Tuerie de Chevaline : ce que nous savons du profil du tueur
Plus de dix ans après le massacre de Chevaline, l’affaire semble sur le point de livrer de nouveaux secrets. Le pôle cold-case de Nanterre se tourne désormais vers une piste surprenante : celle d’un tireur aguerri, potentiellement un ancien militaire formé à des techniques de tir très particulières. Mais cette hypothèse permettra-t-elle enfin de résoudre l’une des affaires criminelles les plus mystérieux de ces dernières années ?
Et si le voile se levait enfin sur l'une des affaires criminelles les plus mystérieuses de notre époque ? La tuerie de Chevaline, quadruple meurtre qui a choqué la France, continue de hanter l’inconscient collectif, laissant derrière elle de nombreux mystères et des questions sans réponse. Depuis l’automne 2022, la procédure a été confiée au pôle cold-case de Nanterre spécialisée dans les crimes non élucidés, qui se concentre désormais sur la piste d’un ancien militaire aguerri, formé à des techniques de tirs très particulières.
L’hypothèse du « tueur fou » en bonne voie
L’hypothèse d’un « tireur fou » totalement étranger aux victimes semble désormais prendre de l’ampleur dans cette affaire. Selon les dernières révélations du « Parisien », la juge Sabine Kheris, en charge du pôle cold case de Nanterre, se penche sérieusement sur cette nouvelle piste, après un réexamen approfondi de la scène du crime. Celle-ci se situe au bord d’une route forestière en Haute-Savoie, où, en 2012, une famille irakienne en vacances et un cycliste de passage avaient été massacrés dans des circonstances tragiques.
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Quelles sont les raisons qui dirigent vers ce genre de profil ? En premier lieu, l’auteur des faits a tiré une série de 21 coups de feu en l’espace de quelques secondes, soit entre soixante et...
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