À la découverte de la faune sauvage de la Brière

Blotti entre l'estuaire de la Loire, l'estuaire de la Vilaine et la côte atlantique à l'Ouest, le Parc naturel régional de Brière, d’une étendue de 55.000 hectares, est le refuge de nombreuses espèces. Une faune et une flore particulière, parfaitement adaptée aux conditions de vie qu’offrent les milieux naturels humides du parc. Des milieux aussi divers que riches, comme les marais salants du Mès sur la façade atlantique ou la Grande Brière, l’un des plus grands marais de France. Ce site est primordial pour assurer la conservation d’espèces rares comme le butor étoilé, la guifette noire, la gorgebleue à miroir blanc et la loutre d’Europe. Mais la beauté de ces terres n’a d’égal que leur vulnérabilité. Pression urbaine, recul de l’agriculture sur le marais, dégradation de la qualité de l’eau, introduction d’espèces exotiques envahissantes, etc., sont autant de fléaux contre lesquels luttent au quotidien les responsables de la préservation de la biodiversité du Parc. Un vrai défi.

Sur ce territoire plus grand que Nantes, vivent 1.800 espèces. Elles sont répertoriées sur le site biodiversite-parc-naturel-briere.fr/atlas

Ses allures de peluche font sa grande popularité. Active la nuit et discrète le jour, elle est difficilement observable. On la repère grâce à... ses excréments ! Faire ses besoins lui permet de communiquer avec ses congénères. Longtemps chassée pour sa fourrure, elle a bien failli disparaître. Si aujourd’hui elle est de retour, elle compte de nombreux fléaux liés à (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite