Selon une étude, la taille des seins influe sur la fréquence de l’activité sportive

Une nouvelle étude indique à quel point les femmes à forte poitrine sont lésées lorsqu’il s’agit de faire du sport. Gênées par leurs propres seins, elles se dépensent souvent moins que les plus petites poitrines. Un constat qui pourrait être réglé par la chirurgie ou l’ingéniosité des industriels.

À chaque foulée, ils bougent. Ils sortent un peu du soutien-gorge, sont douloureux, sont encombrants. Celles qui ont une forte poitrine le savent : faire du sport quand on a de gros seins n’est pas de tout repos. Cela explique pourquoi une grande partie des femmes dont la taille de soutien-gorge est plus élevée que la moyenne ont tendance à faire moins de sport que les autres. C’est ce que révèle une étude menée par Parkrun et relayée par Stylist UK. Les femmes aux seins proéminents font moins de sport et de moindre intensité. Et ce n’est absolument pas une question de volonté. Plutôt de gêne. Car, une fois une opération de réduction mammaire passée, ces femmes sont tout à fait disposées à faire beaucoup de sport. En s’appuyant sur les réponses de plus de 2 000 Australiennes, Anglaises et Sud-Africaines, les auteur·ices de l’étude ont fait ce constat. Celles qui n’avaient pas passé le cap de la chirurgie étaient tout de même persuadées qu’avoir des seins plus petits et moins lourds les mènerait à se dépenser plus.

Ce n’est pas très étonnant. Au repos, déjà, avoir une grosse poitrine cause parfois des problèmes de dos. Faire du sport dans ces conditions mène souvent à des douleurs chroniques dans le dos, le cou et les épaules. Les chercheur·euses notent également un écart de perception de soi entre les femmes dont le bonnet est compris entre A et C et celles qui portent du D minimum. Les plus petites poitrines sont en général beaucoup plus satisfaites de leur quotidien et de leurs (...)

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