Mort d’Emile : ce problème que risquent de poser les analyses ADN pour la suite de l’enquête

Près de quinze mois après, l’enquête est loin d’être terminée. Car de nombreuses questions restent encore sans réponse autour de la disparition, et de la mort, du petit Emile. S’agit-il d’un accident ou d’un crime ? Et dans ce cas, qui pourrait bien être impliqué dans le meurtre de ce garçonnet de deux ans et demi ? Depuis la découverte d’une partie de ses ossements et vêtements fin mars 2024, neuf mois après sa disparition, les enquêteurs disposent enfin d’éléments matériels pour tenter d’y voir un peu plus clair dans cette affaire. Des expertises ADN ont ainsi été menées par l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, puis des analyses complémentaires ont été effectuées par le professeur Christian Doutremepuich, véritable ponte dans le milieu, et ses équipes du laboratoire privé d’hématologie médico-légale de Bordeaux. Celles-ci sont officiellement terminées, et auraient conduit à des “avancées très notables” dans l’enquête, selon les révélations de plusieurs sources auprès de La Provence, ce 26 septembre 2024.

Si l’on ignore encore de quel type d’avancées il est ici question, nos confrères évoquent un probable “virage à 180 degrés” dans le dossier, qui “relancerait complètement l’enquête”. Pourrait-il s’agir de la découverte de l’ADN d’une tierce personne, accréditant ainsi la piste criminelle ? Impossible à affirmer pour le moment. Mais une chose est sûre : si un matériel génétique autre que celui d’Emile venait à être identifié, il devra être comparé à (...)

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