Lucinda Riley : comment la disparition de Lady Diana a détruit le début de sa carrière
Si les ouvrages de Lucinda Riley continuent de passionner les lecteurs trois ans après son décès, ses débuts en tant qu’autrice ont été plus que difficiles. Et cela a un lien direct avec la famille royale…
Saviez-vous qu’avant de connaître le succès en tant que Lucinda Riley, l’autrice écrivait autrefois sous son vrai nom, Lucinda Edmonds ? C’est d’ailleurs sous sa véritable identité qu’elle avait signé la première version de son roman La Promesse cachée, publiée en langue anglaise sous le titre de Hidden Beauty dans les années 90. Sa nouvelle mouture, qui a bénéficié d’une sortie mondiale en septembre et est paru chez Charleston en France, a été retravaillée par son fils Harry Whittaker, qui co-signait déjà le huitième tome de sa saga des Sept sœurs. Mais tous ses romans de jeunesse n’ont pas eu le même destin…
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Lucinda Riley : un de ses premiers romans lié aux Windsor jugé « trop risqué »
C’est le cas de son ouvrage Seeing double, qui devait paraître outre-Manche peu de temps après la disparition tragique de Lady Diana à Paris le 31 août 1997. Et c’est son fils qui le raconte le mieux, dans la préface de La Promesse cachée : « Sa trajectoire d’autrice est contrariée par Seing double, un ouvrage dont l’intrigue suggère l’existence d’un membre illégitime au sein de la famille royale britannique. » Impossible qu’un tel pitch ne fasse pas polémique dans le contexte politique d'alors… « A l’époque, en raison de la disparition récente de la princesse Diana et de la...