Ligue 1. Les deux entraîneurs ont écopé d'un carton rouge en même temps, ce que ne comprend pas le technicien lensois.

  • Cécile Kohler prisonnière en Iran depuis 1 000 jours : Macron dénonce une détention « indigne et arbitraire »

    Accusés d’espionnage par les autorités iraniennes, la professeure française et son compagnon Jacques Paris sont détenus depuis mai 2022.

  • France 43-0 Pays de Galles : "Le rouge de Ntamack ? Une décision juste mais..." modère Galthié

    France 43-0 Pays de Galles : "Un match d'entraînement face à des Gallois nuls" Charvet Le XV de France a mis une rouste au Pays de Galles 43-0, ce vendredi soir pour son entame du Tournoi des 6 Nations. Une victoire facile reconnait notre consultant

  • Val d’Oise : Une voiture à nouveau percutée par un train au passage à niveau le plus dangereux de France

    ACCIDENT - Un train a percuté une voiture bloquée sur le passage à niveau de Deuil-Montmagny (Val-d’Oise) ce vendredi, blessant gravement le conducteur et son passager

  • Est de la RDC: le nouveau gouverneur militaire du Nord-Kivu a pris ses fonctions à Beni

    Trois jours après sa nomination par le chef de l’État, Félix Tshisekedi, le général major Evariste Kakule Somo s’est installé à Beni, dans le nord de la province du Nord-Kivu, ce vendredi 31 janvier. En raison de la présence à Goma du M23 et des militaires rwandais, celui-ci a annoncé que la ville devenait temporairement le chef-lieu de la région. Avec notre correspondante à Kinshasa, Paulina ZidiLa cérémonie d'intronisation du nouveau gouverneur militaire de la province du Nord-Kivu, le général

  • L1: Lens domine Montpellier et se replace dans la course à l'Europe

    Lens n'a pas gâché l'opportunité de s'asseoir provisoirement sur un strapontin européen en s'imposant (2-0) logiquement à Montpellier, vendredi en ouverture de la 20e journée de Ligue 1.L'équipe de Jean-Louis Gasset n'a pas réussi à confirmer ses deux récents succès devant Monaco (2-1) et à Toulouse (2-1).

  • Catastrophe aérienne de Washington: la boîte noire de l'hélicoptère a été retrouvée

    Les enquêteurs ont retrouvé ce vendredi la boîte noire de l'hélicoptère impliquée dans la catastrophe aérienne à Washington ce mercredi, qui a causé la mort de 67 personnes.