Voici pourquoi certaines personnes sont plus tactiles que d'autres, selon une étude

Le besoin d'affection et de contact humain dépend souvent des préférences et des besoins de chacun. Cependant, une étude révèle que cela ne dépendrait pas uniquement de choix personnels. Notre cerveau pourrait bien jouer un rôle dans notre propension à faire des câlins.

Certains adorent être tactiles avec leurs proches et d'autres ne supportent pas qu'on les touche. Si l'on pourrait croire que cela dépend de la personnalité de chacun, une étude affirme que cela dépenderait simplement de notre cerveau. En effet, notre propension à être tactile serait innée... ou non.

Le rôle de l'ocytocine

Pour arriver à cette conclusion, des chercheurs allemands et américains ont mené une étude publiée dans la revue Psychoneuroendocrinologie, repérée par Psychologies. Ils auraient observé les interactions entre des parents et leurs enfants, âgés de 7 à 36 mois, montrant parfois une « variabilité marquée dans la recherche de contact physique dès le plus jeune âge ». D'après leurs recherches, notre envie d'être tactile avec les autres dépenderait de notre taux d'ocytocine, hormone de l'amour et de l'attachement.

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Cette hormone jouerait donc ici un rôle clé, mais la génétique aussi ! Les scientifiques ont découvert le gène CD38, lui aussi crucial dans certains de nos comportements. Parfois ce gène stimule la libération d'ocytocine dans notre cerveau, favorisant alors notre volonté à être proche physiquement des autres, parfois il en réduit la libéraiton, entrainant alors un comportement plus distant. On ne choisit donc pas d'être plus ou moins tactile, c'est inné !

Cependant, il est...

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