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Gémeaux

21 MAI - 21 JUIN

Amour : Vous risquez de vivre dans un monde imaginaire et le retour sur terre pourrait être plus difficile que vous ne le pensez. En couple, l'entente sera au beau fixe. Prenez pourtant garde aux discussions d'argent. Célibataire, vous aurez envie de collectionner les aventures excitantes mais au bout du compte vous serez frustré.

Travail-Argent : Vous vous montrerez téméraire dans le cadre de votre travail. Vous avez le vent en poupe et certains de vos collègues pourraient en prendre ombrage. Soyez sur vos gardes.

Santé : Physiquement, vous serez solide comme un roc, mais vous ne serez pas à l'abri de troubles nerveux.

04 march
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Une découverte fascinante et inquiétante : une créature venimeuse à 24 yeux intrigue les scientifiques

    Imaginez tomber nez à nez avec une créature sous-marine inconnue dotée de 24 yeux. C'est ce que des chercheurs ont découvert dans une réserve naturelle aquatique située en Asie.

  • Un raton laveur savoure le repas d'un touriste sur la plage

    Un touriste sur la plage de Playa del Carmen, au Mexique, a eu la surprise de voir un raton laveur affamé venir voler son repas.

  • Chandeleur : jeter le reste de pâte à crêpes dans l’évier, une très mauvaise idée (et cela concerne aussi d’autres aliments)

    Quelle que soit votre recette de pâte à crêpes, attention à ne pas boucher vos canalisations. Un plombier nous éclaire.

  • Beyoncé va-t-elle enfin décrocher le grammy du meilleur album ?

    Avec 32 statuettes en poche, la reine de la pop est l’artiste la plus décorée de l’histoire des Grammy, sans pour autant avoir remporté le prix du meilleur album. Sa cinquième tentative sera ce dimanche soir à Los Angeles.

  • Commerce: l'Union européenne, prochaine cible des droits de douane américains?

    Donald Trump relance les États-Unis dans des guerres commerciales : la Maison Blanche a confirmé imposer des droits de douane de 25% au Mexique et au Canada, et une taxe de 10% supplémentaires aux produits déjà taxés à la Chine. Des rétorsions car Washington estime que ces pays ne font pas assez pour freiner le trafic de fentanyl, un puissant opioïde, ou les flux migratoires. Mais le président américain a aussi laissé planer le nom de sa prochaine cible : l’Union européenne. Il estime que l’UE a

  • Comment TransferRoom est devenu le “Tinder” du monde du foot

    De plus en plus clubs ont recours à cette plateforme, créée par un entrepreneur danois, pour organiser les transferts de leurs joueurs. Le journal allemand “Frankfurter Allgemeine Zeitung” revient sur le fonctionnement de ce “Tinder” du mercato.

  • États-Unis : les représailles du Canada, du Mexique et de la Chine sur les droits de douane ne se font pas attendre

    En moins de deux semaines à la Maison Blanche, Donald Trump a déjà réussi à lancer une guerre commerciale avec plusieurs pays, qui ripostent.

  • « The Voice » : Georges Brize, alias Roméo, a rappelé de très vieux souvenirs à Florent Pagny et Nikos

    Georges Brize n’est pas connu aujourd’hui. Mais quand il s’appelait Roméo dans les années 1970, son tube « Maman » s’était vendu à 4 millions d’exemplaires en France.

  • Metz : Un policier abat sa mère malade, puis son père avant de se suicider

    Moselle - Le drame familial a eu lieu vendredi à Retonfey, un petit village près de Metz

  • Coupe Davis : Alors, ça donne quoi de près, le phénomène João Fonseca ?

    Futur crack - Samedi, le Brésilien de 18 ans a rivalisé pendant un set avec Ugo Humbert sur sa surface de prédilection avant d’accuser le coup physiquement. Mais sa panoplie, son intensité et son humilité laissent peu de place au doute pour la suite

