Activité physique : les « guerriers du week-end » ont un risque réduit de déclin cognitif au même titre que les sportifs plus réguliers

Couple athlétique joyeux faisant du jogging dans le parc

De nouvelles recherches révèlent que les effets positifs sur la santé cognitive d’une activité physique une ou deux fois par semaine, en mode « guerriers du week-end » sont sensiblement les mêmes que ceux d’une activité physique plus fréquente. Ce qui suggère une nouvelle fois qu’un peu d’activité physique en temps de loisir est mieux qu’aucune.

Les longues journées de travail, le temps passé dans les transports ou les impératifs familiaux peuvent nous pousser à condenser la pratique d’une activité physique pendant le week-end. Sachant que l’OMS recommande 2h30 d’activité d’endurance d’intensité modérée par semaine, est-ce aussi bénéfique que lorsqu’elle est répartie sur toute la semaine ? Alors que des études ont déjà démontré que c’était bien le cas en comparaison avec des personnes inactives en ce qui concerne la santé physique, notamment d’un point de vue cardiovasculaire, de nouvelles recherches affirment que des bienfaits s’appliquent aussi à la santé du cerveau. Menée par une équipe d’universitaires d’Amérique latine et d’Europe et publiées dans le British Journal of Sports Medicine, ces dernières avaient pour but de déterminer si la fréquence de l’exercice affecte le risque de développer une démence légère. Résultat ? Une ou deux séances d'activité physique le week-end (programme d'exercice baptisé « guerrier du week-end ») peuvent être tout aussi susceptibles de réduire le risque de déclin cognitif, qui précède souvent la démence, que des séances plus fréquentes.

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Ainsi, les chercheurs ont non seulement découvert que le fait de rester en forme le week-end était potentiellement aussi efficace pour prévenir le risque...

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