Poissons
19 FÉVRIER - 20 MARS
Amour : Pour vivre heureux vivons cachés : tel est votre adage de la semaine ! Votre vie sentimentale très intense est marquée par la discrétion, si ce n'est le secret. Même si vos amours sont officielles, vous n'avez pas envie de les afficher. C'est bien normal car vous avez besoin de vous retrouver et vous mettrez tout en œuvre pour concrétiser vos projets à deux. Le couple sera au centre de vos préoccupations.
Travail-Argent : Vos conditions de travail devraient peu à peu évoluer favorablement, ce qui peut aussi donner lieu à une amélioration de vos ressources financières. Ce que vous attendiez depuis longtemps est enfin en train de se produire. Les efforts finissent toujours par payer et vous le savez bien, c'est pourquoi vous persévérez. Vous aurez le plaisir d'observer les résultats de vos engagements, la réussite est tout près, ne lâchez rien !
Santé : L'ambiance de la semaine laisse présager une très bonne forme, vous serez ultra-dynamique. Même si vous avez l'impression que rien ne peut vous arrêter, votre besoin d'agir non-stop risque de vous rendre quelque peu nerveux. Surtout apprenez à maîtriser vos nerfs ainsi que votre impatience ; vous pourrez vous offrir un peu de repos. Avez-vous pensé à une séance de relaxation ?
Bélier
21 MARS - 20 AVRILTaureau
21 AVRIL - 20 MAIGémeaux
21 MAI - 21 JUINCancer
22 JUIN - 22 JUILLETLion
23 JUILLET - 22 AOÛTVierge
23 AOÛT - 22 SEPTEMBREBalance
23 SEPTEMBRE - 22 OCTOBREScorpion
23 OCTOBRE - 22 NOVEMBRESagittaire
23 NOVEMBRE - 21 DÉCEMBRECapricorne
22 DÉCEMBRE - 20 JANVIERVerseau
21 JANV - 18 FÉVRIERPoissons
19 FÉVRIER - 20 MARS
Macron cherche un nouveau Premier ministre: ce qu'il faut attendre des consultations menées ce vendredi
Le président de la République espère pouvoir nommer dans les prochains jours un Premier ministre à la tête d'un "gouvernement d’intérêt général". Il reçoit à l'Élysée ce vendredi les chefs du PS, de LR et de son camp, mais pas des écologistes, des insoumis et du Rassemblement national.
Angelina Jolie : ce métier morbide et complètement inattendu qu'elle voulait faire avant d'être actrice
Lors d’une interview, Angelina Jolie a laissé le monde entier bouche bée en révélant quel métier elle avait prévu de faire avant de se consacrer au cinéma. Vous n’allez pas en revenir !
"Beaucoup d'antidépresseurs" : Ariana Grande, critiquée sur son physique depuis l'adolescence, elle se confie
Dans une récente interview, Ariana Grande a livré quelques confidences sur les critiques qu'elle a reçues au sujet de son physique, tout au long de sa carrière.
Au Maroc, le patron de la BAD Akinwumi Adesina défend sa méthode auprès des investisseurs
En 2025, le Nigérian Akinwumi Adesina quittera la Banque africaine de développement (BAD) après dix ans à sa tête. Son second mandat met en évidence les difficultés à concrétiser le potentiel économique du continent. Lors de l’Africa investment forum de Rabat, il a incité les bailleurs à jouer collectif en plaçant la BAD comme chef de file. De notre envoyé spécial à Rabat,Le 1er janvier, Akinwumi Adesina entamera la dernière ligne droite de sa présidence à la Banque africaine de développement (B
Voitures électriques: batteries mode d'emploi
L'électricité devient le nouveau carburant des voitures.Pour une voiture de moyenne gamme, le poids d'une batterie est compris entre 250 et 350 kg selon le site Izi, mis en place par EDF pour accompagner les particuliers dans la transition.
