Mort d’Emile : pourquoi la date de sa disparition peut expliquer qu’on ne l’ait pas retrouvé plus tôt ?

Neuf mois ont passé, mais l’affaire Emile continue de faire la Une de tous les médias français. Il faut dire qu’après 266 jours sans avancée significative dans l’enquête autour de la disparition de ce petit garçon de deux ans et demi, un tragique rebondissement a été annoncé : une partie de ses ossements a été retrouvée, confirmant donc son décès. C’est une randonneuse qui a fait cette funeste découverte samedi 30 mars 2024, dans une zone boisée et escarpée située à un kilomètre à peine du Haut-Vernet, où le petit Emile Soleil avait mystérieusement disparu le 8 juillet dernier. Mais comme l’a expliqué Marie-Laure Pezant, la porte-parole de la gendarmerie nationale, à TF1-LCI, ce secteur avait déjà été fouillé par les enquêteurs à plusieurs reprises depuis le début des investigations. Les ossements de l’enfant sont-ils arrivés sur place après ces recherches, ayant été déplacés par un animal ou même un humain, ou ont-ils simplement échappé à la détection des gendarmes ?

Mardi 2 avril 2024 – quelques minutes seulement après la conférence de presse au cours de laquelle le procureur de la République d’Aix-en-Provence a donné quelques détails sur la mort d’Emile – le général de gendarmerie Jacques Morel était invité sur le plateau de franceinfo. L’ancien patron de la section de recherches de Versailles a formulé une hypothèse qui pourrait expliquer pourquoi le petit garçon n’a pas été retrouvé plus tôt. Tout pourrait être dû à la température. Eh oui, souvenez-vous, à l’été 2023, la France (...)

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