Jim Carrey : du succès mondial à la vie recluse
Mardi soir, TMC diffusera le film « The Mask ». L’occasion de revenir sur le parcours hors-normes de Jim Carrey, entre succès et descente aux enfers.
C’est en 1994 que Jim Carrey se fait connaître du grand public grâce aux films « Ace Ventura, détective chiens et chats », « The Mask » et « Dumb and Dumber ». Sa gestuelle et ses mimiques font mouche. En quelques années, les succès vont s’enchaîner. « Disjoncté » en 1996, « Fous d’Irène » en 2000, « Bruce tout-puissant » en 2003, « Eternal Sunshine of the Spotless Mind » en 2004, « Le drôle de Noël de Scrooge » en 2009, « L’incroyable Burt Wonderstone » en 2013 : l’acteur canadien s’impose comme une figure emblématique du septième art et ses performances lui valent deux Golden Globes. L’avenir de Jim Carrey semble alors tout tracé. Côté vie privée pourtant, il va devoir faire face à un terrible drame. Son ancienne compagne, Cathriona White, se suicide en septembre 2015, peu de temps après leur séparation. La famille de la jeune femme et son ex-époux accuse l’acteur de lui avoir fourni les médicaments à l’origine de son décès. C’est le début de la descente aux enfers pour Jim Carrey.
« Elle me libère des regrets »
Durant trois longues années, la star de « Eternal Sunshine of the Spotless Mind » va vivre une existence des plus solitaires, loin des projecteurs hollywoodiens. Il va tomber dans une forme de dépression et va se tourner vers la peinture : « Je ne sais pas ce que la peinture m’apprend, je sais simplement qu’elle me libère. Elle me libère du futur, elle me libère du passé, elle me...
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