Guadeloupe: face à l'érosion côtière, des maires guadeloupéens désemparés
Avant, "c'était du sable, pas de l'eau"."Quand j'étais petit, on pouvait rallier ces deux points à pied: c'était du sable, pas de l'eau", raconte-t-il, montrant les restes de l'ancienne poudrière d'une batterie militaire coloniale qui s'est effondrée dans les flots en contrebas, il y a quelques mois, et une digue artificielle qui avance dans la mer et protège la plage, à une centaine de mètres de là.
Corée du Sud: le président Yoon lâché par son parti, qui veut son départ
Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol, menacé de destitution pour sa tentative ratée d'imposer la loi martiale, a été lâché vendredi par son propre parti qui a jugé qu'il faisait courir "un grand danger" au pays et a préconisé sa "suspension rapide".Han Dong-hoon, le chef du Parti du pouvoir au peuple (PPP) auquel appartient M. Yoon, a retourné sa veste vendredi, après avoir affirmé la veille que sa formation ferait échec à la motion en destitution déposée par l'opposition au Parlement.Si M. Yoon reste à son poste, "il existe un risque important que des actions extrêmes similaires à la déclaration de la loi martiale soient répétées, ce qui pourrait mettre la République de Corée et ses citoyens en grand danger", a-t-il déclaré lors d'une allocution télévisée.M. Han a également dit détenir des "preuves" que le président avait ordonné l'arrestation de dirigeants politiques dans la nuit de mardi à mercredi, lorsqu'il avait déclaré la loi martiale et envoyé l'armée boucler le Parlement, avant d'y renoncer sous la pression des députés et de la rue.Selon le député d'opposition Jo Seung-lae, les images des caméras de surveillance du Parlement indiquent que les militaires cherchaient à arrêter le chef du Parti démocrate (la principale force d'opposition), Lee Jae-myung, le président de l'Assemblée nationale, Woo Won-shik, et même M. Han.- Craintes de 2e loi martiale -"Nous recevons de nombreuses informations concernant une seconde loi martiale. Jusqu'au vote de la loi de destitution samedi, tous les membres du Parti démocrate demeureront dans le bâtiment principal de l'Assemblée nationale", a déclaré M. Jo."Il n'y a pas de deuxième loi martiale", a assuré à l'AFP un responsable de l'état-major. Les Sud-Coréens "n'ont pas besoin de s'inquiéter", a renchéri un porte-parole du ministère de la Défense.Si M. Yoon ne démissionne pas avant, le Parlement monocaméral sud-coréen se réunira samedi à 19H00 (10H00 GMT) pour se prononcer sur sa destitution. Une majorité des deux tiers des 300 députés est nécessaire pour le chasser du pouvoir.Le PPP dispose de 108 sièges, contre 192 pour l'opposition. Ces dernières doivent donc obtenir la défection d'au moins huit députés du parti présidentiel pour faire passer leur motion, ce qui paraît probable après les dernières déclarations du chef du PPP."Même si quelques membres du parti au pouvoir soutiennent encore Yoon Suk Yeol, les déclarations de Han aujourd'hui semblent influencées par la gravité de la situation", a expliqué à l'AFP Shin Yul, professeur de sciences politiques à l'université de Myongji."Il semble que Han et les dirigeants du parti aient conclu qu'il existe une possibilité significative que le président Yoon déclare une seconde loi martiale", a ajouté ce chercheur.Si la motion est approuvée, M. Yoon sera suspendu de ses fonctions en attendant la validation de sa destitution par la Cour constitutionnelle. Si les juges donnent leur feu vert, une nouvelle élection présidentielle aura lieu sous 60 jours.L'intérim serait alors assuré par le Premier ministre Han Duck-soo.M. Yoon, qui a disparu de la scène publique depuis mercredi, est par ailleurs visé par une enquête pour "rébellion".