Yahoo may receive revenue from links on this page.

Verseau

21 JANV - 18 FÉVRIER

Amour : Vous prenez conscience que des changements deviennent nécessaires dans votre relation. Ajoutez-y un peu de fantaisie si vous ne voulez pas tomber dans une routine qui serait sans doute fatale à votre couple. Célibataire, il est temps de sortir de votre routine si vous voulez faire de nouvelles rencontres.

Travail-Argent : Vous avez intérêt à vérifier certains détails de votre travail à deux fois aujourd'hui. Vous êtes distrait et vous ne parvenez pas à vous concentrer. Reprenez-vous avant que vos supérieurs ne s'en aperçoivent. Une rentrée d'argent que vous n'attendiez plus vous redonnera le sourire.

Santé : Soyez prudent sur la route, votre manque de concentration est source de risque. Dans l'ensemble, vous ne manquerez ni d'allant ni de tonus mais tant que vous n'aurez pas de réponses aux questions qui vous perturbent votre moral ne sera pas au top.

24 november
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Climat: le Japon s'engage à réduire ses émissions de 60% d'ici 2035 par rapport à 2013

    Le Japon s'est engagé mardi à réduire de 60% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2035 par rapport à 2013, dans le cadre d'un plan climatique à l'ambition relevée, et qui s'accompagne d'une révision de sa stratégie énergétique."Les scientifiques ont averti que le Japon devait réduire de 81% ses émissions d'ici 2035 pour s'aligner sur l'objectif de 1,5°C (...)

  • Rétablissement des relations et guerre en Ukraine : Américains et Russes en pourparlers à Riyad

    Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s'entretiendra mardi en Arabie Saoudite avec de hauts responsables américains, dont le secrétaire d'État américain Marco Rubio, au sujet de la fin de la guerre en Ukraine et du rétablissement des relations entre la Russie et les États-Unis. Après que des dirigeants européens se sont réunis à Paris lundi, c'est au tour de hauts responsables américains et russes, menés par les chefs de la diplomatie, de se retrouver, mardi 18 février à Riy

  • Liberia: le président contesté du Parlement tente d’évincer la juge de la Cour suprême

    Après avoir évincé son rival, Richard Koon, qui revendique la présidence de l’Assemblée nationale, s’attaque désormais à la justice. Selon la presse libérienne, il s’apprête à déposer une motion de destitution contre la présidente de la Cour suprême, l’accusant de « mauvaise conduite ». Une manœuvre politique, selon plusieurs observateurs, qui vient ajouter une nouvelle couche à la crise constitutionnelle paralysant le pays depuis des mois. Richard Koon a été désigné président du Parlement libér

  • JO: Alpes 2030 présente son comité d'organisation, Grospiron intronisé

    Après des mois de retard en raison de bisbilles autour de la désignation de son président, le comité d'organisation des JO (Cojo) d'hiver 2030 dans les Alpes françaises est dévoilé mardi à Lyon, avec à sa tête l'ex-champion Edgar Grospiron, choisi après le retrait de Martin Fourcade. - "Lancer la machine" - Le "G5" a mis fin au feuilleton, qui commençait à faire mauvaise impression autour de la désignation du président du Cojo il y a seulement cinq jours, en choisissant Edgar Grospiron, le champ

  • Macron demande des « garanties de sécurité crédibles » pour l’Ukraine

    Le président français s’est entretenu avec Donald Trump et Volodymyr Zelensky après avoir reçu une dizaine de dirigeants européens ce lundi.

  • Violences conjugales: le tribunal rend mardi son jugement à l'encontre de Stéphane Plaza

