Saumon fumé : comment décrypter véritablement les étiquettes et ne plus jamais se tromper

Entre saumon fumé « d’élevage » ou « sauvage », « salé au sel sec » ou non, on s’y perd ! Sans compter les prix exorbitants de certains, UFC-Que-Choisir et le médecin nutritionniste Arnauld Cocaul nous aiguillent pour bien choisir son saumon.

Le saumon fait partie des aliments santé par excellence. Il est riche en protéines, à hauteur de 20 g/100 g de produit, « ce qui équivaut à un steak » et sa teneur en graisse « est bien moins importante que ce qu'on peut penser, puisque pour 100 g, il y a à peu près 10 à 12 g de lipides. Une graisse intéressante, puisque riche en oméga 3 » assure Arnauld Cocaul, médecin nutritionniste.

Bien sûr, ce serait trop beau pour être vrai, le saumon est souvent affiché à un prix exorbitant. Raison pour laquelle de nombreux consommateurs se dirigent vers « la truite fumée ». « Vous avez une proximité plus intéressante avec une pression moindre sur la truite et de meilleures conditions d’élevage » Une alternative idéale si l’on veut se passer du saumon fumé traditionnel.

Quel saumon choisir en rayon ?

Le saumon « d’élevage » est-il moins bien que le « sauvage » ?

Tout d’abord, Arnauld Cocaul met fin aux préjugés sur le saumon « d’élevage » souvent décrié et le « sauvage », plébiscité. Nombreux perçoivent le « saumon d’élevage » comme un mauvais produit. « On pense généralement aux fermes piscicoles démesurées avec une concentration de poissons énorme » confie Arnauld Cocaul. Pourtant, le saumon sauvage n’est pas moins sans défaut. « Ce poisson est un prédateur qui mange d’autres poissons et planctons pouvant être contaminés par des métaux lourds, eux-mêmes contaminés par les particules de plastique...

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