Rhume des foins : voici 10 façons simples de minimiser ses symptômes avec l’arrivée du printemps

Les allergies au pollen concernent près de 20% de la population française, et ce chiffre ne cesse d’augmenter en raison d’une concentration croissante de pollen dans l’air. Il existe toutefois plusieurs moyens pour soulager les symptômes et la fréquence des crises allergiques, comme le rappelle cet organisme sanitaire.

Pour les personnes allergiques aux pollens, les mois de mars à mai marquent le retour des rhinites, crises d’asthme et conjonctivites. En effet, l’exposition aux pollens est un réel enjeu de santé publique : 20 % des enfants à partir de 9 ans et 30 % des adultes sont concernés selon les chiffres de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). De plus, la prévalence de ces pathologies semble avoir augmenté ces dernières années. En cause, plusieurs facteurs en lien avec le changement climatique dont la hausse des températures qui provoque une floraison et une pollinisation plus précoces et un allongement des saisons polliniques pour les espèces qui pollinisent à la fin de l’hiver et au début du printemps : plus exposée, la population développe davantage d’allergies. En cause également, les grains de pollen de bouleau et d’ambroisie en quantité plus importante, et donc devenus plus allergisants. Le portail notre-environnement évoque par ailleurs une augmentation de la concentration de CO2, nécessaire à la photosynthèse, qui accroît de façon significative la production de pollen.

A ces phénomènes s’ajoute la pollution qui, en déformant ou transformant certains grains, accroît leur capacité à pénétrer en profondeur les voies respiratoires, déjà irritées et fragilisées par cette même pollution. Il faut toutefois savoir que toutes les plantes ne sont pas...

Lire la suite sur Femina.fr

A lire aussi