    Le tribunal de Paris rend mardi après-midi son jugement à l'encontre de Stéphane Plaza, agent immobilier vedette de M6 contre qui le parquet a requis 18 mois d'emprisonnement avec sursis et 10.000 euros d'amende pour violences conjugales sur deux anciennes compagnes, des accusations qu'il réfute.Il est reproché à l'animateur de 54 ans "d'avoir porté des coups, dénigré, humilié publiquement, tordu des doigts si fort que certains ont été luxés, d'avoir mordu" ses anciennes compagnes. A l'audience, le 9 janvier, il avait vigoureusement démenti les accusations. Joints par l'AFP en amont du jugement, ses avocats n'ont pas répondu.Stéphane Plaza comparaissait pour "violences habituelles physiques et/ou psychologiques par concubin" entre 2018 et 2022 sur une ex-compagne, Amandine. Et pour "violences habituelles psychologiques par concubin" sur une autre, Paola, entre 2021 et 2022.Le parquet avait appelé le tribunal à s'interroger sur la "juste peine" à prononcer, celle qui permettra de "replacer la responsabilité là où elle doit être" et de "souligner le poids financier sur les victimes" dans un dossier où "l'argent a été un élément central dans ces mécanismes de domination".Par son jugement, le tribunal doit "dire à Amandine et Paola", les deux anciennes compagnes, "qu'elles ne sont en rien responsables d'avoir cru, d'avoir aimé, d'être restées"."On ne dit pas qu'il y a eu des violences tous les jours", avait précisé la procureure, mais que le prévenu a "institué un continuum de violences". Et chez ces femmes a grandi "la peur des mauvais jours, la peur des crises, du dénigrement et pour certaines, des coups".- "Je ne contrôle pas ma force" - Les doigts tordus d'Amandine, au printemps 2022 ? "Je ne contrôle pas ma force car je suis dyspraxique et maladroit (...) et je ne vois pas qu'elle a mal", avait affirmé Stéphane Plaza.Les clefs de l'appartement de Paola, qu'il ne lui rend pas malgré ses demandes ? "Une bêtise, il les a perdues", assurait l'un de ses avocats, Carlo Alberto Brusa.Paola avait décrit à la barre "un comportement changeant" de M. Plaza: paroles douces le soir, insultes le matin... "Vieille pute ! Bimbo !", lui dit-il quand elle procède à une augmentation mammaire pour davantage lui plaire."On fait de quelques petits faits quelque chose de monstrueux. Et sans preuve. Pour condamner quelqu'un, il faut des preuves tangibles", avait balayé Me Brusa.Ce dossier est nourri "d'éléments de preuves", a estimé auprès de l'AFP Me Clotilde Lepetit, qui représente Paola, au côté de Me Louise Bériot."Il est vrai que les violences psychologiques sont par nature difficiles à prouver: commises dans l'intimité, elles laissent peu de traces. Mais dans ce dossier, on a un enregistrement, des témoignages, Paola fait changer sa serrure... Que faut-il de plus ?""Il ne faudrait pas que les violences psychologiques constituent une satisfaction de parlementaire, mais que la loi soit bien effective et ces violences sanctionnées quand elles ont pu être démontrées", a-t-elle ajouté.Amandine "attend simplement que le droit passe", a déclaré à l'AFP son avocat, Me Benjamin Chouai.A l'audience, la défense avait appelé à la barre quatre connaissances, décrivant Stéphane Plaza comme "généreux", "calme". L'une d'entre elles assurait: "Je sais qu'il est infidèle, ça peut faire l'objet d'une dispute mais alors il est très fuyant. C'est moi qui dégénère".L'affaire avait débuté en septembre 2023, avec la publication par Mediapart des témoignages de trois ex-compagnes. Le parquet avait ensuite ouvert une enquête.clw/asl/swi/tmt

  • Cameroun: l'opposition remet au président Biya ses propositions de révision du code électoral

    La plateforme de l'opposition et de la société civile au Cameroun a déposé lundi 17 février 2025, pour la deuxième fois, son projet de révision consensuelle du code électoral à la présidence de la République. Interpellé publiquement à ce sujet le 11 janvier par Tomaïno Ndam Njoya, la présidente de l'UDC, Paul Biya avait répondu n'être pas au courant de l'existence de ce document pour lequel il avait par ailleurs montré un certain intérêt. Une perche tendue que les membres de l'opposition n'ont p

  • Togo: après les sénatoriales, quelles étapes avant l’instauration de la Ve république?

