Balance

23 SEPTEMBRE - 22 OCTOBRE

Amour : L'amour va probablement surgir là où vous ne l'attendiez pas. Vos affaires de cœur seront florissantes sauf, peut-être, pour les célibataires qui se montreront un peu trop exigeants.

Travail-Argent : Il vous faudra plus de rigueur pour rester efficace. Les influences astrales vous seront encore assez favorables dans le domaine professionnel. Mais la chance pure vous tournera résolument le dos. Méfiez-vous et ne prenez pas de risques.

Santé : Vous vous sentirez bien et retrouverez votre tonus et votre belle vitalité.

07 april
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • En Ukraine, des véhicules « Frankenstein » contre les attaques de drones

    Cage anti-drone, blindage supplémentaire… Les armées russe et ukrainienne font preuve d’ingéniosité pour protéger chars et blindés des frappes de drones.

  • La loi de Téhéran - 9 mai

    Mercredi 24 avril 2024, Arte diffuse La Loi de Téhéran à 20h55. Ce film iranien nous plonge dans l'enfer de la drogue. Policiers, fournisseurs et consommateurs sont racontés avec une précision presque documentaire. Déroutant.

  • Casino: de 1.300 à plus de 3.200 postes menacés, un millier d'emplois préservés au siège stéphanois (officiel)

    Entre 1.293 et 3.267 postes pourraient être supprimés au sein du groupe Casino, en fonction du nombre de magasins grand format et d'entrepôts logistiques non encore cédés qui trouveront preneurs d'ici septembre, a annoncé le distributeur mercredi, précisant qu'un millier d'emplois seront préservés au siège de Saint-Etienne.Aux 1.293 suppressions nettes au sein des fonctions sièges du groupe pourraient s'ajouter, "à défaut de trouver des repreneurs", jusqu'à 1.974 postes supprimés si les hypermar

  • "La plupart des accusés sont des femmes": l'adultère entre époux bientôt légalisé à New York?

    En vertu d'une loi qui remonte à 1907, l'infidélité maritale est punie d'une peine pouvant aller jusqu'à 90 jours de prison et de 500 dollars d'amende.

  • Vive colère sur des campus américains après des arrestations de manifestants pro-palestiniens

