Ces hormones dont la chute déclenche du diabète chez les femmes
Le diabète n’affecte pas les hommes et les femmes de la même manière, selon la Fédération française des diabétiques.
Peu importe le type, 1 ou 2, de diabète, les hommes et les femmes ne sont pas sur le même plan face à la maladie. La Fédération française des diabétiques, qui met en lumière les derniers progrès de la recherche ce lundi 6 janvier dans « Ouest France », insiste sur les différences entre les sexes. Statistiquement, le diabète, en France, touche davantage les hommes (55,2 %) que les femmes (44,8 %). Le diabète de type 2 (dû à une mauvaise utilisation de l’insuline par le corps et qui se déclenche souvent avec l’âge) en particulier concerne majoritairement le sexe masculin.
Pour autant, les femmes concernées par le diabète peuvent faire face à des complications mal maîtrisées par la médecine. Trois cas sont observés. D’abord, les effets du diabète gestationnel, qui se déclenche lors de la grossesse.
Lire aussi > Les influenceurs sont dans le viseur de la Fédération française des diabétiques
Quand une femme est enceinte, l’insuline, sécrétée par le pancréas et censée dégrader les sucres, peut se révéler moins efficace au dernier trimestre. Si le diabète gestationnel disparaît après la fin de la grossesse, il augmente fortement le risque d’avoir, plus tard, un diabète de type 2.
L’effet de la ménopause
À la ménopause, la chute oestrogénique augmente également le risque de développer un diabète de type 2. Plus généralement, « on note encore que l’équilibre glycémique se détériore juste avant les règles, à...
Lire la suite de l'article sur Elle.fr