Justine Triet : cinq choses que vous ne savez pas sur la réalisatrice d'« Anatomie d'une chute »

Elle sait d'où elle vient et c'est l'une de ses grandes forces. La réalisatrice française Justine Triet a remercié sur la scène de la 81e édition des Golden Globes ceux « qui l'ont encouragée à faire exactement ce que j’aime faire ». Après la Palme d'or en mai dernier et le prix du meilleur film européen de l'année en novembre, « Anatomie d'une chute », son dernier long-métrage, vient d'obtenir deux Golden Globes, les prix de la presse étrangère à Hollywood, ceux du scénario et du meilleur film en langue étrangère. Voici cinq informations que vous ignorez peut-être sur la cinéaste de 45 ans.

1. Elle a été élevée au sein d'une communauté bouddhiste

Née à Fécamp (Seine-Maritime) le 17 juillet 1978, Justine Triet passe son enfance à Paris, qu'elle décrivait, en 2013, dans « Les Inrocks » dans « la marginalité ». Ses parents étaient bouddhistes et multipliaient les petits boulots. Son père a ainsi été projectionniste, sa mère mannequin mais jamais très longtemps.

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2. Elle a suivi des études de peinture

A l'adolescence, Justine Triet veut devenir peintre. Aux Beaux-Arts de Paris, elle rencontre le futur réalisateur Virgil Vernier (« Les Mercuriales ») qui lui met le pied à l'étrier. elle définissait sa peinture comme « figurative, un peu bizarre, un peu expressionniste. »

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3. Elle a commencé par des documentaires

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