Mort d'Émile : la "trace" d'un ADN étranger retrouvée lors des dernières analyses

Lors du week-end de Pâques 2024, une partie des ossements et des vêtements du petit Émile avaient été retrouvés par une randonneuse, dans le secteur du Haut-Vernet - soit à quelques kilomètres de la maison de ses grands-parents, où il avait été vu pour la dernière fois neuf mois plus tôt. Cette découverte confirmait donc les inquiétudes de sa famille : le petit garçon de deux ans et demi est bel et bien décédé. Depuis la découverte de ces indices, les enquêteurs ont réalisé diverses analyses afin de déterminer les causes de la mort d'Émile. Ces dernières ont été réalisées par l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, avant d'être complétées par celles du professeur Christian Doutremepuich. Si celles-ci avaient à l'époque conduit à des "avancées très notables", une nouvelle découverte est cette fois-ci venue s'ajouter à l'enquête.

Ce mercredi 9 octobre 2024, BFM DICI, l'une des branches de BFM TV, a révélé que le professeur Christian Doutremepuich et ses équipes du laboratoire d'hématologie médico-légale de Bordeaux travaillaient activement sur la question de l'ADN. Cet été, les proches d'Émile avaient dû se soumettre à fournir leurs empreintes génétiques auprès de la gendarmerie. Une procédure pour le moins classique dans ce type d'enquête. Depuis, un "important" travail sur les vêtements du garçonnet est en cours. "C’est important pour l’enquête et la biologie", a affirmé une source proche du dossier à BFM DICI. Mais selon les informations récupérées par (...)

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