- Popularité au plancher -La cote de popularité de Yoon Suk Yeol a atteint un plus bas de 13%, selon un sondage Gallup publié vendredi.A la surprise générale, le président avait décrété la loi martiale mardi soir et tenté de museler le Parlement, où son camp est minoritaire, en y envoyant l'armée.M. Yoon, élu de justesse en 2022, avait accusé les élus de l'opposition de bloquer "tous les budgets essentiels aux fonctions premières de la nation". Il avait justifié son coup de force par la nécessité de protéger "la Corée du Sud libérale des menaces des forces communistes nord-coréennes et pour éliminer les éléments hostiles à l'Etat".Malgré le bouclage de l'Assemblée, 190 députés avaient réussi à se faufiler à l'intérieur dans la nuit, parfois en escaladant les clôtures, et à voter à l'unanimité une motion réclamant la levée de loi martiale, pendant que leurs assistants empêchaient les soldats de pénétrer dans l'hémicycle en barricadant les portes avec des meubles.Le chef des forces spéciales, Kwak Jong-geun, a affirmé vendredi avoir reçu un ordre de l'ex-ministre de la Défense "de traîner dehors les membres de l'Assemblée nationale".Défiant la loi martiale, des milliers de manifestants s'étaient massés devant le Parlement pour demander le départ du président. Ce dernier a finalement cédé six heures après son annonce initiale et a renvoyé l'armée dans ses casernes.Depuis, des milliers de Sud-Coréens manifestent chaque jour devant les lieux de pouvoir pour réclamer son départ.cdl-hj-roc/tmt/jnd
UE-Mercosur : von der Leyen en Uruguay pour signer l'accord, malgré les critiques de Macron
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen est arrivée jeudi à Montevideo, en Uruguay, pour assister au sommet des pays du Mercosur et afin de signer un accord de libre-échange avec l'UE vendredi. Emmanuel Macron a quant à lui "redit" qu'une signature était "inacceptable en l'état".
L'ostéopathie pour les bébés, une pratique à la mode qui inquiète les professionnels de santé
Sur les murs des maternités, les affiches conseillant aux nouveaux parents d'emmener leur bébé chez l'ostéopathe se multiplient, au grand dam de nombreux professionnels de santé qui dénoncent l'inutilité voire la dangerosité de cette pratique.Les ostéopathes ne sont donc pas considérés comme des professionnels de santé.
Kendall Jenner pose topless avec une simple paire de collants transparents, le mannequin enflamme la Toile
La température est montée en flèche sur Instagram grâce à Kendall Jenner. Le top modèle a dévoilé des images d’elle dans lesquelles elle a posé seulement en collants.
Jura : Une enseignante menacée par un parent pour avoir montré une caricature d’Erdogan à ses élèves
EDUCATION NATIONALE - L’enseignante est sous protection depuis la visite d’une exposition de dessins de presse et de caricatures au CDI du lycée Pré Saint-Sauveur de Saint-Claude
Au Kenya, un sénateur veut protéger les géants de la tech d'éventuelles poursuites de leurs employés
Au Kenya, un amendement à la loi sur le droit des affaires qui prévoit de modifier les règles des contrats de sous-traitance dans le secteur des nouvelles technologies est actuellement en débat au Sénat. S'il est voté, le texte interdira aux employés des prestataires kényans de poursuivre en justice les entreprises commanditaires, pour quelque motif que ce soit. Avec notre correspondante à Nairobi, Gaëlle LaleixSelon l’amendement à la loi sur le droit des affaires actuellement en débat au Sénat
Varsovie accueille la fermeture du consulat de Pologne à Saint-Petersbourg avec indifférence
La tension continue de grimper entre Moscou et Varsovie sur fond de guerre en Ukraine. En réponse à la fermeture du consulat général de Russie à Poznan le 30 novembre, le Kremlin a annoncé celle du consulat de Pologne à Saint-Petersbourg, jeudi 5 décembre. Une décision qui était attendue par les autorités polonaises. Avec notre correspondant à Varsovie, Adrien SarlatLa diplomatie russe a annoncé, jeudi 5 décembre, la fermeture du consulat polonais à Saint-Pétersbourg en réponse à celle, décidée
