Voici 5 astuces pour augmenter son sommeil paradoxal

Le sommeil n’est pas identique du coucher au réveil. Il est composé de cycles au cours desquels se succèdent sommeil léger, profond et paradoxal dans une proportion qui change au fil de la nuit. Ainsi, le sommeil paradoxal correspond à une période d’activité cérébrale intense pendant laquelle nous rêvons. Bien que moins connu que le sommeil profond considéré comme très récupérateur, il a toutefois une grande importance. D’où l’intérêt de savoir en prendre soin, comme le rappelle la National Sleep Foundation.

Contrairement à une idée reçue, le sommeil n’est pas simplement une période de repos et de relaxation puisqu’il s’agit en réalité d’un processus actif et complexe. En effet, les spécialistes du sommeil ont établi qu’une nuit de sommeil se compose de cycles successifs eux-mêmes constitués par une alternance entre sommeil « lent » et sommeil « paradoxal ». Cette première phase est bien connue car c’est durant cette période que l’on observe un ralentissement progressif des fonctions neurovégétatives avec l’approfondissement du sommeil et le ralentissement de l’activité cérébrale. Il existe en réalité le sommeil lent léger qui se produit à l’endormissement (l’activité du cerveau se ralentit peu à peu, le dormeur est réveillé par le moindre bruit, il ne se perçoit pas alors comme ayant dormi ou vaguement somnolant) et le sommeil lent profond, lorsque le ralentissement de l’activité cérébrale s’amplifie. Plus l’activité cérébrale est ralentie, plus le dormeur descend dans un état d’où il est difficile de le réveiller, son cerveau est de plus en plus insensible aux stimulations extérieures ou de son propre corps.

La seconde phase n’est autre que le sommeil paradoxal, un état dans lequel le dormeur est difficile à réveiller. Le tonus des muscles disparaît complètement mais on peut observer de très brèves contractions ou de petits mouvements des extrémités. Comme le rappelle l’INSV à ce sujet*,...

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