  • Les Argentins manifestent en masse contre Milei pour défendre la diversité

    Les Argentins ont manifesté par milliers samedi, la plus forte mobilisation depuis des mois, en défense de la diversité et contre le président ultralibéral Javier Milei, rejetant de récentes déclarations ou postures de l'exécutif sur le féminisme, l'homosexualité ou les questions de genre.A Buenos Aires, un long cortège avec des touches bigarrées, drapeaux ou maquillages arc-en-ciel évoquant une "Marche des Fiertés bis" (la marche annuelle a eu lieu en novembre) a défilé de la place du Parlement à la place de Mai, siège de la présidence situé à deux kilomètres. La place était quasi remplie en fin d'après-midi.Selon des images de médias argentins, la marche de Buenos Aires se répliquait dans une dizaine de villes, très suivie par exemple à Mar del Plata, vaste station balnéaire à 250 km de la capitale, au pic de la saison estivale."Pas un pas en arrière", "Plus jamais cachés, ni en prison", "Résistance trans", "ON au discours de haine", clamaient quelques banderoles et pancartes de la marche de Buenos Aires, initiée par des mouvements féministes, LGBT+ et de défense des droits humains.Des syndicats, tels l'ATE (fonction publique) et la CGT (principale centrale), se sont joints au mouvement, ainsi que des politiciens d'opposition, issus des radicaux (centre-droit) ou du péronisme de centre-gauche. Conduisant l'exécutif à railler la mobilisation comme foncièrement "politique".- Un "seuil franchi" ? -Dans la manifestation, étaient aussi présents des retraités, grands perdants de la politique d'austérité de M. Milei, et des artistes, comme les très populaires chanteuses Lali Esposito et Maria Becerra.Le déclencheur est un discours de Javier Milei il y a 10 jours au Forum économique de Davos (Suisse), où dans l'esprit de sa "bataille culturelle" il s'était lancé dans une longue diatribe contre le "virus woke", le "féminisme radical" et "l'idéologie de genre" dont la "version extrême" est une "maltraitance d'enfants".Les propos ont suscité des réactions indignées dans l'opposition et la presse, et un malaise jusque dans la droite "classique", alliée occasionnelle du président libertarien, qui revendique une forte affinité avec le président américain Donald Trump.L'exécutif s'est défendu, se disant victime "d'interprétation malveillante" et réaffirmant son strict respect, en tant que "libéraux", du projet de vie d'autrui. Mais les jours suivants, un ministre a évoqué un projet de supprimer le concept pénal de féminicide - au nom de "l'égalité" -, remettant de l'huile sur le feu."C'est des horreurs, ce qu'a dit le président. Ce n'est pas possible que quelqu’un à un poste aussi important dise des choses pareilles en public. Je me suis sentie attaquée", a déclaré à l'AFP Alicia Gonzalez, homosexuelle de 18 ans, qui manifestait samedi avec sa mère et ses frères.A Davos, "le président a clairement franchi un seuil, enhardi par la victoire de Trump, se radicalisant comme pour se montrer le +meilleur élève+ de l'Empire", a jugé Luci Cavallero, sociologue et féministe, au coeur de la mobilisation.- Milei "doit regretter" -"En réalité, c'est une politique systématique qui date d'avant et s'articule avec le discursif", estime-t-elle, énumérant le définancement de programmes sociaux comme l'aide aux questions d'identité, à la violence de genre ou aux grossesses adolescentes. Ou la suppression de l'Institut contre la discrimination (INADI), absorbé par le ministère de la Justice.Mais le politologue Gustavo Marangoni considère que des saillies comme celle de Davos "ne devraient pas nous surprendre". "Quiconque a suivi le +film Milei+" sait que son "intention permanente est de jouer l'antagonisme", le "eux contre nous", "construire un rival, fut-il imaginaire".  Provocations qui, selon lui vont s'accentuer en 2025, année de législatives de mi-mandat (octobre), alors que M. Milei va tenter de polariser davantage.La mobilisation, selon les journalistes de l'AFP, est la plus importante hostile à l'exécutif depuis des mois. Assurément depuis celles de septembre-octobre pour la défense des retraités et des salaires enseignants, voire celle, massive, d'avril pour la défense de l'université.Pour le quotidien La Nacion (conservateur), Javier Milei a fait "une erreur"  à Davos, en s'étendant sur un agenda social (wokisme, féminisme), au lieu de vanter ses succès contre l'inflation. Car au final il a "ravivé un climat de protestations de rue"."Je crois que Milei pense ce qu'il dit, mais quand il a vu la réaction, il s'est rendu compte qu'il est allé trop loin, et là il doit le regretter", méditait samedi Raffaela, 19 ans, venue de 150 km pour sa première manifestation.nb-pbl/mba

  • Météo : la décrue se poursuit, six départements toujours en vigilance orange

    Après le passage des tempêtes Herminia et Eowyn, la décrue se poursuit dans le nord et le nord-ouest du pays. Mais six départements sont toujours en vigilance orange.

  • Espanyol-Real: Romero méritait-il un carton rouge pour son tacle? La réaction de Mbappé

    Après la défaite du Real Madrid sur la pelouse de l’Espanyol Barcelone (1-0) samedi soir pour le compte de la 22e journée de Liga, Kylian Mbappé ne s’est pas arrêté devant les micros en zone mixte. Mais le Français a tout de même réagi lorsqu’on lui demandé si Carlos Romero méritait un carton rouge pour son tacle par derrière commis sur le buteur madrilène en 2e période.