    La colère est restée vive mardi chez de nombreux étudiants américains après que des appels de dirigeants d'universités à la police ont mené à des arrestations massives de manifestants pro-palestiniens, dernier épisode de la tourmente provoquée par le conflit à Gaza sur des campus du pays.Dans la nuit de lundi à mardi, 120 personnes ont été interpellées devant des locaux de la prestigieuse Université de New York (NYU), selon un bilan revu à la baisse de la police.Ces personnes ont été relâchées, a affirmé à l'AFP un porte-parole de la NYPD, la police new-yorkaise. Mais le vif débat, et l'ire des étudiants, sont loin de retomber."L'administration de mon université, mes élus au Congrès et même le président se comportent comme s'ils étaient des porte-parole de la communauté juive, assimilant l'antisionisme à l'antisémitisme. Ils nous réduisent au silence, nous suspendent", a dénoncé devant la presse, keffiyeh sur les épaules, Sarah Borus, une étudiante juive pro-palestinienne du Barnard College de l'Université de Columbia.La semaine dernière, une centaine d'étudiants de Columbia, réclamant la fin de la guerre qui ravage Gaza et que leur établissement boycotte toute activité en lien avec Israël, ont été interpellés.A Yale, une cinquantaine de personnes ont été arrêtées dans ces circonstances similaires.Mardi après-midi, à l'extérieur du campus de Columbia, une centaine de manifestants marchaient pacifiquement en cercle, avec des pancartes appelant à "cesser toute aide américaine à Israël".- "Secouée" -De nombreuses universités américaines se sont retrouvées au coeur de l'actualité avec la guerre à Gaza, déclenchée il y a presque sept mois par une attaque du Hamas en Israël.Accusées de ne pas faire assez contre l'antisémitisme, deux présidentes d'universités, dont celle de Harvard, ont dû démissionner il y a quelques mois.Ces derniers jours, plusieurs campus se sont embrasés.C'est de Columbia qu'est partie la dernière vague de protestation. Puis la présidente de l'établissement a appelé les forces de l'ordre à intervenir.C'est aussi ce qui s'est passé à NYU, selon une lettre de l'université publiée par la police et appelant les agents à "évacuer les manifestants".Pour justifier son recours aux forces de l'ordre, l'université a affirmé avoir constaté des comportements "hostiles et perturbant l'ordre public"."Nous avons aussi appris qu'il y avait des slogans intimidants et que plusieurs incidents antisémites avaient été rapportés", selon un porte-parole.Une association de professeurs de NYU a vivement dénoncé la décision "injustifiée" de l'université d'appeler la police à la rescousse, affirmant en outre que "personne sur la place n'avait été, à aucun moment, violent ou antisémite".Marianne Hirsch, enseignante à Columbia et elle-même de confession juive, a dit à la presse être "extrêmement préoccupée par l'antisémitisme, et ce depuis toujours".Mais "je suis extrêmement secouée en ce moment par le fait de voir comment l'antisémitisme est instrumentalisé, et utilisé à mauvais escient (...), pour mettre fin à la liberté académique, au libre débat, à la pensée critique", a-t-elle affirmé.- Préoccupations -Le sujet s'est transformé en un débat mouvementé et souvent violent sur la liberté d'expression. Des étudiants et enseignants accusent leurs universités de chercher à censurer un discours politique, tandis que plusieurs personnalités, dont des élus du Congrès, accusent en retour les militants d'attiser l'antisémitisme.Le président républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a d'ailleurs annoncé qu'il rencontrerait des étudiants juifs à Columbia mercredi pour évoquer "l'inquiétante montée d'un antisémitisme virulent" sur les campus.Sur CNN, un étudiant juif de Columbia, Nick Baum, a affirmé se sentir depuis quelques jours "carrément en danger". "Ils nous ont qualifiés de colons", a-t-il déclaré."Je pense qu'il est très important de se rappeler qu'être mal à l'aise est différent d'être en danger", a rétorqué devant les médias une autre étudiante juive, Soph Askanase, qui dit avoir été suspendue par Columbia pour son activisme quelques heures avant d'être arrêtée.Face aux tensions, l'université a affirmé oeuvrer "d'arrache-pied pour résoudre la situation sur le campus".Les étudiants "ont le droit de manifester, mais ils ne sont pas autorisés à perturber la vie du campus ou à harceler et intimider les autres étudiants et les membres de notre communauté. Nous agissons sur la base de préoccupations exprimées par nos étudiants juifs", a affirmé Ben Chang, un responsable de Columbia.  Dimanche, le président démocrate Joe Biden était lui-même intervenu, affirmant que l'antisémitisme n'avait "pas sa place" sur les campus.arb-iba/eml

  • Chelsea: "l’équipe a abandonné", Pochettino allume ses joueurs après la déroute contre Arsenal

    Mauricio Pochettino, manager de Chelsea, a déploré l’attitude de ses joueurs lors de la lourde défaite sur le terrain d’Arsenal (5-0), mardi en Premier League.

  • JO Paris 2024 : pour éviter le gaspillage, les invendus alimentaires donnés à des associations

    Paris-2024 présente son plan pour collecter les invendus alimentaires pendant les Jeux olympiques et paralympiques et les redistribuer.

  • Le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo découvert en Corse

    Après les Pyrénées-Orientales, c’est en Corse que ce virus émergeant responsable d’une maladie proche d’Ebola vient d’être découvert. Et ce n’est qu’un début.

  • Secret Story : Ce qu'il faut savoir sur le retour de l'émission de télé-réalité

    Ce mardi 23 avril marquait le retour tant attendu de Secret Story sur TF1 après sept ans d'absence. Les téléspectateurs ont fait la connaissance des 15 nouveaux candidats et de leurs secrets et ils ont été très surpris.

  • Guerre en Ukraine : Trump n’est pas étranger au vote par le Congrès américain du plan d’aide à Kiev

    Pendant 6 mois, les républicains ont fait barrage à un énorme plan d’aide de 61 milliards de dollars à l’Ukraine. C’était avant que la position de Trump n’évolue.

