Célibataires : l’injonction à être en couple impacte la santé mentale

Selon une étude Badoo/Ispsos, un nombre croissant de célibataires ressent une pression sociale parce qu’ils ne sont pas en couple. Et leur santé mentale en pâtit.

D’après une majorité de Français, être célibataire, ce n’est pas si grave… Tant que ça ne dure pas trop longtemps. En mars 2022, l’application de rencontres Badoo et l’Ipsos ont réalisé ensemble une enquête auprès de 1000 célibataires français afin d’évaluer l’effet de leur situation amoureuse sur leur santé mentale. Même si être un·e « célibattant·e » et choisir le célibat n’a absolument rien de tabou, 44% des répondants se sentent « hors norme » du fait de leur statut amoureux. 66% des sondés s’accordent à penser que le célibat permet de profiter davantage de sa vie et 50% d’entre eux estiment que ce statut offre une vie sociale plus riche, montrent les résultats de l’étude. Mais sur les 28% qui se satisfont de leur situation, 50% souhaiteraient tout de même rencontrer quelqu’un. Ces chiffres concernent des tranches d’âges plus élevées, entre 35 et 50 ans, et plus particulièrement les hommes. Et ce mécontentement serait dû à une pression sociale, qui pèserait sur les célibataires.

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Une forte pression sociale

Famille, amis et collègues ne seraient pas si tolérants qu’on le pense envers les célibataires. Ces derniers ressentent en majorité une pression à sortir du célibat (67%) Celle-ci est davantage vécue par les femmes de 25-34 ans (46%) et les personnes séparées (48%). Peut-être parce qu’il existe encore une...

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