  • Marco Rubio au Panama pour discuter des revendications de Trump sur le canal

    Le nouveau chef de la diplomatie américaine Marco Rubio est arrivé samedi au Panama où il compte défendre les intérêts des Etats-Unis et en premier lieu les revendications de Donald Trump sur le canal de Panama.Priorité absolue de la Maison Blanche, l'immigration sera au cœur de la tournée entamée par le secrétaire d'Etat américain, qui après le Panama se rendra ensuite au Salvador, au Guatemala, au Costa Rica et en République dominicaine.Sa visite a aussi commencé le jour même où le président américain a imposé des droits de douane contre le Mexique, le Canada et la Chine, s'attirant une réponse cinglante de Mexico qu'il a accusé de liens avec le narcotrafic.Mais le principal sujet sur la table de sa première étape est le tollé provoqué dès le jour de son investiture, le 20 janvier, par Donald Trump, qui a dit vouloir "reprendre" le contrôle du canal de Panama, un carrefour maritime stratégique pour le commerce mondial.Cette voie navigable entre l'Atlantique et le Pacifique construite par les Etats-Unis et inaugurée en 1914 a été transférée au Panama en 1999.Il en a remis une couche vendredi. "Ils ont déjà proposé de faire beaucoup de choses mais nous pensons qu'il est approprié que nous le reprenions", a-t-il dit à la presse.M. Trump, qui se plaint d'une concurrence déloyale à propos du transit des navires américains, a souligné que le Panama enlevait les panneaux en chinois pour dissimuler le fait qu'il avait "totalement violé l'accord" sur le canal.- Sujets "communs" -Pendant sa visite, Marco Rubio va se rendre le long de l'axe stratégique et être reçu dimanche par le président José Raul Mulino, a indiqué un haut responsable américain.Le autorités panaméennes ont déjà prévenu: il n'y a rien à négocier."En ce qui concerne le canal, c'est impossible, je ne peux pas négocier, et encore moins ouvrir un processus de négociation sur le canal, c'est scellé, le canal appartient au Panama", a déclaré jeudi José Raul Mulino.Il a cependant affirmé qu'il existait des sujets "communs" comme la crise migratoire, la lutte contre le narcotrafic, le crime organisé et le blanchiment d'argent qui peuvent être abordés avec les Etats-Unis."Je pense que le président a été très clair sur sa volonté d'administrer à nouveau le canal. Il est évident que les Panaméens ne sont pas très favorables à cette idée", a déclaré Marco Rubio sur la radio SiriusXM jeudi, en parlant d'une "menace directe" de la Chine pour les Etats-Unis."Si, lors d'un conflit, le gouvernement chinois leur dit de fermer le canal de Panama, ils y seront obligés. C'est une menace directe", a-t-il insisté.- "Nouvelle ère" -Reste à voir comment Marco Rubio mettra en œuvre la promesse de Donald Trump.Le choix de l'Amérique centrale pour son premier déplacement ne doit rien au hasard pour ce fils d'immigrés cubains."Qu'il s'agisse des migrations, de la sécurité ou du commerce, aucune autre région du monde n'a autant d'impact sur la vie quotidienne des Américains que le continent américain", a fait valoir vendredi à des journalistes Mauricio Claver-Carone, chargé de l'Amérique latine au département d'Etat. Mauricio Claver-Carone.Donald Trump dénonce régulièrement une "invasion" de migrants venant notamment de ces pays.Maureen Meyer, du Washington Office on Latin America, une organisation américaine qui promeut les droits humains dans la région, souligne que "chacun de ces pays à un intérêt personnel à avoir une bonne relation avec l'administration Trump".La Colombie peut en témoigner. Le président Trump a brandi dimanche dernier l'arme douanière contre Bogota pour avoir refoulé des migrants expulsés par les Etats-Unis, obtenant finalement gain de cause.lb-sct-rfo/ube/gmo/lpa

  • Grammy Awards 2025 : Chappell Roan est la nouvelle star de la pop, qui ne fait rien comme les autres

    La chanteuse de « Good Luck, Babe ! » et « HOT TO GO ! » est nommée six fois aux Grammys. Artiste queer, drag queen, princesse du Midwest... portait d’une star à part.

  • Pourquoi Henri IV a-t-il attendu près de 300 ans avant d'avoir son boulevard à Paris ?

    NOM D’UNE RUE ! Il s’appelait boulevard Saint-Germain. Mais c’est bien sous la IIIe République que cet axe, reliant la Seine à la place de la Bastille, fut rebaptisé Henri-IV.

  • L'or «pourrait s’envoler à 3 600 dollars, selon l’analyse technique !»

    L’or, la relique barbare, pourrait selon l’analyse technique s’envoler à 3 200 dollars et 3 600 dollars. Thierry Béchu, responsable investissements chez Kanopy AM, conseille d’être sélectif sur les actions des sociétés de mines d’or. L’investissement direct dans l’or paraît plus sûr.

  • "Autant que 2 parts de camembert" : ce yaourt que l’on croit sain est plus gras qu’il n’y paraît

    Vous avez l’habitude de consommer ce type de yaourt ? Attention, ce dernier serait en réalité ultra-calorique. On vous explique.

  • Birmanie: quatre ans après le coup d'Etat, l'accès à l'électricité plus si courant

    "Comment peut-on vivre comme ça ?""Comment peut-on vivre comme ça ?"

  • Trump impose des droits de douane au Canada, au Mexique et à la Chine, avec une hausse d'inflation et une guerre commerciale en perspective

    Le décret de Trump comprend un mécanisme d'escalade des taux appliqués par les États-Unis en cas de représailles de la part des autres pays, ce qui fait planer le spectre d'une perturbation économique globale encore plus grave.View on euronews