  • MAISON DE STARS Dick Rivers et son ranch à Pompignan : piscine, chevaux et tir à l'arc... un refuge loin de tout

    Dick Rivers s'est éteint il y a cinq ans jour pour jour, à Neuilly-sur-Seine. Il aimait passer du temps à Pompignan, dans...

  • Comment l’IA va bouleverser l’industrie du sexe

    La pornographie générée par l’IA fait irruption rapidement dans l’industrie du sexe et soulève de nouvelles préoccupations éthiques.

  • Affaire Fillon: le Cour de cassation doit rendre sa décision ce mercredi après-midi

    La Cour de cassation se prononce mercredi sur les pourvois de l'ancien Premier ministre François Fillon, de son épouse et de son ancien suppléant, condamnés pour des emplois fictifs à l'Assemblée nationale. Les trois prévenus ont formé des recours contre la décision de la cour d'appel de Paris qui, le 9 mai 2022, a infligé à l'ex-locataire de Matignon quatre ans d'emprisonnement dont un an ferme, 375.000 euros d'amende et dix ans d'inéligibilité. Penelope Fillon a été sanctionnée de deux ans de prison avec sursis ainsi que 375.000 euros d'amende et Marc Joulaud, ancien député suppléant de François Fillon dans la Sarthe, de trois ans de prison avec sursis, avec des inéligibilités respectives de deux et cinq ans.

  • Antony Blinken en Chine pour apaiser les tensions et maintenir la pression sur Pékin

    Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, est attendu en Chine mercredi pour sa deuxième visite en moins d'un an, avec pour mission d'augmenter la pression sur Pékin concernant différents dossiers, comme ses pratiques commerciales où son soutien à la Russie, tout en cherchant une plus grande stabilité. Les États-Unis poursuivent leurs efforts de réconciliation avec la Chine, sans oublier les dossiers sensibles. Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, y entame une visite, mercredi 2

  • TikTok aux États-Unis : l’application menacée d’interdiction après le vote du Congrès

    Après des mois de critiques pour ses liens avec la Chine, la plateforme TikTok se retrouve face à un ultimatum du Congrès américain.

  • À Milan, un ancien entrepôt transformé en loft bohème et coloré

    Bouillon ultra-coloré de cultures et d’époques, l’appartement d’Ida Corti niché au cœur de la capitale transalpine illustre un mariage harmonieux entre patrimoine familial et esthétique vibrante. Ancien dépôt transformé en havre de lumière et de créativité, cet intérieur aux 1001 inspirations se fait l’héritage d’une saga transgénérationnelle ponctuée par les voyages, les rencontres artistiques et un amour inconditionnel pour la couleur.

  • La famille royale britannique adepte des soirées débridées ? Une célèbre actrice fait une confidence stupéfiante

    Une actrice a fait des déclarations étonnantes au sujet d'une soirée à laquelle elle a participé, avec une membre de la famille royale.

  • Argentine: manifestations massives pour défendre l'université publique contre l'austérité

