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"Je suis à découvert" : Emilie de "Mariés au premier regard" prouve qu'il ne suffit pas de passer à la télé pour devenir influenceuse

© Lionel GUERICOLAS/AGENCE 1827/M6
"Je suis à découvert : Emilie de Mariés au premier regard prouve qu'il ne suffit pas de passer à la télé pour devenir influenceuse © Lionel GUERICOLAS/AGENCE 1827/M6

Découverte au printemps dernier dans l'émission "Mariés au premier regard", Emilie a perdu son emploi et décidé de tenter sa chance dans le business de l'influence. Malheureusement, la jeune mère célibataire a rapidement déchanté et se confie sur les galères qu'elle rencontre depuis quelques mois.

Devenir influenceur est généralement une suite logique pour bon nombre de personnes qui participent à des émissions de télé-réalité. Très mis en avant grâce aux programmes télévisuels, ils se forgent rapidement de grosses communautés, ce qui attire évidemment l'attention des marques. Mais le résultat n'est malheureusement pas toujours à la hauteur de leurs attentes. Emilie, candidate de la dernière édition de "Mariés au premier regard", en a fait l'amère expérience : depuis qu'elle se consacre aux réseaux sociaux, son compte en banque fait plutôt grise mine.

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Les déceptions d'Emilie de "Mariés au premier regard"

Décidément, "Mariés au premier regard" n'aura pas eu le résultat escompté pour Emilie. Mariée à Frédérick (avec un taux de compatibilité de 84%, soit le plus haut de cette édition), la jeune mère célibataire a fini par demander le divorce, et a connu des moments très compliqués avec son ex-mari. Les deux candidats se sont beaucoup écharpés sur les réseaux sociaux, et dans une interview accordée à Jordan Deluxe, elle confiait à quel point la situation avait été difficile à vivre, physiquement comme psychologiquement : "J'ai perdu plus de vingt kilos. Ça m'a fait trop de la peine. Ça m'a détruite. Une personne qu'on a aimée, qu'on a estimée, peu importe ce qui s'est passé, quand on en arrive là, ça fait mal."

D'un point de vue financier, Emilie n'a pas non plus gagné au change. Interrogée par Jeremstar dans son émission "Baby Story", elle répond à l'interrogation suivante : "Tu gagnes beaucoup mieux ta vie qu'avant ?" par la négative. "Pas du tout, c’est tout l’inverse."

Elle a quitté l'immobilier pour le business de l'influence

Jusqu'à présent, Emilie travaillait dans l'immobilier et affirmait gagner "correctement sa vie". Mais, malheureusement, elle a perdu son emploi, et décidé de profiter de l'occasion pour tenter sa chance sur les réseaux sociaux, comme bien d'autres avant elle. Malheureusement, à l'heure actuelle, le succès est loin d'être au rendez-vous : "Là aujourd’hui avec ce que je fais en placements de produits je ne pourrais même pas payer la moitié de mon loyer. J'ai du mal à joindre les deux bouts."

"Il faut savoir que moi aujourd’hui je n’ai pas de pension alimentaire du tout, t’as un peu d’aide de la CAF, mais ça ne dépasse pas 250 euros par mois, c’est pas avec ça que tu vas pouvoir nourrir ton enfant, l’habiller et faire des sorties", précise la jeune femme, abandonnée par son ex-compagnon alors qu'elle était enceinte de leur enfant. Aujourd'hui, elle finit "tous les mois" à découvert et son quotidien devient particulièrement compliqué puisqu'elle conclut : "Aujourd'hui, j'ai moins de 2000 euros par mois (...) J'ai actuellement 2 500 euros de découvert".

Le milieu de l'influence sous le feu des critiques

Depuis plusieurs semaines, le monde de l'influence est plus que jamais sous le feu des projecteurs, notamment à cause de la guerre ouverte menée par Booba contre les influenceurs. Le rappeur a déposé deux plaintes contre X pour pratiques commerciales trompeuses et escroquerie en bande organisée, mettant notamment en cause Shauna Events, une des agences d'influenceurs les plus importantes en France, dirigée par Magali Berdah. Il y dénonce "un système d'escroquerie complexe et organisé (...) alimenté par la passivité des réseaux sociaux, particulièrement Instagram et Snapshat, utilisés par les influenceurs pour promouvoir les arnaques."

De son côté, en évoquant sa situation, Emilie a reçu de nombreuses critiques, notamment des messages qui lui disent de retourner sur les bancs de l'école. "Faites des études et faites un vrai métier pour vous en sortir, ensuite vous verrez si vous pleurez encore car vous ne vous en sortez pas", peut-on notamment lire en commentaire de la vidéo. Ce à quoi la jeune femme a décidé de répondre sans se laisser démonter : "Tu veux que je fasse quoi ? Un doctorat ? J'ai déjà un bac +6. Pour info : j'ai un BTS Commerce International, une licence Adjointe Responsable Export, un Master Affaires Internationales, un MBA Finance et des doubles diplômes. Enfin j'ai travaillé dans 4 pays différents et je parle 3 langues. Je travaille depuis l'âge de 16 ans, jalousie jalousie pas jolie à voir."

Des critiques qui finalement semblent presque la réjouir : "En fait, ce qu'ils n'ont pas compris, c'est que plus ils commentent, plus moi, ils font monter mes stats en fait. C'est pour ça que je ne les supprime pas les commentaires." L'art de voir le verre à moitié plein.

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