Affaire conclue - "Elle l'aurait vendu en brocante !", "Elle est pas difficile", "Elle mérite une prime de fairplay" : les internautes saluent la réaction d'une vendeuse malchanceuse

Capture écran France 2 direct/Affaire conclue
Capture écran France 2 direct/Affaire conclue

Si tous les vendeurs d'Affaire conclue semblent garder de bons souvenirs de leur passage dans l'émission, tous n'y réalisent pas de bonnes affaires ! Ce lundi 9 mai 2022, une certaine Catherine a dû céder son ensemble de salle de bain pour une somme dérisoire. Mais pas de quoi pour autant lui faire perdre son enthousiasme. Une réaction qui a beaucoup plu aux internautes...

Une nouvelle semaine d'enchères a débuté sur France 2. Ce lundi 9 mai 2022, Affaire conclue présenté par Sophie Davant était en diffusion comme tous les après-midi, le temps de deux épisodes. L'occasion pour les fidèles téléspectateurs d'assister à de belles batailles en salle des ventes. Ainsi, Djamel Bentenah s'est battu bec et ongle contre Michel Bimier, un nouvel acheteur de l'émission, pour s'offrir une coupe en métal argenté signée Christofle. Celle-ci a été achetée pour 660 euros.

Lors du second épisode, une œuvre venue de Biarritz a fait l'objet de toutes les convoitises : un pastel des années 70 signé Delphin Enjolras, représentant un portrait de femme dénudée se prélassant près d'une cheminée. Alors que les tableaux ont souvent du mal à mettre tous les acheteurs d'accord, ce dernier à la "technique franchement remarquable" selon la commissaire-priseuse Marie Renoir, les a tous poussés à enchérir. Tous ont apprécié les effets de lumière et de transparence ainsi que la féminité qui se dégageait de l'ensemble. Estimé à 1500 euros, il a finalement atteint la somme de 3250 euros pour le plus grand plaisir de son ex-propriétaire prénommé Adrien.

VIDÉO - La minute de Sophie Davant

Mais parmi tous les vendeurs anonymes du jour, certains ont eu un peu moins de chance que lui : ce fut le cas de Catherine, une Nordiste de 62 ans venue avec un ensemble de salle de bain de style vintage : des appliques, un petit lavabo, ou encore un miroir. "Ma fille vient d'acheter une vieille bâtisse dans son jus, que l'on a déshabillée [...] C'étaient les toilettes du bas" a expliqué la vendeuse. Bien que l'ensemble comportait des faïences entièrement peintes à la main et était issu d'une grande maison lilloise, la Maurice Herbeau fondée en 57, le commissaire-priseur Harold Hessel s'est rapidement montré pessimiste. "Ça va être difficile" a-t-il annoncé, expliquant que l'ensemble n'était plus au goût du jour. "Le miroir tout seul peut peut être trouver preneur [...] La paire d'appliques, ça va être compliqué et je ne sais pas qui pourra être intéressé par le lavabo", a-t-il regretté, proposant une estimation très basse de 50 euros.

Une somme qui a choqué les téléspectateurs. Selon eux, la vendeuse aurait eu intérêt pour ce prix à passer par d'autres circuits, comme un magasin de seconde main ou encore une brocante. Des alternatives qui lui auraient de plus évité le déplacement...

Mais qu'à cela ne tienne, Catherine très heureuse de participer à l'émission, n'a pas eu l'air particulièrement dépitée. En salle des ventes, son ensemble n'a comme annoncé par Harold pas vraiment soulevé les foules. C'est Johan Hennart, Nordiste lui aussi, qui a décroché l'enchère pour 100 euros. "Une affaire conclue avec un Lillois c'est merveilleux […] Je suis ravie de cette vente, le produit repart à Lille c'est parfait", s'est alors réjouie la vendeuse décidément très positive. "On aurait pu s'appeler directement pour la livraison" a alors plaisanté Johan Hennart. Sur twitter, l'attitude attachante de Catherine a beaucoup plu aux internautes, qui se plaignent souvent des acheteurs un peu trop gourmands... Certains ont même pensé à lui décerner une "prime de fair play".

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