Capricorne

22 DÉCEMBRE - 20 JANVIER

Amour : Évitez toute interférence entre votre vie privée et votre vie professionnelle. L'ambiance familiale sera favorable au dialogue et à la complicité. Aucun risque de tension ou d'incompréhension. Célibataire, les astres amplifieront votre fougue naturelle.

Travail-Argent : Attaquez-vous aux travaux ou entreprises exigeant de l'audace, de l'esprit d'initiative. Le climat astral vous aiguillonnera et vous poussera à prendre des initiatives professionnelles. Sur le plan matériel, l'amélioration sera progressive.

Santé : Votre tonus sera en légère baisse. Un peu de fatigue et de lassitude, ou au contraire trop de nervosité.

24 may
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • "Secret Story": "la Voix" officialise finalement son retour dans l'émission

    Après avoir annoncé son départ de Secret Story, "la Voix" emblématique de l'émission a finalement officialisé son retour lors du premier prime de la nouvelle saison ce mardi 23 avril.

  • Rwanda: arrêté il y a un an, le couturier LGBT+ Moïse Turahirwa prêt à rebondir

    Avec sa marque Moshions créée en 2015, Moïse Turahirwa a connu le succès depuis son Rwanda natal, où le président Paul Kagame figurait parmi ses clients, jusqu'aux podiums européens.Paul Kagame lui-même s'affiche en chemise Moshions.

  • Tom Selleck : "Je n'ai jamais...", cet aveu qui semble difficile à croire de l'acteur de 79 ans

    A People, Tom Selleck a fait une étonnante révélation au sujet de sa vie privée.

  • Des collages XXL à l'Orient-Express, JR veut "changer les perspectives"

    "Changer les perspectives" au-delà des frontières: après plus de 25 ans de carrière, le goût du voyage et de l'ailleurs continue de façonner l'oeuvre de JR, street-artist de renommée mondiale dont le dernier projet prend la route du rail."C'est encore ce que je fais aujourd'hui: voyager, confronter les images aux autres, changer les perspectives, mais surtout questionner.

  • En Ukraine, les employés des centrales travaillent dans la peur des frappes russes

