Dans le podcast Il était une première fois, Dimitri raconte : « Comment j’ai accepté d’être vulnérable »

Dimitri raconte comment une rencontre a bouleversé sa vie alors qu'il perdait la vue.
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Dans cet épisode du podcast Il était une première fois, Dimitri, photojournaliste atteint d’une maladie qui lui fait perdre la vue, raconte sa rencontre avec Alex et son apprentissage de sa propre vulnérabilité.

Dimitri est photojournaliste et, depuis ses 15 ans, il perd la vue progressivement et sa maladie l’angoisse. « C’est un peu la loose pour un photojournaliste », rigole-t-il. Si, aujourd’hui dans cet épisode de notre podcast, il sourit au micro de Julia Dion, ce n’était pas le cas avant. Avec la perte de ma vue, « ça me faisait m’éteindre », confie-t-il avant de raconter : « Il y a eu un moment de déclic avec ma psy où je me suis dit : je ne suis pas encore aveugle, je peux encore voir. »

C’est alors qu’il a pris une décision : s’autoriser à partir à l’aventure, direction New York, pour un reportage. Alors qu’il est seul dans un bar, un homme, Alex, l’aborde. Très vite, Dimitri sent qu’il peut se confier sans crainte d’être pris en pitié tandis que face à lui, Alex parle librement de sa dépression. « J’avais tendance à garder les choses pour moi pour ne pas faire peur. Et là, je n’ai pas besoin de le rassurer. »

L’apprentissage de la vulnérabilité

Cette rencontre bouleverse Dimitri. « Avec lui, je réalise que je suis terrorisé à l’idée de perdre la vue, de ne plus être capable de produire des photos, de ne plus être capable d’être compris. » Pendant un mois, les deux hommes vont se fréquenter. Plus qu’une rencontre, pour Dimitri, cette relation marquera l’apprentissage de sa propre vulnérabilité face à… celle de son ami.

Alex, dépressif, a en effet tenté de se suicider qui vit avec les...

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