Un stylo en guise de fève ? C’est ce qu’a vécu ce quadragénaire en dégustant sa tarte aux pommes

 Ce client assure avoir retrouvé un stylo dans sa tarte aux pommes (Photo d’illustration)
Diana Miller / Getty Images/Image Source Ce client assure avoir retrouvé un stylo dans sa tarte aux pommes (Photo d’illustration)

INSOLITE - Une (mauvaise) surprise de taille. Le 23 janvier, Lilian Moyen dit avoir découvert un stylo dans sa tarte aux pommes industrielle. Le quadragénaire avait acheté le gâteau au Leclerc de Saint-Astier, en Dordogne. Une fois arrivé chez lui, au moment de la découpe, il est tombé sur un stylo orange, encore rempli d’encre. Ce dernier était déformé, sûrement par la chaleur de la tarte.

« Nous avons d’abord cru à une fève glissée par erreur. Mais il s’agissait d’un stylo à bille déformé par la chaleur. Il était coincé entre la pâte et le moule en aluminium », raconte le père de famille au journal local Sud Ouest, dans un article paru le 13 février.

En dédommagement, Lilian Moyen a été remboursé. Il a également reçu un bon d’achat de 10 euros, qu’il a refusé. Pour lui, ce n’est pas suffisant. « J’attends surtout d’avoir des explications », a-t-il déclaré.

Leclerc et Pasquier déclinent toute responsabilité

Lilian Moyen a tenu à raconter son histoire insolite à la presse, car il n’a pas été « suffisamment pris au sérieux » par les responsables du supermarché. En effet, après sa découverte, il est retourné au magasin afin d’obtenir des explications, auprès de la direction. Sur place, un membre du personnel chargé des questions d’hygiène, lui a promis de faire remonter l’incident au sous-traitant, informe Sud Ouest.

À ce jour, le quadragénaire n’a eu aucun contact avec l’entreprise Pasquier qui a fourni la tarte. En revanche, il a appris par un intermédiaire du Leclerc de Saint-Astier, que ces derniers déclinaient toute responsabilité. « Selon elle, le système de contrôle qualité aurait dû détecté la présence du stylo », a déclaré Lilian Moyen.

Et le refrain est le même du côté du magasin. Contacté par Sud-Ouest, le directeur du Leclerc de Saint-Astier a déclaré que le stylo « aurait fondu » s’il avait été passé au four, « ce qui n’est pas le cas ».

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