    Dans cette centrale électrique ukrainienne, les horloges se sont arrêtées au moment précis où des missiles russes se sont abattus sur le site, dont les employés déblayent encore les débris calcinés sous un trou béant dans le toit.Après plus de deux ans de guerre, Oleksandre, 51 ans, le directeur de la production de cette centrale, n'en est pas à son premier bombardement russe. Il a cependant remarqué cette fois-ci que les dégâts occasionnés sont bien supérieurs, ce qui l'inquiète."C'est bien pire", résume-t-il auprès des journalistes de l'AFP sur le lieu de la frappe, dont l'emplacement n'est pas révélé par crainte de nouvelles attaques.Ces dernières semaines, la Russie a mené plusieurs vagues de bombardements dévastateurs sur le réseau électrique ukrainien, en représailles aux frappes ukrainiennes sur ses raffineries.Sur les 15 centrales thermiques que compte l'Ukraine, au moins 12 ont été endommagées, ce qui a forcé les autorités à décréter des restrictions à la consommation et à importer de l'électricité de l'Union européenne.Ces attaques mettent aussi davantage de pression sur les centrales nucléaires ukrainiennes, qui représentaient environ la moitié de la production d'électricité avant l'invasion russe lancée en 2022.La plus grande centrale nucléaire du pays, celle de Zaporijjia (sud), est occupée par les forces russes et ses six réacteurs sont à l'arrêt.- Surchargées -Les frappes russes visent, elles, à mettre hors service les centrales thermiques et hydroélectriques, explique Oleksandre. "Les centrales nucléaires risquent de ne pas pouvoir faire face à cette surcharge. Les conséquences seront très graves", ajoute-t-il.Cette campagne de bombardement n'est pas nouvelle. La Russie avait déjà durement visé le réseau électrique ukrainien à l'hiver 2022, privant déjà des millions de personnes de courant et de chauffage.Cette année, les frappes causent toutefois des dégâts plus difficiles à réparer car la Russie utilise des armes plus sophistiquées, selon le ministre ukrainien de l'Energie, Guerman Galouchtchenko.Dans la centrale à charbon d'Oleksandre, gérée par l'opérateur DTEK, les dernières frappes ont eu lieu à la nuit tombée et ont endommagé des installations qui avaient été réparées après de précédents bombardements.Au lendemain de l'attaque, des travailleurs avec des casques de chantier s'activent à remettre en état les bureaux, à recouvrir les fenêtres et remplacer les lampes.Oleksandre ramasse un fragment de missile au sol. "Il y en a partout dans l'usine", constate-t-il.La frappe a éventré le toit, criblé les murs et coupé des systèmes de communication vitaux. Elle a déclenché plusieurs incendies.La plupart des employés étaient descendus dans des abris, tandis que les travailleurs essentiels sont restés à leur poste dans les zones plus sûres de l'usine, barricadés derrière des sacs de sable.- "Besoin de défenses" -"Dieu merci, personne n'a été tué ou blessé", relève Oleksandre.Le président Volodymyr Zelensky a estimé que l'Ukraine a besoin d'au moins sept systèmes antiaériens modernes Patriot supplémentaires pour protéger ses villes et infrastructures essentielles.Il a admis la semaine dernière que la Russie a été en mesure de frapper une importante centrale près de la région de Kiev parce que les défenseurs ukrainiens se sont retrouvés à court de missiles."Nous avons avant tout besoin de défenses antiaériennes", confirme Oleksandre, qui dit ressentir un "sentiment de frustration" face au manque de protection de sa centrale. "Tous ceux qui travaillent ici comprennent qu'il est possible qu'une attaque similaire se reproduise", constate-t-il.Iouri, 47 ans, chef d'équipe pour la salle des turbines, avait déjà vécu une attaque russe avant la dernière à frapper son lieu de travail. Debout dans sa salle de contrôle où les instruments sont désormais calcinés, il se souvient de la façon dont il a mis son personnel à l'abri.Après avoir fait l'appel, ils ont marché en ligne, le premier et le dernier torche électrique en main pour s'assurer que personne ne serait laissé pour compte."J'ai conduit les gens à l'abri, plusieurs explosions se sont produites sur le chemin", raconte-t-il. "Nous ne savions pas où les prochains missiles allaient frapper."Les travailleurs ont appris, grâce aux réseaux sociaux, que les missiles se dirigeaient vers leur région et que leur centrale pourrait bien être leur cible."Comment ne pas avoir peur quand on sait que le missile vole directement vers nous ?", constate Iouri. "On peut se montrer courageux, mais tout le monde a peur", ajoute-t-il.Alors que les journalistes de l'AFP quittent l'usine, une sirène antiaérienne retentit, pressant à nouveau les employés vers les abris.am/jbr/pop/led/ber

  • L'extrême droite allemande sous pression après une affaire d'espionnage

    Les nuages s'accumulent pour le parti d'extrême droite allemand AfD après des accusations d'espionnage pour le compte de la Chine, dernier scandale d'une longue série à frapper cette formation jusqu'ici en pleine ascension, avant plusieurs scrutins clés cette année.Le chef du groupe parlementaire de l'AfD, Bernd Baumann, a affirmé que les accusations d'espionnage pour la Chine étaient "politiquement motivées" et les a mises sur le compte d'une "sale" campagne électorale. 

  • Quel acide hyaluronique pour les cernes ?

    Les cernes sont une préoccupation esthétique frustrante, mais il existe des méthodes efficaces pour les atténuer, telles que le comblement par de l'acide hyaluronique. Cependant, le choix de ce dernier est crucial.

  • La loi de Téhéran - 9 mai

    Mercredi 24 avril 2024, Arte diffuse La Loi de Téhéran à 20h55. Ce film iranien nous plonge dans l'enfer de la drogue. Policiers, fournisseurs et consommateurs sont racontés avec une précision presque documentaire. Déroutant.

  • En Ukraine, des véhicules « Frankenstein » contre les attaques de drones

    Cage anti-drone, blindage supplémentaire… Les armées russe et ukrainienne font preuve d’ingéniosité pour protéger chars et blindés des frappes de drones.