    Les élections sénatoriales du 15 février donnent une claire majorité à l’union pour la république (Unir), parti au pouvoir avec 34 sénateurs sur 41. Il reste au président de la République de nommer le tiers, c'est-à-dire les 20 sénateurs restants pour que la chambre haute soit au complet avec 61 sénateurs. À cette étape, que reste-t-il à faire pour achever le processus de la nouvelle constitution ? Avec notre correspondant à Lomé, Peter Sassou DogbéLa nouvelle constitution est en application dep

  • A Toulouse, audience "cruciale" sur les recours contre l'autoroute A69

    Le tribunal administratif de Toulouse examine au fond mardi les recours des opposants à l'A69 qui souhaitent voir interrompre les travaux de cette autoroute de 53 km reliant Castres à la ville rose, qui doit ouvrir fin 2025.Face à la juridiction installée au bord du Canal du Midi, six militants écologistes se sont perchés lundi matin dans des platanes, avec une banderole "Stop A69. Courage" pour demander aux magistrats d'en avoir."Si le tribunal est complètement impartial et juge en droit, il a l'occasion de créer une jurisprudence qui permettra de refondre en profondeur le droit environnemental et l'application du droit environnemental sur des projets comme ça", espère Thomas Digard, l'un des porte-parole du collectif La Voie est libre, opposé depuis l'origine au projet.Un rassemblement est prévu mardi à partir de 08h00 sur le parvis de la gare de Toulouse, à quelques mètres du tribunal où l'examen du dossier est programmé une heure plus tard.Avant cette "audience cruciale", dixit M. Digard, les opposants ont vu avec satisfaction la rapporteure publique, magistrate dont les conclusions doivent guider la juridiction dans l'examen des recours, maintenir sa demande d'"annulation totale" de l'arrêté préfectoral du 1er mars 2023 ayant autorisé le chantier.- "Intérêt public" -Depuis quelques jours, plusieurs personnalités publiques ont fait part de leur soutien aux anti-A69 sur les réseaux sociaux, comme les acteurs Mélanie Laurent et Bruno Solo, le chanteur Frah du groupe Shaka Ponk ou le défenseur des baleines Paul Watson.De son côté, Atosca, futur concessionnaire de l'autoroute et actuellement en charge du chantier, entend venir défendre devant le tribunal "l'intérêt public de l'A69".Selon Atosca, l'A69, dont l'objectif est de désenclaver le sud du département du Tarn, bénéficie du "soutien d'une très large majorité des élus et des Tarnais" et sa construction répond à "différents enjeux (notamment territoriaux, démographiques, sécuritaires et économiques)".Au-delà de l'impact écologique, les opposants mettent aussi en cause le coût de l'infrastructure pour ses futurs utilisateurs.Or, la semaine passée, la préfecture d'Occitanie a annoncé qu'un accord avec les collectivités locales avait été trouvé pour réduire les tarifs d'accès sur une partie de la future autoroute.- Revêtement au printemps ? -Avant cette "audience décisive pour l'avenir de cette autoroute au tribunal administratif de Toulouse, il est important que notre assemblée affiche son soutien indéfectible à cette infrastructure essentielle à l'avenir du Tarn", a souligné dans un communiqué Christophe Ramond, président PS du conseil départemental après le vote unanime des élus tarnais sur cette réduction de tarif.Atosca assure qu'en dépit des différentes manifestations et mobilisations qui ont émaillé le chantier depuis plusieurs mois, l'autoroute ouvrira bien fin 2025 comme prévu.Alors que les opposants ne cessent de dénoncer des manquements, erreurs ou approximations qui entraveraient la bonne marche des travaux, le futur concessionnaire affirme que "si des écarts sont constatés" par rapport à l'arrêté préfectoral d'autorisation environnementale, "des mesures correctives sont mises en œuvre"."Plus de 1.000 salariés travaillent sur le chantier actuellement, Atosca a désormais concrétisé plus de 300 millions d'euros, soit 65% du budget total du chantier", a-t-il souligné, annonçant de "nouvelles étapes structurantes" pour le printemps.En mars, seront ainsi installées les deux centrales d'enrobés à chaud qui doivent fabriquer le revêtement de la future autoroute, a précisé le groupe.A moins que le tribunal de Toulouse décide d'ici quelques semaines de remettre en cause l'autorisation environnementale ayant permis ce chantier contesté.elr/chv/jp

  • Dernière ligne droite au Parlement pour la loi d'orientation agricole, avant le Salon

    Le gouvernement est engagé dans une course contre la montre au Parlement pour faire adopter rapidement son projet de loi d'orientation agricole.Présenté il y a environ un an sous le gouvernement Attal en réaction à une crise agricole qui avait enflammé les ronds-points, les autoroutes et l'édition 2024 du Salon, adopté par l'Assemblée nationale au printemps, le projet de loi d'orientation agricole n'a pas pu être examiné plus tôt au Sénat. 