    Des centaines de milliers d'Argentins, étudiants au premier rang, ont manifesté mardi à Buenos Aires et en province contre la politique d'austérité du gouvernement ultralibéral de Javier Milei et "en défense de l'université publique gratuite", marches dénoncées comme "politiques" par l'exécutif.Dans la capitale, la mobilisation, probablement la plus importante depuis le début de la présidence Milei en décembre, a rassemblé "entre 100.000 et 150.000" personnes, selon une source policière, et un demi-million, selon l'Université de Buenos Aires (UBA). Un syndicat enseignant a fait état d'un million de manifestants à l'échelle du pays.A Buenos Aires, étudiants, parents, enseignants, agents d'université, mais aussi des syndicats et membres de partis d'opposition, ont paralysé tout l'après-midi le centre de Buenos Aires, aux abords du Parlement, jusqu'à la Place de Mai, siège de la présidence à 2 km, noire de monde en fin de journée, a constaté l'AFP.D'autres rassemblements en province ont mobilisé la soixantaine d'universités publiques du pays, auxquelles s'étaient jointes des instituts privés. A Cordoba (centre), siège de la plus ancienne université du pays fondée au début du XVIIe siècle, le cortège a rassemblé des dizaines de milliers de personnes.A Buenos Aires, dans une ambiance festive, des étudiants brandissaient symboliquement un livre a bout de bras, dénonçant "une attaque brutale" contre l'université, comme déplorait à l'AFP Pablo Vicenti, étudiant en médecine de 22 ans:  "Ils veulent lui couper les vivres en prétendant qu'il n'y a pas d'argent. Il y en a, oui, mais ils choisissent de ne pas le dépenser dans l'éducation publique".Les universités publiques, qui accueillent plus de 2,2 millions d'étudiants, se disent "en urgence budgétaire" depuis que le gouvernement a décidé de maintenir, pour l'année universitaire 2024 (qui a débuté en mars) le budget 2023, malgré une inflation de 288% sur douze mois. Et ce dans le cadre d'une austérité budgétaire tous azimuts, pour viser un "déficit zéro" en fin d'année, objectif du gouvernement Milei, et dompter l'inflation.- "Endoctrinement" ou excellence ? -Pour plusieurs établissements, c'est une menace de paralysie, et certaines sections de la prestigieuse UBA ont récemment mis en place des économies d'urgence: parties communes non éclairées, usage restreint des ascenseurs, heures de bibliothèque réduites, etc.La Faculté des sciences exactes de l'UBA, qui forma notamment le Nobel de Médecine/Physiologie 1984 Cesar Milstein, a ainsi en place un décompte en ligne jusqu'au jour où son budget 2024 sera épuisé. Mardi à l'heure de la manifestation, il lui restait 37 jours, 9 heures et 15 minutes.La grande centrale syndicale CGT s'est jointe à la protestation, ainsi que des organisations de gauche radicale, des politiciens d'opposition, prêtant le flanc à l'accusation de "manifestation politique" de l'exécutif. Milei a rajouté de l'huile sur le feu, accusant certaines universités publiques d'être des lieux d'"endoctrinement" de gauche.Le sous-secrétaire d'Etat aux Universités, Alejandro Alvarez, a mis en garde les manifestants et leurs soutiens. "Qu'ils fassent ce qu'ils veulent, mais tant que Javier Milei sera président, l'argent public qui va aux Universités sera AUDITE (...) nous instaurons une inspection et un audit qui n'existaient pas", a-t-il indiqué sur X.Le porte-parole présidentiel Manuel Adorni a souligné lundi que l'éducation publique argentine a été par le passé "un phare éducatif en Amérique" mais que "depuis des décennies l'université a de graves problèmes (...) et des taux d'achèvement d'études qui plongent"."On ne peut pas remettre en question 200 ans d'histoire. Même avec un budget très faible, l'UBA figure parmi les trois meilleures universités d'Amérique latine", protestait le doyen de la Faculté de médecine de l'UBA, Luis Brusco.M. Adorni a aussi rappelé un accord il ya quelques jours pour augmenter les frais de fonctionnement des universités en deux fois, +70% en mars, puis +70% en mai. Loin de l'inflation, mais désormais une "discussion réglée", selon lui."N'espérez pas une issue du côté de la dépense publique", a mis en garde lundi soir Milei, en claironnant un excédent budgétaire au 1er trimestre 2024, sans précédent depuis 2008, grâce à l'austérité. "Notre plan fonctionne", s'est-il vanté."Tous nos problèmes se résolvent avec davantage d'éducation et d'université publique (...) L'education nous sauve et nous rend libres. Nous appelons la société argentine à la défendre", a lu une étudiante à la foule Place de Mai en fin de rassemblement.sa-mry/pbl/lab/roc

  • Ce short de mamie qui divise l'opinion mode sera pourtant partout cet été

    De toutes les jambes des filles stylées, ce it short du printemps-été 2024 promet de ne laisser personne indifférent de son look singulier.

  • Zone euro : une dette publique de 12 732 milliards d’euros

    LE CHIFFRE DE LA SEMAINE. La France présente le montant de dette le plus important de l’UE et affiche les niveaux de dépenses et de recettes publiques les plus élevés.