Ces symptômes vous alertent sur une possible soumission chimique

Jeudi 19 décembre a eu lieu le verdict du procès des viols de Mazan. Pendant quatre mois, les Français ont suivi ce procès du siècle. La soumission chimique jusqu'alors encore méconnue et sous-estimée en France, l'association MendorsPas, crée par Caroline Darian présidente de l'association et fille de Gisèle Pélicot, rappelle : « Pourtant, ce type de violence touche de multiples profils de victimes : des femmes, parfois des hommes, mais aussi des enfants, et même des nourrissons ou des personnes âgées, et ce, dans tous les milieux sociaux" (source 1).

C’est quoi la soumission chimique ?

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) (source 2) évoque que la soumission chimique est définie comme l’administration à des fins criminelles (viols) ou délictuelles (violences, vols) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace. Une consommation volontaire n’est pas considérée comme une soumission chimique. Contrairement aux idées reçues, elle ne se limite pas à l’usage du GHB, plus connu sous le nom de « drogue du violeur ». Les substances utilisées sont 6 fois sur 10 des médicaments connu du grand public, tels que les somnifères, des sédatifs ou encore des anxiolytiques.

Quels sont les symptômes ?

Pendant de nombreuses années, Gisèle Pélicot a consulté différents médecins pour comprendre la raison de ses divers maux : pertes de...

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