  • Casino: de 1.300 à plus de 3.200 postes menacés, un millier d'emplois préservés au siège stéphanois

    Entre 1.293 et 3.267 postes pourraient être supprimés au sein du groupe Casino, en fonction du nombre de magasins grand format et d'entrepôts logistiques non encore cédés qui trouveront preneurs d'ici septembre, a annoncé le distributeur mercredi, précisant qu'un millier d'emplois seront préservés au siège de Saint-Etienne.Aux 1.293 suppressions nettes au sein des fonctions sièges du groupe pourraient s'ajouter, "à défaut de trouver des repreneurs", jusqu'à 1.974 postes supprimés si les hypermar

  • "La plupart des accusés sont des femmes": l'adultère entre époux bientôt légalisé à New York?

    En vertu d'une loi qui remonte à 1907, l'infidélité maritale est punie d'une peine pouvant aller jusqu'à 90 jours de prison et de 500 dollars d'amende.

  • Vive colère sur des campus américains après des arrestations de manifestants pro-palestiniens

    La colère est restée vive mardi chez de nombreux étudiants américains après que des appels de dirigeants d'universités à la police ont mené à des arrestations massives de manifestants pro-palestiniens, dernier épisode de la tourmente provoquée par le conflit à Gaza sur des campus du pays.Dans la nuit de lundi à mardi, 120 personnes ont été interpellées devant des locaux de la prestigieuse Université de New York (NYU), selon un bilan revu à la baisse de la police.Ces personnes ont été relâchées, a affirmé à l'AFP un porte-parole de la NYPD, la police new-yorkaise. Mais le vif débat, et l'ire des étudiants, sont loin de retomber."L'administration de mon université, mes élus au Congrès et même le président se comportent comme s'ils étaient des porte-parole de la communauté juive, assimilant l'antisionisme à l'antisémitisme. Ils nous réduisent au silence, nous suspendent", a dénoncé devant la presse, keffiyeh sur les épaules, Sarah Borus, une étudiante juive pro-palestinienne du Barnard College de l'Université de Columbia.La semaine dernière, une centaine d'étudiants de Columbia, réclamant la fin de la guerre qui ravage Gaza et que leur établissement boycotte toute activité en lien avec Israël, ont été interpellés.A Yale, une cinquantaine de personnes ont été arrêtées dans ces circonstances similaires.Mardi après-midi, à l'extérieur du campus de Columbia, une centaine de manifestants marchaient pacifiquement en cercle, avec des pancartes appelant à "cesser toute aide américaine à Israël".- "Secouée" -De nombreuses universités américaines se sont retrouvées au coeur de l'actualité avec la guerre à Gaza, déclenchée il y a presque sept mois par une attaque du Hamas en Israël.Accusées de ne pas faire assez contre l'antisémitisme, deux présidentes d'universités, dont celle de Harvard, ont dû démissionner il y a quelques mois.Ces derniers jours, plusieurs campus se sont embrasés.C'est de Columbia qu'est partie la dernière vague de protestation. Puis la présidente de l'établissement a appelé les forces de l'ordre à intervenir.C'est aussi ce qui s'est passé à NYU, selon une lettre de l'université publiée par la police et appelant les agents à "évacuer les manifestants".Pour justifier son recours aux forces de l'ordre, l'université a affirmé avoir constaté des comportements "hostiles et perturbant l'ordre public"."Nous avons aussi appris qu'il y avait des slogans intimidants et que plusieurs incidents antisémites avaient été rapportés", selon un porte-parole.Une association de professeurs de NYU a vivement dénoncé la décision "injustifiée" de l'université d'appeler la police à la rescousse, affirmant en outre que "personne sur la place n'avait été, à aucun moment, violent ou antisémite".Marianne Hirsch, enseignante à Columbia et elle-même de confession juive, a dit à la presse être "extrêmement préoccupée par l'antisémitisme, et ce depuis toujours".Mais "je suis extrêmement secouée en ce moment par le fait de voir comment l'antisémitisme est instrumentalisé, et utilisé à mauvais escient (...), pour mettre fin à la liberté académique, au libre débat, à la pensée critique", a-t-elle affirmé.- Préoccupations -Le sujet s'est transformé en un débat mouvementé et souvent violent sur la liberté d'expression. Des étudiants et enseignants accusent leurs universités de chercher à censurer un discours politique, tandis que plusieurs personnalités, dont des élus du Congrès, accusent en retour les militants d'attiser l'antisémitisme.Le président républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a d'ailleurs annoncé qu'il rencontrerait des étudiants juifs à Columbia mercredi pour évoquer "l'inquiétante montée d'un antisémitisme virulent" sur les campus.Sur CNN, un étudiant juif de Columbia, Nick Baum, a affirmé se sentir depuis quelques jours "carrément en danger". "Ils nous ont qualifiés de colons", a-t-il déclaré."Je pense qu'il est très important de se rappeler qu'être mal à l'aise est différent d'être en danger", a rétorqué devant les médias une autre étudiante juive, Soph Askanase, qui dit avoir été suspendue par Columbia pour son activisme quelques heures avant d'être arrêtée.Face aux tensions, l'université a affirmé oeuvrer "d'arrache-pied pour résoudre la situation sur le campus".Les étudiants "ont le droit de manifester, mais ils ne sont pas autorisés à perturber la vie du campus ou à harceler et intimider les autres étudiants et les membres de notre communauté. Nous agissons sur la base de préoccupations exprimées par nos étudiants juifs", a affirmé Ben Chang, un responsable de Columbia.  Dimanche, le président démocrate Joe Biden était lui-même intervenu, affirmant que l'antisémitisme n'avait "pas sa place" sur les campus.arb-iba/eml

