Talisman, amulette, porte-bonheur : ces objets qui portent chance et leur utilisation

Les porte-bonheur peuvent prendre plusieurs formes. Parmi eux, l'omamori japonais est une sorte de petit sachet tandis que l'œil Nazar Boncuk turc orne généralement les bijoux et que l'Omikuji japonais se suspend à la maison. Aujourd'hui, de nombreux porte-bonheur sont offerts en cadeau chaque année dans le monde entier. Simples superstitions ou véritables objets de protection ? À chacun de se faire sa propre idée sur le sujet via l'expérience personnelle.

Les porte-bonheur ont largement évolué au cours de l'histoire et à travers les cultures du monde. Les hommes s'en servent pour attirer la chance et repousser le mauvais œil. Fer à cheval, chiffre de chance, talisman japonais et statuette de Bouddha sont des exemples de grigris parmi tant d'autres.

La notion de bonheur et le désir de vouloir échapper à un funeste destin ne datent pas d'hier. Dès la Préhistoire, les hommes fabriquent des petits objets en pierre sculptée. Il n'a pu être attribué à ces derniers qu'une vocation ésotérique, associée à l'acte de chasse. Par ailleurs, les archéologues s'accordent à dire que les fameuses peintures rupestres jouent le rôle de porte-bonheur magique à l'effigie des animaux. Au fil de l'histoire et des civilisations, talismans et artéfacts porteurs de chance occupent une place importante. Des amulettes de protection égyptiennes il y a des milliers d'années à la vente de bijoux ornés de pierres de protection aujourd'hui, le porte-bonheur a su conserver sa cote. La notion de croyance est inhérente (...)

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