« Elle m'était entrée dans la peau » : cette autrice française disparue en 1954 est la « sainte patronne » de Katherine Pancol

Les éditions de L’Archipel mettent à l’honneur, depuis le jeudi 30 janvier 2025, l’autrice préférée de Katherine Pancol. Rien de bien étonnant, donc, à ce qu’elle signe la préface de cette collection…

Femme libre et avant-gardiste, Colette, de son vrai nom Sidonie-Gabrielle Colette, est l’une des rares écrivaines à avoir marqué la littérature française classique. A telle point qu’elle sera la première femme à avoir droit à des obsèques nationales en 1954, à l’âge de 81 ans ! Un peu plus de sept décennies après sa disparition, Archipoche, collection de poche de L’Archipel, rend hommage à l’autrice d’origine bourguignonne en proposant quatre ouvrages regroupant ses œuvres principales, dont le texte autobiographique Mes apprentissages dans lequel elle se confiait sur la libération que fut son premier divorce.

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Claudine à l'école de Colette
Claudine à l'école de Colette

Katherine Pancol à propos de Colette : « Je la respire, je le mange, je la tète depuis l’enfance »

Ces quatre livres ont, outre leur autrice incarnée au cinéma par Keira Knightley, un point commun : ils sont tous préfacés par une certaine Katherine Pancol, pour qui Colette est tout simplement la « sainte patronne » de la littérature. « Je la connais. Je la respire, je le mange, je la tète depuis l’enfance », s’amuse celle qui a récemment publié Sous les platanes de Manhattan chez Albin Michel. Elle découvre un soir, à table, les histoires de Colette grâce à un de ses « soupirants » de sa mère et c’est grâce à un personnage phare de sa bibliographie, l’adolescente Claudine, qu’elle deviendra une...

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