Mali: après cinq mois de détention, 11 opposants à la junte ont été remis en liberté provisoire
Cinq mois après leur arrestation au domicile de l'un d'entre eux pour avoir tenu une réunion politique non autorisée, 11 opposants aux militaires qui dirigent le Mali ont été remis en liberté provisoire dans la soirée du jeudi 5 décembre. Plusieurs anciens ministres et dirigeants de partis signataires d'une déclaration appelant la junte à rendre le pouvoir aux civils figurent parmi eux. Une décision de la justice qui prend également en compte le contexte politique. Avec notre correspondant régio
Niger: le militant de la société civile Moussa Tchangari en garde à vue pour atteinte à la sûreté de l'État
Après être resté 48 heures sans nouvelles du secrétaire général de l’association Alternative Espaces Citoyens suite à son arrestation dans la soirée du mardi 3 décembre, Moussa Tchangari a été localisé ce jeudi 5 décembre. Il est actuellement en garde à vue au Service central de lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière organisée, à Niamey. Un collectif d'avocats a pu le rencontrer. Selon l’un de ses avocats, Moussa Tchangari se porte bien et son moral est bon. Alors que l’as
Togo: les premières élections sénatoriales auront lieu le 2 février
Au Togo, l'élection des sénateurs représente une étape supplémentaire dans la mise en place des institutions de la Ve République dont la Constitution a été promulguée au mois de mai dernier. Toujours contestée par une partie de l'opposition et de la société civile, la nouvelle loi fondamentale togolaise fait entrer le pays dans un régime parlementaire dans lequel l'élection du président au suffrage universel direct est supprimée. Pour la première fois de son Histoire, le Togo se dote d'un Sénat.
La Pologne prendra la présidence tournante de l’Union européenne le 1er janvier
Le Premier ministre Donald Tusk a rencontré la présidente du Parlement européen Roberta Metsola pour évoquer cette future présidence.View on euronews
"Esclavage moderne": des Indonésiens prisonniers de réseaux cybercriminels
Budi, vendeur de fruits indonésien, était à la recherche d'un meilleur avenir lorsqu'il a répondu à une offre d'emploi dans l'informatique au Cambodge.Ces dernières années, des milliers d’Indonésiens ont été attirés par des offres d'emplois alléchantes, dans divers pays d’Asie du Sud-Est pour finalement se retrouver pris au piège de réseaux, spécialistes des escroqueries en ligne, de dimension internationale.
En Roumanie, une manifestation de soutien à une candidate pro-européenne
Des milliers de manifestants se sont rassemblés à Bucarest jeudi pour soutenir une candidate pro-européenne à quelques jours de l'élection présidentielle, par crainte d'une victoire du candidat d'extrême-droite pro-Poutine Calin Georgescu, arrivé en tête au premier tour, le 24 novembre dernier. Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées jeudi 5 décembre à Bucarest pour soutenir une candidate pro-européenne à quelques jours de l'élection présidentielle, craignant que leurs droits démocra
Accord UE-Mercosur: von der Leyen veut avancer, un bloc de pays autour de la France entend bloquer
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen entend vendredi à Montevideo faire avancer l'accord de libre-échange UE-Mercosur aux côtés des présidents du Brésil, d'Argentine, d'Uruguay et du Paraguay, réunis pour le 65e sommet du bloc latino-américain où pourrait se sceller une nouvelle étape dans les discussions entamées en 1999.Sous l'influence du Brésil côté sud-américain, de l'Allemagne et de l'Espagne côté européen, les deux blocs souhaitent finaliser les discussions avant l'arrivée en janvier de Donald Trump à la Maison Blanche et ses menaces d'augmentation des droits de douane tous azimuts."Nous