Le cancer de l’ovaire est difficile à détecter, mais se concentrer sur ces 4 symptômes peut aider au diagnostic

Le cancer de l’ovaire est notoirement difficile à détecter précocement, souvent identifié seulement lorsqu’il est déjà à un stade avancé, ce qui le rend plus difficile à traiter. Cependant, une nouvelle étude suggère que cibler quatre symptômes spécifiques pourrait conduire à une détection plus précoce. Les femmes qui ont signalé ces symptômes de manière persistante ou fréquente ont été invitées à réaliser des examens plus poussés.

Le cancer de l’ovaire est un cancer peu fréquent, touchant environ 5 300 femmes chaque année. L'ovaire est une glande qui secrète, jusqu'à l'âge de la ménopause, les hormones féminines : œstradiol et progestérone. Chaque mois, au 14ème jour du cycle, il expulse un ovule vers les trompes utérines (les deux ovaires sont situés chacun face à l'extrémité des trompes de l'utérus, situées de chaque côté du corps de l'utérus). Comme l’affirme la Ligue contre le Cancer, « les ovaires peuvent être le siège de tumeurs, souvent bénignes, comme les kystes (tumeur emplie de liquide), mais parfois malignes. Ce cancer est particulièrement sournois et, de ce fait, trop souvent diagnostiqué à un stade déjà évolué, car souvent longtemps silencieux. » Il s’avère plus précisément que le cancer de l’ovaire est le plus souvent diagnostiqué à un stade avancé, car il est difficile à détecter en raison de ses symptômes qui sont souvent confondus avec d’autres problèmes de santé : ces derniers ne sont généralement pas détectés jusqu’à ce que la tumeur soit déjà bien établie. L’Institut National du Cancer fait ainsi savoir pour sa part que « ce cancer est souvent diagnostiqué lorsque des cellules cancéreuses ont atteint le péritoine. »

La détection précoce de la maladie avant qu’elle ne se propage est donc absolument essentielle, étant donné que les chances de survie d’une femme sont liées au stade...

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