Lily Allen fait une pause pour soigner sa santé mentale

Lily Allen fait une pause pour soigner sa santé mentale

Lily Allen s'apprête à faire une pause sans Internet ni téléphone.

La chanteuse britannique a annoncé qu'elle prenait du recul par rapport à son podcast Miss Me ? avec sa coanimatrice Miquita Oliver « pour quelques semaines » afin de « s'éloigner » car elle n'est pas « dans une bonne situation ». Elle fait donc une pause pour se ressourcer.

Lors de l'épisode de jeudi 9 janvier (25) du podcast BBC Sounds, Lily Allen a déclaré que sa santé mentale s'était détériorée et qu'elle avait traversé une « période difficile ». Cette nouvelle intervient au milieu de rumeurs selon lesquelles elle s'est séparée de son mari, la star de Stranger Things David Harbour, qu'elle a épousé en 2020, après avoir découvert qu'il était actif sur l'application de rencontres de célébrités Raya. Cependant, ni l'un ni l'autre n'a confirmé la séparation.

Dans l'épisode, Lily Allen a avoué qu'elle était « incapable de se concentrer sur quoi que ce soit d'autre que la douleur que je ressens ».

« J'ai du mal à m'intéresser à quoi que ce soit. Je ne suis vraiment pas dans un bon état », a déclaré la chanteuse de Smile. « Je sais que j'en parle depuis des mois, mais j'ai été dans une spirale, une spirale et une spirale, et c'est devenu incontrôlable. J'ai essayé. »

Lily Allen a donné des exemples de son mal-être. Ainsi, elle avait récemment dû quitter plus tôt que prévu un déjeuner de Noël pour son podcast après avoir eu une crise de panique. Ou encore, « l'autre soir, je suis allée voir un spectacle au théâtre avec mes amis... et j'ai dû partir au milieu. Je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose que la douleur que je ressens. Et c'est vraiment difficile. »

En ce qui concerne sa pause annoncée, la chanteuse - qui a parlé ouvertement de l'abus de drogues et d'alcool dans le passé - a assuré à ses auditeurs qu'elle n'allait pas en cure de désintoxication. Lily Allen n'a pas révélé où elle se rendait, mais a précisé qu'elle n'avait « pas le droit d'utiliser (son) téléphone ». Ce qui s'apparente, quand même, à une détox des réseaux sociaux...