Alessandra Sublet fait de rares confidences sur sa vie intime : "Les vieux préfèrent b***** les jeunes"
Alors qu'elle monte pour la première fois sur les planches du festival Off d'Avignon, Alessandra Sublet a fait de rares confidences sur sa vie privée, et sur sa vie intime. Sur scène, elle a évoqué sans fard sa vie de maman, mais aussi sa vie de femme qui peine à trouver l'amour.
Animatrice bien connue du grand public, Alessandra Sublet a récemment décidé de se lancer dans une nouvelle aventure, sur les planches. Le 7 juillet 2023, sur la scène du théâtre du Chêne Noir, programmée à l'occasion du Off d’Avignon, elle a dévoilé son tout premier seule en scène, qui a largement été salué par la critique. D'autant qu'elle y évoque sans filtre les aspects les plus intimes de sa vie, relayés par Le Parisien.
Vidéo. La Minute d'Alessandra Sublet
"Je n'ai pas couché avec beaucoup d'hommes"
Côté coeur, Alessandra Sublet a longtemps été la compagne de Clément Miserez, producteur de cinéma. Ensemble, ils ont eu deux enfants : Charlie, née en juin 2012, et Alphonse, né en août 2014. Après sa rupture, en 2018, elle a été en couple avec Jordan Deguen, dont elle serait séparée depuis avril 2021. Depuis, sa vie privée fait l'objet de nombreuses rumeurs, qui n'ont jamais été confirmées par la principale intéressée.
Sur scène, face à son public, elle s'est laissée aller à quelques confidences osées sur ses difficultés à trouver l'amour à 46 ans : "Parce que les vieux préfèrent b*iser les jeunes, et les jeunes veulent bien te b*iser mais pas sur le long terme alors que toi, t’aimerais te poser un peu." Une référence, peut-être, à son ex-compagnon Jordan Deguen, de 13 ans son cadet.
En 2020, sur le plateau du "Jarry Show", l'animatrice devenue comédienne avait déjà avoué : "Je n'ai jamais eu de 'one shot' dans ma vie. Je n'ai pas couché avec beaucoup d'hommes. (...) Je ne peux pas, j'ai besoin d'aimer", affirmait-elle, se comparant à un "bisounours" qui a besoin de connaître la personne "avant de se retrouver dans un lit".
"Je ne suis pas ce qu'on appelle une intellectuelle"
Dans ce seule en scène au titre évocateur, "Tous les risques n’auront pas la saveur du succès", Alessadra Sublet s'amuse d'elle-même en déclarant : "Je ne suis pas ce qu'on appelle une intellectuelle. Attendez, le contraire d’une intellectuelle, ce n'est pas forcément une abrutie, c'est une instinctive, enfin, en ce qui me concerne. (...) En haut de la falaise, la seule manière de savoir ce qu'il y a en dessous, c'est de sauter. Se retenir, c'est se frustrer."
Elle l'affirme : "Il y a deux équipes, ceux qui toute leur vie se diront 'Et si…' Et ceux qui, comme moi, disent 'Merde, je me suis encore plantée, mais au moins j'aurais essayé'." Une volonté de faire ses propres choix qu'elle évoque à plusieurs reprises, puisqu'elle le clame sur scène : "Notre capacité à faire des choix est le premier pas vers l’émancipation, c'est elle qui est la clé d'une vie heureuse."
Et c'est avec sa philosophie habituelle qu'elle conclut : "Il faut déculpabiliser face à nos erreurs, être indulgent avec soi-même. L’une des solutions pour avancer, c’est d'admettre ses faiblesses. C'est ce que je veux devant vous ce soir. Échouer est un des plus formidables moteurs pour réussir. Je suis une somme d’erreurs, ce sont elles qui font ce que je suis."
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