Meurtre de Louise, 11 ans : l’ADN d’un suspect retrouvé sur le corps de la collégienne
Selon « Le Parisien », l’ADN de l’un des suspects qui a été interpellé lundi a été identifié sur le corps de la fille de 11 ans, retrouvée morte samedi. Lors de ses premières auditions, le jeune homme de 23 ans aurait commencé à reconnaître son implication dans le meurtre de Louise.
Mise à jour le 11 février à 18h38 – Le principal suspect a commencé à reconnaître son implication dans le meurtre de la petite Louise. Selon les informations du « Parisien », le jeune homme de 23 ans prénommé Owen L. a assuré lors de ses premières auditions que le mobile ne serait ni sexuel ni crapuleux. « Une forme d’aveux mais qui restent à être complétés », indique une source proche de l’affaire, citée par nos confrères.
Article du 11 février à 16h21 - Enfin, une première piste qui pourrait expliquer le meurtre violent de Louise, 11 ans, dont le corps sans vie a été retrouvé samedi 8 février dans le bois des Templiers près de Longjumeau (Essonne). Selon « Le Parisien », qui révèle l’information ce mardi 11 février, les enquêteurs se concentrent sur un suspect, un jeune homme de 23 ans prénommé Owen et interpellé lundi avant d’être placé en garde à vue.
Selon le quotidien, un ADN inconnu, retrouvé sur le corps de la jeune fille, a pu être identifié et correspondrait à celui d’Owen. De plus, la description physique et l’âge de l’homme en garde à vue correspondent à ceux de la silhouette suspecte captée par la caméra de surveillance postée à l’entrée de Longjumeau peu de temps avant la disparition de Louise, vendredi.
Au total, huit personnes placées en garde à vue
Toujours selon « Le Parisien », le suspect a présenté « diverses incohérences dans le récit de son emploi du temps le jour du...
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