Ces phrases que le psy ne devrait pas dire à son patient
Prendre le dessus sur la parole du patient
Un premier signe de dérive est lorsque le thérapeute monopolise la conversation ou impose ses propres opinions. Le rôle du psy est d’écouter et de guider la réflexion, non de dicter ce que le patient doit penser ou ressentir. Comme le souligne Liliane Holstein, psychanalyste et spécialiste des thérapies brèves, "Le thérapeute peut poser des questions pour aider le patient à s’ouvrir, mais il ne doit jamais influencer ses pensées ou ses opinions." Des réflexions du type “Moi aussi, j’ai traversé ça, je comprends ce que tu vis” ou “Je pense que vous devriez faire ceci” sont également à proscrire. En thérapie, le praticien doit permettre au patient de s’exprimer librement sans peur de jugement ou d’influence.
Ne pas offrir de solutions toutes faites
Il est tentant pour un thérapeute de vouloir "résoudre" les problèmes de ses patients. Cependant, la thérapie n'est pas une recette magique où le professionnel livre une solution prête à l’emploi. Selon Céline Brocheray, psychologue et psychanalyste, "Donner des solutions toutes faites peut freiner le travail introspectif du patient et créer de nouvelles résistances." La véritable guérison vient de la découverte personnelle du patient, guidée par des questions qui ouvrent de nouvelles perspectives. Dans une thérapie de couple, par exemple, le thérapeute doit laisser chacun exprimer ses ressentis sans prendre parti ou imposer une direction (...)
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