Procrastination : voici la question à se poser pour réduire l'anxiété qui en découle, selon une experte

Les personnes sujettes à la procrastination savent que cette tendance peut favoriser l'anxiété et la déprime. Alors que faire lorsque l'on s'y trouve confronté ? Selon une experte, se poser une question bien précise pourrait nous aider.

Tâches ménagères remises au lendemain, mail auquel nous répondrons plus tard... Nous sommes tous plus ou moins confrontés à la procrastination. Selon les chiffres de Santé Publique France, 264 millions de personnes seraient atteintes de troubles dépressifs dans le monde et 284 millions seraient touchées par les troubles anxieux. S'ils existent indépendament de notre tendance à procrastiner, ces troubles psychiques pourraient en fait être favorisés par nos comportements d'évitement.

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D'après Victoria Maxwell, conférencière et spécialiste de la santé mentale, le fait de se sentir anxieux peut provoquer de l’anxiété, tout comme se sentir déprimé peut nous déprimer encore plus. Pour contrer ce cercle vicieux, les personnes concernées ont tendance à s'occuper afin de faire disparaître ces sentiments : c'est ce qu'elle considère comme des comportements d'évitement auprès de Psychology Today. Et ceci ne fait généralement qu'aggraver la situation. Pour remédier à cela, elle conseille alors de se poser une question bien précise, qui permettrait de soulager son anxiété.

« Qu'est-ce que j'évite ? »

Bien entendu, les premières méthodes afin de réduire l'anxiété restent les exercices de respiration et d'auto-apaisement. Aussi, Victoria Maxwell explique que chercher dans ses traumatismes, son...

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