« La main au collet » : images subliminales, accident, Alfred Hitchcock au régime... Découvrez 5 anecdotes surprenantes sur ce film oscarisé
Grace Kelly et Gary Grant jouent au chat et à la souris dans cette comédie policière, réalisée par le maître du suspense, Alfred Hitchcock. Sorti en 1955, le long-métrage a remporté l’oscar de la Meilleure Photographie. Découvrez cinq anecdotes surprenantes sur ce classique du cinéma.
Direction la Riviera, dans le Sud de la France. C’est ici qu’Alfred Hitchcock a tourné La main au collet, qui signe sa troisième collaboration avec Grace Kelly et Gary Grant. En effet, avant ce long-métrage, la comédienne et future princesse Grimaldi, avait tourné dans Le Crime était presque parfait (1954) et Fenêtre sur cour (1954). Quant à Gary Grant, Alfred Hitchcock l’avait déjà dirigée sur Soupçons (1941) et Les Enchaînés (1946). La main au collet est l’adaptation du roman de David Dodge et s'intéresse à un ancien cambrioleur, incarné par Gary Grant, qui profite d'une retraite paisible sur la Côte d'Azur, jusqu'au jour où il est suspecté d'être l'auteur d'une série de vols commis dans la région. Afin de prouver son innocence, le malfrat décide de rechercher le vrai coupable…
Voici cinq anecdotes sur ce grand classique du cinéma hitchcockien.
1 - Images subliminales
Le cinéma, c’est vingt-quatre images par seconde… ce qui laisse de l’espace aux monteurs pour s’amuser à glisser, parfois, quelques images subliminales que peu de rétines humaines vont avoir le temps de saisir. Aussi, dans La main au collet, Alfred Hitchcock s’est amusé en insérant des images subliminales représentant un chat noir lorsque le brigant, interprété par Cary Grant, apparaît les premières fois à l'écran. Son personnage, John Robie, est en effet surnommé "le chat".
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