Épilation à la lumière pulsée : tout savoir sur cette technique

Se débarrasser de ses poils une fois pour toutes, sans passer par la case dermato, c’est la promesse de l’épilation à la lumière pulsée. On fait le point.

A quoi sert l’épilation à la lumière pulsée ?

À détruire plus de 80 % des poils des jambes, des aisselles, du maillot ou du visage. Avec elle, on dit stop aux séances d’épilation rapprochées !

Comment ça fonctionne ?

On applique, chez soi, un épilateur en forme de pistolet sur chaque centimètre carré de peau à traiter. L’appareil envoie des flashs de lumière qui visent la mélanine, le pigment qui colore nos poils. La lumière dissout les bulbes des poils en phase de repousse. C’est douloureux ? Pas du tout. Sur les trois appareils testés, seul celui utilisé sur peau mate a provoqué une « légère sensation de chaleur ».

La lumière pulsée, c’est contraignant ?

Oui, car il faut se raser deux jours avant chaque séance pour que les poils soient en phase de repousse. Près du visage et sous les bras, le port de lunettes de protection est conseillé. Et côté agenda, ça ne rigole pas : il faut se « flasher » toutes les 2 semaines pendant 2 à 3 mois, puis 1 fois par mois pendant 2 à 4 séances, selon la repousse. Et éviter de s’exposer au soleil pendant le traitement, puis pendant les 15 jours qui suivent la dernière séance.

Pourquoi raser avant l’épilation à la lumière pulsée ?

Vous l’aurez compris, l’épilation à la lumière pulsée à la maison ne signe pas l’arrêt définitif du rasoir. En effet, il est important de raser ses poils visibles afin que l’outil puisse atteindre sans encombre la racine du poil. Eh oui, lorsque...

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