Zara, Claudie Pierlot, Sandro… Pourquoi toutes les marques se lancent dans la seconde main ?

Claudie Pierlot vient de lancer son propre service de mode en seconde main. Une nouveauté qui est loin d’être isolée. Mais pourquoi toute la fast fashion s’y met ?

Vous l’avez sans doute remarqué en flânant sur les sites Internet de vos enseignes de mode favorites. Beaucoup d’entre elles ont développé leur service interne de revente d’articles de seconde main. Dernièrement, c’est Claudie Pierlot qui s’est associée à la start-up Faume pour élaborer son service de vente de seconde main. « Nous savons que les sentiments sont changeants et que les modes le sont tout autant. C’est pourquoi Claudie Seconde Main s’engage à reprendre vos histoires d’hier et à vous trouver celles de demain », déclare la marque dans un communiqué. L’idée, c’est que les clientes prennent le réflexe de revendre leurs pièces Claudie Pierlot qu’elles ne portent plus. Elles doivent rentrer la référence de l’article puis reçoivent une offre de reprise. Néanmoins, pour ne pas casser le modèle économique de Claudie Pierlot, ce n’est pas du cash que reçoit la cliente, mais un bon d’achat valable sur le site de la marque, pour acheter du neuf ou de la seconde main. Depuis quelques années, ce phénomène se globalise chez les marques de fast fashion. Par exemple, Zara – qui est quand même aux antipodes d’une quelconque conscience écologique – a lancé Pre-Owned en 2023, mais on note également Kiabi, Galeries Lafayette, Sandro, Ba&sh, La Redoute… Toutes ces marques de mode accessibles semblent s’être réveillées du jour au lendemain en se disant : « Il y a un marché qui nous échappe, il va falloir le...

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