  • Liban: fin du délai d'application de l'accord de trêve, Israël se maintient dans cinq points

    Le délai fixé pour le retrait des troupes israéliennes du sud du Liban, dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu avec le Hezbollah, a expiré mardi matin, après qu'Israël a confirmé maintenir des troupes dans "cinq points stratégiques" pour surveiller la frontière. A quelques heures de l'échéance, déjà repoussée une fois, un responsable libanais a indiqué à l'AFP, sous couvert d'anonymat, que l'armée israélienne avait entamé un retrait de "villages frontaliers (...) tandis que l'armée libanaise avance". Mais Israël a déjà prévenu lundi compter "laisser temporairement un petit nombre de soldats déployés sur cinq points stratégiques le long de la frontière libanaise", malgré la volonté des autorités libanaises de pousser à un retrait total.Entré en vigueur le 27 novembre, l'accord a été conclu après deux mois de guerre ouverte entre Israël et le mouvement Hezbollah, pendant lesquels les troupes israéliennes ont pris position dans le sud du Liban, à la frontière du nord d'Israël. Les autorités estiment le coût de la reconstruction à plus de dix milliards de dollars, tandis qu'environ 100.000 Libanais, parmi plus d'un million de déplacés, restent toujours exilés, selon l'ONU. Malgré l'ampleur sans précédent des destructions, notamment dans les villages frontaliers, les déplacés attendent de rentrer chez eux pour constater l'état de leurs biens et récupérer les corps de combattants parmi leurs proches, laissés depuis des mois. Parmi eux, Fatima Choukeir, une sexagénaire ayant fui son village de Meiss el-Jabal, à la frontière, il y a un an et demi, prévoit d'y retourner dès les premières heures du matin"Mon plus grand souhait est de m'asseoir devant ma maison, près de mes fleurs, et de savourer un café le matin", confie-t-elle à l'AFP. "Tout me manque à Meiss el-Jabal, mes voisins… Nous avons été dispersés, et je ne sais même pas où ils sont partis", ajoute-t-elle. Plusieurs municipalités ont appelé les habitants à attendre que l'armée libanaise se déploie dans leurs villages pour garantir leur "sécurité".C'est le cas de Meiss el-Jabal, qui fait partie des zones dont l'armée israélienne a commencé à se retirer lundi, selon le responsable libanais. - "Points stratégiques" -Selon les termes de l'accord de cessez-le-feu, Israël était censé avoir achevé le 26 janvier son retrait du sud du Liban, où seuls l'armée libanaise et les Casques bleus de l'ONU devaient être déployés. Le Hezbollah devait lui démanteler ses infrastructures et se retirer au nord du fleuve Litani, à une trentaine de kilomètres de la frontière israélienne. Fin janvier, l'échéance avait été repoussée au 18 février. Puissant mouvement armé ayant dominé pendant des années la vie politique au Liban, le Hezbollah a été fondé et financé par l'Iran, ennemi juré d'Israël. Au lendemain du lancement d'une offensive militaire israélienne à Gaza en riposte à une attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, le Hezbollah a ouvert un front contre Israël, tirant des roquettes en direction du territoire israélien depuis le sud du Liban, son fief. Il disait agir "en soutien aux Palestiniens" et au Hamas, son allié. Les tirs transfrontaliers ont dégénéré en guerre ouverte en septembre 2024. Le Hezbollah en est sorti affaibli, sa direction largement décimée.- "Mesure temporaire" -L'armée israélienne a présenté sa décision de rester dans cinq points "stratégiques" comme "une mesure temporaire jusqu'à ce que les forces armées libanaises soient en mesure d'appliquer pleinement l'accord".Cette annonce place les autorités libanaises dans une situation délicate vis-à-vis du Hezbollah, qui, très affaibli, a estimé dimanche qu'il incombait au gouvernement libanais de pousser Israël à retirer ses troupes. "Le Hezbollah doit être désarmé, et Israël préférerait que l'armée libanaise s'en charge, mais personne ne doit douter qu'Israël fera ce qu'il a à faire pour que l'accord de cessez-le-feu soit respecté et pour défendre notre sécurité", a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Le nouveau gouvernement libanais a affirmé lundi que l'Etat devrait détenir le monopole des armes dans le pays et promis de libérer "tout le territoire", en plein débat au Liban sur le désarmement du Hezbollah. Depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu, Israël mène des frappes aériennes qui ont fait plus de 60 morts, dont environ 24 le 26 janvier, alors que des habitants tentaient de retourner dans leurs villages frontaliers. L'armée israélienne mène également des opérations de dynamitage dans les villages frontaliers. "La démolition délibérée par Israël des maisons et des infrastructures civiles" rend "impossible le retour de nombreux habitants" dans les zones frontalières, a déclaré lundi Ramzi Kaiss, de Human Rights Watch.lg-lk-lar/jos/hme/gmo/lgo

