Mort de Catherine Laborde : sa résidence secondaire sur l'île d'Yeu qu'"elle aimait tant", où elle a passé ses derniers jours

Mort de Catherine Laborde : sa résidence secondaire sur l'île d'Yeu qu'"elle aimait tant", où elle a passé ses derniers jours

Catherine Laborde, qui a marqué des générations de téléspectateurs en présentant la météo sur TF1 pendant près de 30 ans (de 1988 à 2017), est décédée le 28 janvier 2025 à l'âge de 73 ans. Après un long combat contre la maladie à corps de Lewy, un mélange d'Alzheimer et de Parkinson, elle a trouvé le repos dans sa maison de l'île d'Yeu, un lieu cher à son cœur. « Tu es partie sereinement dans ta maison de l'île d'Yeu que tu aimais tant », a confié sa sœur, Françoise Laborde, dans un message adressé à l'AFP. Cette demeure a été son refuge depuis de nombreuses années, jusqu'à ses derniers instants.

Catherine Laborde : son dernier refuge sur l'île d'Yeu

L'île d'Yeu, située en Vendée, était bien plus qu'une résidence secondaire pour Catherine Laborde : c'était un endroit où elle se sentait chez elle, entourée de la mer et de la nature. Sa maison, nichée sur cette île préservée, lui offrait un cadre de vie paisible, loin de l'agitation.

C'est dans ce cocon qu'elle a passé ses derniers jours, entourée de son mari Thomas Stern et de ses proches. L'atmosphère paisible du lieu et l'amour de sa famille ont permis à l'ancienne présentatrice de vivre une fin de vie sereine. Ce lien entre Catherine et l'île d'Yeu a marqué ses proches : « Elle aimait tant cette maison et ce cadre où elle pouvait enfin se reposer », a ajouté sa sœur journaliste.

L'île d'Yeu, un lieu d'inspiration et de souvenirs pour Catherine Laborde

Catherine Laborde avait trouvé sur l'île d'Yeu un endroit propice à l'évasion et au calme. Connue pour ses côtes sauvages, ses criques secrètes et son ambiance chaleureuse, l'île représentait tout ce qu'elle recherchait : simplicité, authenticité et discrétion.

Comme l'a confié sa sœur, la maladie imposait à Catherine d'être constamment entourée d'un proche ou...Lire la suite sur Le Journal de la Maison