Robbie Williams raconte un traumatisme pour son documentaire Netflix
La pop star de 49 ans, qui a connu la gloire en tant que membre du groupe Take That dans les années 1990 avant de devenir un artiste solo à succès, est revenue sur sa carrière en dents de scie et ses luttes personnelles dans un documentaire Netflix éponyme à venir et, après avoir revécu son traumatisme devant les caméras, a décrit l'ensemble du processus comme un cauchemar.
Robbie Williams a eu l'impression de « se regarder dans un accident de voiture au ralenti » lors de la réalisation de son documentaire.
La pop star de 49 ans, qui a connu la gloire en tant que membre du groupe Take That dans les années 1990 avant de devenir un artiste solo à succès, est revenue sur sa carrière en dents de scie et ses luttes personnelles dans un documentaire Netflix éponyme à venir et, après avoir revécu son traumatisme devant les caméras, a décrit l'ensemble du processus comme un cauchemar.
Après avoir revécu son traumatisme devant les caméras, il a décrit tout le processus comme un cauchemar. Il a déclaré au Saturday Times : « C'est comme ces cauchemars où vous ne savez pas ce qui se passe, où vous ne vous souvenez de rien et où vous êtes terrifié. C'était comme ça toute la nuit. Oh, je les ai tous ! Dyspraxie, dyslexie, TDAH, neurodiversité, dysmorphie corporelle, hypervigilance. C'était comme regarder un accident dans lequel vous étiez impliqué, mais au ralenti. [Réaliser le documentaire], c'est comme endurer sa maladie mentale à un rythme très, très lent, sur une très, très longue période. Et c'est une expérience à part, vous savez. Il n'y a pas beaucoup de groupes de soutien. Lorsqu'ils m'ont demandé de réaliser le documentaire, j'ai imaginé un jingle. J'étais dans Take That, puis j'ai quitté Take That, puis je me suis drogué et je suis devenu très gros. Ils ne l'ont pas utilisé à la fin. »
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