  • Canada: un avion se retourne à l'atterrissage, 18 blessés

    Un avion de la compagnie américaine Delta Air Lines s'est retourné de manière spectaculaire en phase d'atterrissage lundi, s'immobilisant sens dessus dessous sur le tarmac de l'aéroport canadien de Toronto, faisant 18 blessés dont trois graves.Le vol, opéré par Endeavor Air avec un avion Bombardier CRJ900 comptant 80 personnes à bord, reliait Minneapolis, dans l'Etat américain du Minnesota, à Toronto, la ville la plus peuplée du Canada, lorsqu'il a eu un accident en début d'après-midi, a indiqué

  • Guerre en Ukraine : Zelensky fustige la stratégie de Trump qui consiste à « faire plaisir à Poutine »

    mécontent - Les Etats-Unis mettent de plus en plus Zelensky de côté alors qu’une rencontre entre Trump et Poutine se profile

  • Le Costa Rica accepte de servir de plateforme pour réceptionner des migrants expulsés des États-Unis

    Le Costa Rica a annoncé lundi accepter de réceptionner des migrants expulsés par les États-Unis, s'alignant sur la position du Panama et du Guatemala voisins, alors que Donald Trump cherche à chasser du territoire américain les migrants en situation irrégulière. « Le gouvernement du Costa Rica a accepté de collaborer avec les États-Unis pour le rapatriement dans leur pays de 200 migrants irréguliers », a annoncé la présidence du pays d'Amérique centrale dans un communiqué. Il s'agit de personnes

  • Guerre en Ukraine : Une paix « durable » doit s’accompagner de « garanties de sécurité fortes », affirme Macron

    CONFLIT - Macron a mis en garde contre le risque de reproduire l’échec des accords de Minsk, alors que l’Europe s’inquiète du changement de cap des Etats-Unis

  • Bolivie : Au moins 30 personnes meurent lors de la terrible chute d’un autocar dans un ravin

    DRAME de la route - L’accident s’est produit sur une route sinueuse. La police privilégie l’hypothèse d’un excès de vitesse

  • Le Doge d'Elon Musk a-t-il vraiment découvert « des milliards de dollars » de « fraude » ?

    La chasse au gaspillage du département à l’Efficacité gouvernementale s’accompagne d’une campagne partisane de désinformation massive.

  • Etats-Unis : Le Costa Rica servira de plateforme pour réceptionner des migrants expulsés

    POINT DE TRANSIT - Le Costa Rica accueillera temporairement 200 migrants expulsés par les Etats-Unis dans une opération entièrement financée par Washington

  • Décès de l'autrice canadienne Antonine Maillet, première Goncourt non-européenne

    La romancière et dramaturge canadienne Antonine Maillet, grande voix de l'Acadie et première non-Européenne à recevoir le prix Goncourt, est décédée à l'âge de 95 ans, a indiqué lundi son éditeur dans un communiqué.Antonine Maillet n'est plus.

  • New York : Démissions en série alors que le maire sur la sellette se rapproche de Trump

    FRONDE - La crise politique s’accélère à New York où le maire Eric Adams, englué dans une affaire de corruption, est critiqué sur le dossier de l’immigration