Cancer, maladie neurologique ou chronique : ces 11 pratiques de soins non conventionnelles validées par la science
Acupuncteur, naturopathe, magnétiseur, ou encore coupeur de feu… De nombreuses pratiques non conventionnelles sont susceptibles de séduire les personnes atteintes de maladies telles que des cancers, des troubles cognitifs, ou encore des affections chroniques. Souvent popularisées sur les réseaux sociaux, ces “pratiques alternatives” peuvent entraîner des dérives, voire pousser les patients à arrêter leurs traitements et réduire leurs chances de guérison. "Les dangers et les dérives du marché alternatif de la guérison et du bien-être tiennent notamment à l’absence d’évaluation indépendante et rigoureuse des méthodes et des formations qui excluent explicitement ou de fait les traitements médicaux conventionnels", indique la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Mivilud) sur son site.
Pour éviter de mettre en danger les personnes malades, la Non-Pharmacological Intervention Society (NPIS), une société savante internationale basée à Paris, a mis au point un référentiel des interventions non médicamenteuses validées par la science.
La NPIS rappelle sur son site que les interventions non médicamenteuses (ou INM) désignent des “méthodes ciblées sur un problème de santé connu de la médecine occidentale, explicables, efficaces, sûres et encadrées par des professionnels de santé”. “Ces pratiques corporelles, nutritionnelles et psychosociales constituent un complément aux autres solutions de santé dont les contours, les bénéfices et risques sont (...)