Sophie Fontanel dans le podcast Les Vagues : « Ça m’est égal de vieillir, je pense que le pire c’est de perdre sa juvénilité »
Dans cet épisode des Vagues, Marion Ruggieri, grand reporter au ELLE, rencontre Sophie Fontanel, chez elle, au cœur de Paris. La journaliste et écrivaine parle, sans détour, de son enfance, de cette place de petite fille intelligente qu'on lui a attribuée, puis de la mode et de l'écriture qui lui ont permis d'affirmer sa singularité, de l’âge qu’elle assume, et du courage qu'il faut pour faire un pas de côté.
Sophie Fontanel, cerveau en ébullition, regard espiègle et crinière argentée, nous accueille chez elle, sous les toits de Paris, là où fleurissent les boutiques de mode. Un appartement clair et cosy, tout en enfilade. Journaliste et écrivaine, Sophie Fontanel a compris très jeune qu’il lui faudrait échapper au groupe, n’appartenir à aucun cercle pour rayonner. « Si je suis toute seule, si je ne suis pas dans le groupe, j’y arrive mieux. Et ça a été un peu l’histoire de ma vie, de faire un pas de côté » explique-t-elle au micro de notre journaliste Marion Ruggieri.
Dans le monde de la mode, qu’elle commente, elle occupe aussi une place à part, celle de la femme qui assume de vieillir, une place forte. « Ça m’est égal de vieillir, je pense que le pire, c'est de perdre sa juvénilité. Et c’est compliqué parce qu’en même temps, il faut avoir de la lucidité, de la maturité. Mais il faut rester capable de faire des conneries, de se marrer, d’être naïf ».
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