sommes parvenus à un texte d'accord commun", ne manquent que des "détails minimes", a déclaré jeudi le ministre des Affaires étrangères uruguayen, Omar Paganini, après une rencontre avec le nouveau commissaire européen au Commerce, Maros Sefcovic. Il dit espérer que la "bonne nouvelle" d'un accord pourra être annoncée vendredi à l'issue de la réunion des chefs d'Etat.Mme von der Leyen, qui avant son arrivée jeudi en Uruguay avait dit sur X que "la ligne d'arrivée de l'accord UE-Mercosur est en vue. Travaillons ensemble, franchissons-la", doit donner une conférence de presse commune avec les présidents Luiz Inacio Lula da Silva, Javier Milei, Luis Lacalle Pou et Santiago Peña.Mais à Paris, une source diplomatique auprès de l'AFP a fait valoir qu'"à ce stade, c'est une finalisation des discussions au niveau des négociateurs", "ce n'est ni la signature, ni la conclusion de l'accord". "Ce n'est donc pas la fin de l'histoire".Le projet de traité vise à supprimer la majorité des droits de douane entre l'Union européenne et le Mercosur afin de créer un vaste marché de plus de 700 millions de consommateurs. Il s'agirait du "plus grand partenariat commercial et d'investissement jamais vu. Les deux régions en tireront profit", a affirmé Mme von der Leyen. - Minorité de blocage en vue -Si en vertu des traités européens, la Commission est seule négociatrice des accords commerciaux au nom des Vingt-Sept, tout texte signé avec les pays du Mercosur doit encore obtenir sa ratification en gagnant l'approbation d'au moins 15 Etats membres représentant 65% de la population de l'UE, puis en réunissant une majorité au Parlement européen.Une minorité de blocage peut également stopper toute ratification.Un combat que mène La France et Emmanuel Macron qui dans un appel téléphonique jeudi matin a "redit" à Mme von der Leyen que le projet d'accord commercial était "inacceptable en l'état", a affirmé l'Elysée. "Nous continuerons de défendre sans relâche notre souveraineté agricole", a ajouté la présidence française sur X. Après le Premier ministre polonais Donald Tusk affirmant fin novembre qu'il n'accepterait pas le projet "sous cette forme", l'Italie a rejoint jeudi le front du refus : "Les conditions ne sont pas réunies pour souscrire au texte actuel", affirment ces sources gouvernementales. Rome estime que "la signature peut avoir lieu seulement à condition que des protections adéquates et des compensations en cas de déséquilibres pour le secteur agricole" soient mises en place.Et ce trio déclaré n'est pas seul, puisque l'Autriche ou les Pays-Bas ont déjà exprimé des réticences.Pour empêcher l'adoption du texte, la France a besoin de rallier trois autres pays représentant plus de 35% de la population de l'UE, un seuil aisément franchi avec désormais l'appui de Rome et Varsovie.- Concurrence déloyale ? -En Europe, les partisans de l'accord soulignent le besoin de débouchés pour les exportateurs et la nécessité de ne pas laisser le champ libre à la Chine, rival avec qui les relations commerciales se sont considérablement tendues.L'accord permettrait à l'UE, déjà premier partenaire commercial du Mercosur, d'exporter plus facilement ses voitures, machines et produits pharmaceutiques. De l'autre côté, il permettrait aux pays sud-américains concernés d'écouler vers l'Europe de la viande, du sucre, du riz, du miel, du soja...Mais de nombreuses ONG et militants de gauche estiment que la création de cette vaste zone de libre-échange accélérerait la déforestation en Amazonie et aggraverait la crise climatique en augmentant les émissions de gaz à effet de serre. Greenpeace dénonce un texte "désastreux" pour l'environnement, sacrifié pour privilégier "les profits des entreprises". Les agriculteurs français craignant une concurrence déloyale des produits sud-américains, notamment brésiliens, multiplient les manifestations.lab-mr-ad/lpa