  • Chelsea: "l’équipe a abandonné", Pochettino allume ses joueurs après la déroute contre Arsenal

    Mauricio Pochettino, manager de Chelsea, a déploré l’attitude de ses joueurs lors de la lourde défaite sur le terrain d’Arsenal (5-0), mardi en Premier League.

  • JO Paris 2024 : pour éviter le gaspillage, les invendus alimentaires donnés à des associations

    Paris-2024 présente son plan pour collecter les invendus alimentaires pendant les Jeux olympiques et paralympiques et les redistribuer.

  • Le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo découvert en Corse

    Après les Pyrénées-Orientales, c’est en Corse que ce virus émergeant responsable d’une maladie proche d’Ebola vient d’être découvert. Et ce n’est qu’un début.

  • Secret Story : Ce qu'il faut savoir sur le retour de l'émission de télé-réalité

    Ce mardi 23 avril marquait le retour tant attendu de Secret Story sur TF1 après sept ans d'absence. Les téléspectateurs ont fait la connaissance des 15 nouveaux candidats et de leurs secrets et ils ont été très surpris.

  • Guerre en Ukraine : Trump n’est pas étranger au vote par le Congrès américain du plan d’aide à Kiev

    Pendant 6 mois, les républicains ont fait barrage à un énorme plan d’aide de 61 milliards de dollars à l’Ukraine. C’était avant que la position de Trump n’évolue.

  • MAISON DE STARS Dick Rivers et son ranch à Pompignan : piscine, chevaux et tir à l'arc... un refuge loin de tout

    Dick Rivers s'est éteint il y a cinq ans jour pour jour, à Neuilly-sur-Seine. Il aimait passer du temps à Pompignan, dans...

  • Comment l’IA va bouleverser l’industrie du sexe

    La pornographie générée par l’IA fait irruption rapidement dans l’industrie du sexe et soulève de nouvelles préoccupations éthiques.

  • Affaire Fillon: le Cour de cassation doit rendre sa décision ce mercredi après-midi

    La Cour de cassation se prononce mercredi sur les pourvois de l'ancien Premier ministre François Fillon, de son épouse et de son ancien suppléant, condamnés pour des emplois fictifs à l'Assemblée nationale. Les trois prévenus ont formé des recours contre la décision de la cour d'appel de Paris qui, le 9 mai 2022, a infligé à l'ex-locataire de Matignon quatre ans d'emprisonnement dont un an ferme, 375.000 euros d'amende et dix ans d'inéligibilité. Penelope Fillon a été sanctionnée de deux ans de prison avec sursis ainsi que 375.000 euros d'amende et Marc Joulaud, ancien député suppléant de François Fillon dans la Sarthe, de trois ans de prison avec sursis, avec des inéligibilités respectives de deux et cinq ans.